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1400 chanoines réguliers de Notre-Sauveur (1623-1789) (4/6)
 

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Introduction
 
A -C D - F G - K L - O T - Z
Nom Naissance Décès Prise d’Habit Profession  
GABRIEL Jean Baptiste 1748
Pont-à-Mousson
  1767
Pont-à-Mousson
1768 Procureur à Domèvre (...-1790). A connu Grimod de la Regnière durant l’emprisonnement de ce dernier à Domèvre (1786-1788) ; Aurait dit « Il y a trop de vin dans ce monde pour dire la messe ; il n’y en a point assez pour faire tourner les moulins ; donc il faut le boire » (Almanach des gourmands, Iere année, 1805).
Curé de Domèvre (1790-...). Jureur.
Sous la Révolution, électeur au département de la Meurthe et officier public.
Sauve la statue mariale de l’abbaye de Domèvre, aujourd’hui conservée au musée d’Aix la Chapelle, avec l’inscription au dos : « Ex pietate J.B. Gabriel pastor(is) et Can. Reg. Domevre ».
Arrêté et exilé à Dijon par le représentant Lacoste (12 avril 1794).
Probablement professeur à Pont-à-Mousson après la Révolution.
GABRIEL Nicolas Louis Saint-Nicolas   1723
Pont-à-Mousson
  
GAILLARD Antoine   1712
Alors régent à Aoste
  Vers 1705 Etudie la philosophie à Chaumousey (1706-1707).
Prêtre le 20 février 1712.
Enseigne à Aoste les humanités (1712).
GALLAND Bernard 1748 ou 1745
Nancy
  1765
Pont-à-Mousson
1766
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1768-1769).
« Il se loge à l’auberge et y laisse un cahier de chansons très indécentes. Cette affaire fait du bruit à Charmes. Conçoit-on la conduite d’un supérieur [Robert] de laisser voyager un moine étourdi, sans principes, sans décence, sans religion, dans un temps où il doit assister aux offices de l’église dans sa maison ou du moins dans quelqu’une des maisons de sa congrégation ? » (Chatrian, Journal eccles. Toulois, 13 avril 1775).
A Belchamps à l’automne 1775, « où il avoit la maison pour prison, mais il s’est évadé et a apostasié » (Chatrian, Journal eccles. Toulois, 13 octobre 1775). On ne sait où il est parti.
Régent de classe latine à Dommartin vers 1775.
Possiblement le Galland cité par Léonce Pingaud, « St Pierre Fourier », 1898, p. 44-45 et par le cardinal Mathieu, « L’Ancien régime en Lorraine », Appendice I (actes de charité en 1770 à Charmes et engagement révolutionnaire en 1789) ?
GALLIAUT Jean Bertrand Nancy 1637
Viviers
  1635
GALLOIS Jean François Briey 1749
Lixières
  1693 Curé de Lixières et Fléville (1704-1749).
GALLOIS Nicolas François 1708
Briey
  1727
Pont-à-Mousson
  
GALMAYES Adrien 1664 Chaumousey     Adjuteur.
A Verdun (1687).
GALMICHE Claude François 1761
Corraviller, diocèse de Besançon
Après 1790
1780
Autrey
1782 Etudie la théologie à Chaumousey (1783).
Professeur de 5e et 6e à Metz (1790), quitte la maison en août.
Se retire à Saint Mihiel en décembre 1790.
GAND Antoine Dieudonné ou Deodat 1708
Nancy
1785
Alors curé de Bicqueley
1726
Pont-à-Mousson
1727
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Domèvre (1729-1731).
Enseigne à Aoste la 5e (1733), la 4e (1734), les humanités (1735), la philosophie (1736-1737).
Curé de Bicqueley (1744-1785).
GAND Clément Metz 1688
Belchamps
  1687 
GAND François Nicolas Nancy 1762
Alors curé de Dommartin-lès-Valois
1716
Pont-à-Mousson
  Organiste à Domèvre (1722).
Curé de Dommartin-lès-Valois (1754-1762).
GAND Jean Mathieu 1757
Trêves
1799
Badonviller
1777
Autrey
1778
Autrey
Fils d’un conseiller aulique de S. A. Electorale de Trêves.
Enseigne la 6e à Pont-à-Mousson (1785), la 4e (1786), puis préfet des salles (1787-1788).
Professeur d’allemand et d’anglais à Pont-à-Mousson (1788, 1790). A 7 ans de service en 1790.
Curé intrus à Annonville.
Jureur en 1791.
« Partisan de la Révolution » (Chatrian, BDN, MC 8).
Retiré à Badonviller avec femme et enfants, devenu percepteur.
GAND Nicolas 1756
Beauzée, diocèse de Verdun
  1780
Autrey
1781
Autrey
Etudie la théologie à Chaumousey (1783).
Enseigne à Pont-à-Mousson la 7e (1785), la 6e (1786-1788), la 3e (1790). A 7 ans de service en 1790.
GANIER ou GARNIER Jean Baptiste 1755
Wiche, diocèse de Strasbourg
1796 1775
Pont-à-Mousson
1776
Pont-à-Mousson
Enseigne à Nancy la logique (1784-1785).
Principal du collège d’Epinal (1786-1792).
Ouvre un pensionnat adjoint au collège d’Epinal peu avant la Révolution.
Le 1er avril 1790, pendant les élections, est monté dans la chaire du collège en surplis pour implorer la permission d’être électeur et éligible (Chatrian, BDN, MC 21, p.182).
Franc-maçon à Epinal (Loge La Parfaite Union, 1786 ; 1789).
Jureur en 1791.
« Craignant fort peu de principes religieux » (Chatrian, BDN, MC 8).
GARAUDEL Felix   1715
Nicey
  1686 Enseigne à Aoste la 6e (1689), la 5e (1690), la 4e (1691), la 3e (1692-1693) et les humanités (1697).
Curé d’Einvaux (1700).
Curé de Nicey (1703-1715).
GARDNER André Dominique Henri 1737
Haguenau, Alsace
  1754
Pont-à-Mousson
  
GARLACHE Jean Dun « ès fête de Noël 1635 » (au P. Leclerc, janvier 1636)
Lunéville
  24 septembre 1628 (Drouin) ou 21 septembre 1628 (lettre à Lemulier, 22 septembre 1628) « entend bien son chant à ce que disent nos pères et si a bonne voix » (lettre à Verdun, 2 octobre 1628).
Fourier veut l’envoyer à Verdun remplacer Aubry (lettre à Verdun, 2 octobre 1628).
GARROT ou GAZOT Hyacinthe Antoine 1697
Lorraine, diocèse de Metz
    1715 Enseigne à Aoste la 4e (1724), la rhétorique (1725), la philosophie (1727-1729).
Professeur de théologie à Domèvre (1729-1731).
Professeur de théologie à Saint-Pierremont (1732).
Prieur de Domèvre (1736).
Curé de Salmagne (1739-1766). Résigne.
GAUDET Charles 1699
Metz
  1716
Pont-à-Mousson
1717
Pont-à-mousson
Etudie la philosophie à Domèvre (1718-1720).
Etudie la théologie à Domèvre (1722).
A Verdun (1723-1727).
Professeur de philosophie à Chaumousey (1730).
Curé de Verdun (1724-1727).
A Hérival (1768).
Possiblement celui dont parle le Cardinal Mathieu dans « L’Ancien régime en Lorraine », appendice I ?
GAULE ou GOZE Jean Verdun 1736
Martemont
  1683 A Chaumousey (1699).
Curé de Bettegney-Saint-Brice (1700-1705) ou vicaire de Veho (1703-1705).
Curé de Marthemont (1705-1736).
GAUTHIER dit MABILEAU Joseph 1714 ou 1705
Nantes en Bretagne
1776
Lupcourt, chez Pierre, curé de Lupcourt
1736
Pont-à-Mousson
1737
Pont-à-Mousson
Professeur d’histoire et de mathématiques auprès des Cadets Gentilhommes de Stanislas à Lunéville (1744-1753).
Choisi pour faire partie des premiers membres de la Société royale des sciences et belles-lettres, future académie de Nancy.
Ecrit une « Réfutation sur le discours de Rousseau sur les sciences » parue dans le Mercure de France de 1750, des « Observations sur la lettre de M. Rousseau de Genève à M. Grimm » en 1752, concernant la réaction de ce dernier à la réfutation du chanoine régulier, puis
Fait scandale à l’académie le 26 mars 1751, par une provocation envers Stanislas, auquel il déclare « que l’on est puni de l’extrême délicatesse par la délicatesse même [...] Sire, vous devez bien être puni ». Ce qui a « révolté tout le monde au point qu’on dit que c’est un cheval [...] Le roy lui a fait dire qu’il étoit mécontent de lui » (Lettre de Devaux à Mme de Graffigny, avril 1751 (Devaux, LIII, 255-256)).
Ecrit une « Réfutation du Celse Moderne » (Lunéville, 1752, et réimprimé en 1765), en réponse à un manuscrit de d’Holbach, qui reçut de vives critiques :
« Le compliment de ton abbé Gautier est délicieux, sa bêtise et la tienne encore mélieure ! Va tu n’y connois rien sur son Celse. Je l’ai jugé sot et j’ai raison » ; « Tous ceux qui l’ont lu m’ont dit à l’oreille que les réponces étoient bien mauvaises, et d’un homme qui croioit avoir bien plus d’esprit qu’il n’en a » (Lettres de Mme de Graffigny à Devaux).
« Non seulement ne croioit pas, mais qui prenoit la liberté de tourner en dérision ceux qui avoient un symbole, et qui s’efforçoit de procurer des prosélytes à l’athéisme et à l’impiété » (Chatrian, BDN, MC 21, p.32).
« Une chose que nous ne comprenons pas, c’est que ce mécréant sans doute pour jetter de la poudre aux yeux du père Prince, ait eu l’audace de publier un ouvrage anti-philosophique intitulé « Réfutation du Celse moderne » Chatrian, BDN, MC 8 ; « on a remarqué que les objections étoient présentées avec la plus grande énergie, et que les réponses étoient très foibles » (Chatrian, BDN, MC 21, p.32).
Présente à l’Académie de Nancy en 1753 un mémoire sur le moyen d’appliquer la vapeur à la marche des navires. A également écrit un discours sur l’inutilité de la dispute, récompensé par un prix de l’Académie Française, 1745.
Correspondant du Royal museum de londres et du Museum national d’histoire naturelle de Paris.
Prieur de Nancy (1767-après 1768) ; seul religieux à y résider en 1767.
Ami de l’abbé Grégoire rencontré à Nancy en 1768.
Assistant du général (1768-1772). Se serait opposé au commissaire du roi lors d’une élection du supérieur général, aurait été ensuite écarté (F. Hildesheimer, « Abbé Grégoire »)
Dirige le séminaire d’Autrey (1774). S’installe à Lupcourt, chez Jacques Pierre en 1774.
Voir : C. Andriot et J. Chollet, « Tressan, philosophe du roi Stanislas », 2023.
GAUTHIER Dominique 1712
Chaumousey
1788
Alors curé d’Igney
1733
Pont-à-Mousson
1734
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1739.
Procureur à Lunéville et à Domèvre.
A enseigné à Lunéville.
A publié une relation de la première cérémonie de la Rosière à Réchicourt-le-Château.
Vicaire de Chanteheux (1741-1745).
Curé d’Igney (1760-1788).
GAUTTIER ou GAULTHIER ou GAUTHIER Philippe Gerbéviller 28 décembre 1670
Mattaincourt, « fort aâgé » (Drouin p.234)
  24 juin 1630 (Drouin p.234) Prieur de Pont-à-Mousson (1631-1632).
Curé de Mattaincourt (1632-1637 et 1644-1670).
Prieur de Belchamps (1637-1639). En sort suite aux « plaintes et les mécontentements réciproques et fréquents (et presque continuels) et esclatants » (1ère lettre à Clément Philippe, 29 septembre 1639).
Prieur de Belchamps (1641-1643).
GAZIN Didier Joseph 1750
Metz
  1770
Pont-à-Mousson
1771
Pont-à-Mousson
Régent à Nancy avant 1777.
Apostat, parti avec une fille en 1777.
En 1792, « L’apostat Gazin, Chan. Reg. Revenu à Nancy avec femme et enfans, n’est pas honteux de se présenter au Départ. de la Meurthe pour avoir sa pension en qualité de cy devant membre de la congrégation de Notre-Sauveur » (Chatrian).
GEFFT Joseph 1696
« Solstensem »
  1716
Pont-à-Mousson
1717
Pont-à-Mousson
Curé de la cure royale et séculière de « Birqueval » ou « Burzemwaldt » en Alsace, diocèse de Strasbourg en 1768.
GENIN François Verdun 1680
Rehainviller
  1654 Curé de Rehainviller (1672-1680).
GENIN Jean Baptiste 1731
Seroux ou Sevoux, en Vosges
Après 1768 1753
Pont-à-Mousson
1754
Pont-à-Mousson
Vicaire de Moncel (1768).
GENIN Richard Verdun 1725
Chaumousey
  1679 Curé d’Ambacourt (vers 1688-1725).
GENIN Vaultrin Verdun Toul   1655 En Lorraine jusque 1661.
Enseigne à Aoste la 4e (1661-1662).
GENNERAL Pierre         Etudie la philosophie à Chaumousey (1706-1709).
Etudie la théologie à Chaumousey (1710).
Etudie la théologie à Domèvre (1710).
GENTIL Nicolas         A Saint-Pierremont (...-1714).
A Chaumousey (1715-...).
A Toul (...-1724).
Auxiliaire de Collignon à Leintrey (1724-1730).
Curé de Leintrey (1730-1767).
« s’étoit toujours comporté avec sagesse et religion et qui étoit fort désiré des habitans » de Leintrey (AD MM, H 1386).
GENTIN Nicolas   1714
Alors curé de Trieux
    En Lorraine jusqu’en 1670.
Enseigne à Aoste la 3e (1670), les humanités (1671), et la rhétorique (1672-1673).
Curé de Trieux (1678-1714).
En 1702, nommé par Massu pour quêter pour le procès de béatification, dans les prévôtés de Sancy, de Thionville et de Longwy.
GEORGE Charles François 1732
Lunéville
  1751
Pont-à-Mousson
1752
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1752-1753).
Directeur du collège de Nancy (1778-1779).
Prieur de Lunéville (1785-1789).
Prieur et principal de Lunéville (1790).
GEORGE François 1751
Grimmaucourt, diocèse de Metz
  1775
Pont-à-Mousson
  Missionnaire (1786-1788).
A Autrey (1790).
Curé constitutionnel de Remiremont depuis le 3 avril 1791. Mal accepté par la population ; les orphelines de l’hôpital confient à Lalande qu’elles sont « disposées à souffrir le martyre plutôt que d’obéir au nouveau curé » (Eugène MARTIN, III, p.111).
[GEORGE] Jean Baptiste 1748
Lagrandville
  1768
Pont-à-Mousson
  
GEORGE Philippe 1621
Morville en Alsace
1691
Pont-à-Mousson
  1643 Enseigne au collège de Gray (1640).
Régent à Aoste, puis préfet des classes, en 1645.
Régent de 3e à Aoste (1648).
Régent de 4e à Aoste (1650).
Régent d’humanités à Aoste (1651).
Régent de rhétorique à Aoste (1652) ; fait représenter une tragédie.
Prieur des Trois-Epis (1652-1653).
Prieur de Chaumousey (1653-1661).
A Mirecourt, chez les religieuses, « à cause des quartiers d’hivers » en 1657 (ADV, XII H 4).
Prieur de Saint-Pierremont (1662-1663 et 1667).
Prieur de Pont-à-Mousson (1667-1685).
Procureur général ; rôle actif dans le procès de béatification de Pierre Fourier (1667-1670 et 1673-1676).
Assistant (1676-1685).
6ème Général (1685-1691). Plus redouté qu’aimé. Adepte des mortifications. « Fort zélé pour la discipline régulière » (MASSU, Mémoires, p.73). Voulut rendre les chanoines curés plus dépendants et engage une politique d’ouverture de petites maisons sur le modèle des instituts séculiers.
Fonde la maison de Strasbourg (1687).
Annule sa visite d’Aoste prévue en 1686.
GEORGEL Nicolas ou Jacques 1745
Gerardmer
  1768
Pont-à-Mousson
1769
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1770).
Etudie la théologie à Chaumousey (1771-1773).
Vicaire de Chopin à Raon-lès-Leau (dernier quart du XVIIIè siècle).
Enseigne à Pont-à-Mousson la 2e (1785), la rhétorique (1786-1788).
Prieur de Verdun (1788-...).
A Verdun (1790).
Dans le district de Mirecourt (1792).
GEORGES Pierre Blâmont 1690
Saint-Mihiel
  1633 Professeur avant 1647.
A transcrit et diffusé des manuscrits jansénistes en Lorraine.
Curé de Mecrin (1647-1666).
Alla aux Trois Epis en 1651.
« Géomètre » (ms 759). Auteur d’un imprimé sur une horloge magnétique imprimé en 1660.
Confesseur des religieuses de Saint-Mihiel (années 1680).
Supérieur de Saint-Mihiel (1687-1688).
GERARD Alexis Valentin Saint-Dié 1729
Pont-à-Mousson
  1682 Sous prieur à Domèvre (1699-1701).
Prieur de Viviers (1707).
GERARD Charles 1749
Pont-à-Mousson
  1767
Pont-à-Mousson
  
GERARD Etienne 1698   1715
Pont-à-Mousson
  
GERARD François 1750
Mirecourt
1820 1772
Pont-à-Mousson
1773
Pont-à-Mousson
A Chaumousey (1784-1791).
En 1791, se retire dans sa famille à Chaumousey.
A Epinal (1792).
Après la révolution, prêtre non employé jusqu’en 1820.
Curé de Bicqueley provisoirement en juillet 1820.
GERARD Hubert Vilotte 1692
Chaumousey
  1679 A Chaumousey (1690-1693).
Curé de Chaumousey (1691).
GERARD Jean Saint-Mihiel 1768     Etudie la philosophie à Domèvre (1712-1713).
A Saint-Pierremont, sans doute pour poursuivre ses études (1714-...).
Professeur de philosophie à Domèvre (1723-1724).
Professeur de théologie à Domèvre (1725-1726).
Donne la 3e année de son cours de théologie à Saint-Pierremont (1727).
Professeur de théologie à Saint-Pierremont en 1729.
Part avec Piart à Rome, en rempacement de son abbé Pillerel, pour les fêtes de la béatification de Pierre Fourier (1729-1730).
Prieur de Chaumousey (1732-1738).
Prieur résident du Chesnoy (1737-1768).
A Nancy (1738-...).
Envoyé avec Hurault à Paris finaliser l’union de Domèvre au généralat (années 1740).
GERARD Jean Baptiste 1719
Nancy
  1739
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1739.
GERARD Jean Pierre 1725 ou 1726
Fléville, diocèse de Verdun
  1744
Pont-à-Mousson
1745
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1745-1746).
Prieur de Chaumousey (1764-1765).
Prieur claustral d’Hérival (1765-1770 et 1780-1786).
Curé du Tholy (1771-1775).
Critiqué par Laval pour avoir été dépensier au Tholy ; aurait été écarté de cette cure pour ce motif.
A Chaumousey (1790-1791).
En 1791, se retire chez ses parents à Briey.
GERARD Nicolas   1676   1671 Adjuteur.
GERARDIN Christophe François 1715
Saint-Mihiel
1743
Saint-Hilaire
1734
Pont-à-Mousson
1735
Pont-à-Mousson
« Philosophe ».
Etudie la théologie à Chaumousey (1738-1739).
GERARDIN Florent 1670
Belchamps
    1662 Adjuteur.
GERARDIN François 1723
Varmonzey près de Charmes
  1742
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1743.
GERARDIN Jean   1635
Pont-à-Mousson
  1634 
GERARDIN Jean Joseph 1715
Varmonzey, paroisse de Gugney aux Aulx, près de Charmes
1787
Alors curé de Vaxoncourt
1732
Pont-à-Mousson
1733
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1740.
Procureur de Belchamp (1751). Rédige un « Etat des biens » en 1751 (AD M&M, H 1319).
Curé de Vaxoncourt (1758-1787).
GERARDIN Nicolas       1666 Adjuteur.
GERARDIN Nicolas 1717
Varmonzey, paroisse de Gugney aux Aulx, près de Charmes.
  1739
Pont-à-Mousson
1740
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Chaumousey (1742-1744).
Administre temporairement la cure de Villacourt en 1750.
Curé de Belchamps (1768).
GERBEAUT Jean Claude Joseph 1747
Charmes
1825 ? 1766
Pont-à-Mousson
1767
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1768-1769).
Procureur à Autrey (1790).
GERVAISE Henri     1716
Pont-à-Mousson
1717
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Domèvre (1718-1720).
Etudie la théologie à Domèvre (1722).
A Toul (1723-...).
GIGNEY Nicolas Charles   1756
Alors curé de Bettegney-Saint-Brice
    Curé de Bettegney-Saint-Brice (1731-1756).
GIGUEY ou GIGNEY Charles Arnaud Nancy 1735
Marainviller
  1704 Etudie la philosophie à Domèvre (1704-1705).
Professeur de philosophie à Domèvre (1714), puis à Chaumousey (1715).
Curé de Marainviller-Thiébauménil (1726-1735).
GILBERT Claude Saint-Mihiel 1730
Saint-Pierremont
  1686 Enseigne à Aoste la 5e (1689), la 4e (1690), la 3e (1691), les humanités (1692-1693).
Etudie la théologie à Domèvre (1693-1694).
Curé de Dannevoux (169.-1713).
Curé de Barbas (1713-...).
Présent à Domèvre (1714 et 1720-1722).
Curé de Domèvre (1721-1722).
GILBRIN Stephane ou Etienne 1756
Metz, paroisse Saint Marcel
1827 1777
Autrey
  Fils d’aubergiste.
Procureur à Metz (1790), quitte la maison en août.
Prêtre constitutionnel en Moselle.
GILLES Benoît Verdun       Etudie la philosophie à Domèvre (1712-1713).
A Saint-Pierremont, sans doute pour poursuivre ses études (1714-...).
GILLES François Laurent Jarny 1719
Saint-Mihiel
  1703 A Saint-Pierremont (1707).
GILLES Jean Verdun 1713
Bénaménil
  1679 Impliqué dans une rebellion contre le prieur de Verdun en 1680, dirigée par Oger.
Curé de Verdun (1689-1692).
Curé de Bénaménil (169.-1713).
GILLES Pierre 1725
Norroy-le-Sec, diocèse de Verdun
  1742
Pont-à-Mousson
1743
Pont-à-Mousson
Curé de Nicey (1760-après 1790).
GILLET Claude   1644 ou 1645
Aoste, d’une fièvre tierce ayant duré neuf mois, et d’une dysentrie.
  1635 ou 1636 A Sembrencher (Valais) avant 1643.
Premier supérieur du collège d’Aoste, choisi par Jean Guinet (1643-...).
Régent de 3ème à Aoste (1643).
GILLET Joseph Thomas 1748
Nancy
  1765
Pont-à-Mousson
1766
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Belchamps (1768).
Vicaire de Chanteheux (1780).
Curé de Lunéville (1783-1784).
Premier vicaire de Lunéville (1788).
Curé de Monts-sur-Meurthe (1789-1791).
Curé de la nouvelle paroisse Saint-Léopold de Lunéville, installée dans l’ancienne église des carmes (1792-...).
GILLET Nicolas 1726
Ubexy, diocèse de Toul
26 octobre 1788 1743
Pont-à-Mousson
1744
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1750.
Membre de l’Académie de Metz et conservateur du jardin et de l’herbier de botanique (1757-...). « Regardé comme un bon botaniste, et un homme très instruit » (Chatrian, BDN, MC 120, p.303).
A Critiqué les excès de son prieur Saintignon lors d’une visite du général à Metz (septembre 1766). Fut alors transféré à Verdun.
Sous prieur et principal de Metz (...-1766).
Prieur de Verdun (1766-1768).
Elu procureur général lors d’une diète (1774).
Procureur général (1775-1781).
Franc maçon, reconnu comme « Socius et ami de l’Ordre » par le Directoire de la Stricte Observance Templière (S.O.T.) à Nancy (1777).
Assistant du général (1781-1787).
GILLET Pierre François 1729 ou 1731
Nancy
1771
Lunéville
1747
Pont-à-Mousson
1748
Pont-à-Mousson
Vicaire de Lunéville (1768).
Possiblement le franc-maçon de Lunéville vers 1768 (Loge Saint-Joseph, Lunéville) cité par Chatrian.
GILLON Nicolas Ville-sur-Cousance 1746
Verdun
  1692 Adjuteur.
GILLOT Charles Neufchâteau Lyon   1680 Prieur de Viviers en 1685 et en 1694.
« Après avoir été prieur de Viviers, dont il sortit avec deshonneur, il quitta la congrégation en [16]95 » (ms 759).
GIRCOURT François Domèvre 1640
Pont-à-Mousson
  1637 Prieur de Pont-à-Mousson (1640).
GLASER Léopold 1707
Lunéville
  1726
Pont-à-Mousson
  
GLAY Etienne Pont-à-Mousson 1662
Saint-Pierremont
  1636 Proposé par Fourier à Gauthier pour être son procureur à Belchamps (1640).
« créature du R. P. Général Jean Terrel » (Drouin, p. 247, 379).
Prieur de Saint-Pierremont (1656-1657). Laisse le frère de Charles d’Anglure de Bourlémont prendre possession du monastère de manière illicite et devient son admodiateur malgré l’élection de Drouin en 1642. Drouin, à son retour du Valais après 1661, voulut se faire restituer l’argent accaparé par les admodiateurs, mais fut contrarié dans ce dessein par le P. Glay.
GODEFROI Claude 1617
Nomeny
1697
Verrès
  1638 Régent de 4e à Aoste (1645-1647).
Vicaire de Pierre Desfayes à Bagnes en Valais (en 1648).
Sacriste de Verrès (1660-1663, 1664-1667 et 1673-1675).
Prieur de Verrès (1672-1692).
Sous prieur de Verrès (1692-1697).
GODFRIN Henri ou Jean François 1749
Servigny lès Sainte Barbe, diocèse de Metz
1828 1774
Pont-à-Mousson
1775
Pont-à-Mousson
Enseigne à Nancy la 6e (1778).
« Naturaliste distingué » (Ory).
Préfet des salles à Pont-à-Mousson (1787-1788, 1790). Sert depuis 13 ans en 1790.
Sous principal à Pont-à-Mousson (après 1788).
Demande à sortir de Pont-à-Mousson le 10 mai 1790, pour rejoindre sa mère et l’aider.
Resta proche de Joseph Lalliet après 1817. Bibliothécaire à Pont-à-Mousson.
GODIOT ou GODIOZ Maurice Aoste 1707
Arnad, Val d’Aoste
  1700 Etudie la philosophie à Domèvre (1701-1702).
Prêtre en 1705.
Vicaire d’Arnad (Val d’Aoste, août 1706-septembre 1707).
GOGNEY Ch.         Prieur de Belchamps (1719-1724).
GONTHIER Jean-André Val d’Aoste     1665 
GONVIER Jean Nicolas 1758
Rupt, diocèse de Saint-Dié
  1781   
GOUGET Claude Saint-Mihiel 1762
Conflans
  1691 Enseigne à Aoste la 5e (1698).
Présent à Domèvre (1699).
Curé de Verdun (1706).
Prieur-curé de Conflans (1714-1762).
GOULET Pierre 1750
Nouvion Ponton ou Maizières (ms 759)
  1766
Pont-à-Mousson
1767
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1768-1769).
A Toul (1790).
GOUSSIN Antoine Dominique 1756 ou 1758
Metz, paroisse Saint Livier
1800
Metz, « s’est jeté dans un puits et y a été noié en mars 1800 » (Chatrian, BDN, MC 8)
1776
Autrey
1777
Autrey
Enseigne la physique et les mathématiques à Pont-à-Mousson (1785).
Prêtre en 1785.
Enseigne la 2e à Lunéville (1787-1789).
Préfet et régent de rhétorique à Lunéville (1790).
Jureur en 1791
Retiré à Metz en 1794, s’y est marié.
GOUVENOUX ou GOUVENOT Charles Antoine Lunéville 1757
Blainville
1717
Pont-à-Mousson
1718 A Belchamps vers 1719, y rencontre Dom Calmet.
Rencontre Dom Calmet vers 1719, et est reçu par Dom Calmet vers 1733-1734.
Prêtre le 22 décembre 1725 à Aoste.
Enseigne à Aoste les humanités (1725), la rhétorique (1726), la philosophie (1727-1728).
A Chaumousey (1728).
Professeur à Saint-Pierremont (vers 1733-1734).
Prieur de Belchamps (1737).
Curé de Blainville-sur-l’Eau (1738-1757).
Prononce un discours lors d’un synode, sur les travaux intellectuels des religieux cloîtrés (lettre du 7 janvier 1749, BDN, MB 63).
GOUYER Jacques Nicolas 1762
Fraimbois, diocèse de Nancy
1832 1782
Autrey
1783
Autrey
Professeur d’histoire à Metz (1790) ; quitte la maison en août 1790.
GOUZOT Pierre 1694 ou 1691
Lorraine, diocèse de Toul
1776   1708 Etudie la philosophie à Domèvre (1708-1710).
Enseigne à Aoste les humanités (1716), la philosophie (1717-1718), la théologie (1719-1720).
Curé de Loro et Montzey (1732-1776).
GRANDEMANGE Nicolas   1763     Prieur-curé de Vandeléville (1730-1761). Résigne.
GRANDEMANGE Valbert 1725
Cheniménil
1789
Alors curé de Vandeléville
1744
Pont-à-Mousson
1745
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1745-1746).
Prieur-curé de Vandeléville (1761-1789).
GRANDJEAN Jean ou Claude Pont-à-Mousson 1721
Moyeuvre
  1689 A Strasbourg avant 1699.
A Domèvre (1699).
Curé de Moyeuvre (1705-1721).
GRANDJEAN Jean François 1765
Villeneuve en Comté
1837   1788 A Saint-Pierremont (1790), se retire en février 1791 pour se rendre au district de Lure.
GRANDMAIRE Joseph Nicolas Epinal     1697 A Saint-Pierremont (1702).
Enseigne à Aoste la 6e (1703).
Prêtre le 6 juin 1705.
Vicaire de Saint-Marcel (Val d’Aoste, 1705-1706).
GRANDPAIRE Nicolas Joseph 1749
Epinal
  1771
Pont-à-Mousson
  
GRANJEAN Claude Vic     1682 Enseigne à Aoste la 4e (1700-1702).
Vicaire (8 septembre 1703) et économe (27 juin 1703-1704) d’Anthey (Val d’Aoste).
GRAPIN Jean Joseph Antoine 1756
Nancy
  1776
Autrey
1777
Autrey
Enseigne la 3e à Pont-à-Mousson (1788).
A Domèvre (1790).
GRAVIER Nicolas 1758
Rupt, diocèse de Saint Dié
  1781
Autrey
  
GREFF Jean Adam 1757
Kerbach, paroisse de Forbach, diocèse de Metz
  1777
Autrey
1778
Autrey
Régent de 4e à Bouquenom (Sarre-Union, 1787).
Vicaire à Pont-à-Mousson (1790).
Surnuméraire à Pont-à-Mousson (1790).
Refuse le serment, se réfugie à Sarreguemines, incarcéré à Metz. Prête le serment pour sortir de prison et obtient une paroisse des environs de Metz. S’enfuit alors au Luxembourg.
GREFF Pierre ou Jean 1756
Kerbach, paroisse de Forbach, diocèse de Metz
1830 1777
Autrey
1778
Autrey
A Bouquenom (Sarre-Union, 1790).
GRENEL Jean   1746
A Chaumousey
    Adjuteur à Chaumousey (1739-1746).
GRILLOT Albert 1619
Flavigny
1675
Toul
1637
Aoste
1639
Toul
Part en Valais avec Desfayes (1636).
Novice à Saint-Maurice avec Nicolas André, sous la direction de Jean Etienne et Jean Guinet ; membre du chœur avec Jean Guinet, en 1636.
A Sembrencher avec Claude Gillet avant 1643.
Curé de Sembrencher (Valais, avant 1643-...).
Prêtre en 1643.
Régent de 4e à Aoste (1643-1644).
Régent de 3e à Aoste (1645-1647).
Régent d’humanités à Aoste (1648, 1655-1656).
Régent de rhétorique à Aoste et préfet des études (1649-1650, 1653) ; fait jouer une tragédie en 1653.
Etudie la théologie en Lorraine en 1650.
Passe à Chamousey (octobre-novembre 1656).
Prieur de Lunéville (1657-...).
Maître des Novices (1657-...).
Supérieur du collège d’Aoste (1666-1669).
Prieur de Chaumousey (1674).
GRILLOT Claude Toul 1646
Saint-Mihiel
  1643
GRILLOT Mansuy Toul 1682
Toul
  1631 Quitte Domèvre pour Saint-Pierremont (1632).
Etudie la philosophie à Pont-à-Mousson (1632).
Prieur de Pont-à-Mousson (1639).
Assiste Pierre Fourier à sa mort à Gray (1640).
Enseigne au collège de Gray (1640).
Prieur de Viviers en 1669 (Drouin p.237).
GRILLOT Martin         Curé de Lunéville (1644-1646).
GRIMONT ou GIRMON Laurent Joinville, diocèse de Châlons 1762
Gerbéviller
1741
Pont-à-Mousson
1742
Pont-à-Mousson
 
GRONARD François Saint-Mihiel 1703
Saint-Mihiel
  1667 Procureur à Saint-Pierremont (1676-...).
GROSMAIRE François 1725
Crepey, près de Toul
1798
Mannheim
1742
Pont-à-Mousson
1743
Pont-à-Mousson
A Verdun (1750).
Professeur de philosophie à Chaumousey (1756).
Professeur de théologie à Chaumousey (1757).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1759-1763).
Prieur de Pont-à-Mousson (1764-1768).
Sous-prieur de Chaumousey (1770).
Prieur de Chaumousey (1771-1772).
Prieur de Toul (1772).
Prieur de Chaumousey une seconde fois (1773).
Prieur de Saint-Pierremont (1774-1775).
Curé d’Oncourt (1775-1791).
Refuse le serment révolutionnaire.
Exilé à Mannheim.
GROSSELIN Jean Hubert 1759
Sedan
  1784
Autrey
1785
Autrey
Fils de négociant. Clerc du diocèse de Reims.
A Domèvre (1790).
GROUBRE Antoine Joseph 1755
Sarrebourg
  1780
Autrey
 
GUEDON François Firmin         Etudie la philosophie à Domèvre (1706-1707).
Recommence sa philosophie à Domèvre (1708-1709).
Etudie la théologie à Domèvre (1710).
Curé de Chaumousey (1727-1730).
GUENAIRE Nicolas François Rosières 1739   1704 Ancien boursier du collège de La Marche.
Prêtre le 18 décembre 1706.
Enseigne à Aoste la 6e (1707), les humanités (1708), la rhétorique (1709).
Sacriste de Verrès (1710-1711).
Prieur d’Autrey (1713-1715).
Prieur de Saint-Gilles de Verrès (1716-1720), mandaté par le général pour négocier dans le procès qui s’achève par l’expulsion les chanoines de Verrès. Ami du comte de Challant, se serait laissé influencer par lui d’après Busquet. Retourne en Lorraine en 1719 : « Il s’étoit si fort persuadé que mons[ieur] le général l’avoit envoié dans cette maison pour pacifier ces messieurs [de Challant], qu’il en a fait son unique affaire et que pour faire voir qu’il avoit dignement rempli sa mission, il l’a couroné en abandonant cette maison sans en avoir reçu aucun ordre, et a demandé a mons[ieur] le comte de Chaland un certificat come il étoit content de luy, et il l’a bénignement accordé en ample et digne forme parcequ’il luy estoit bien deu ». Critiqué fortement par De Busquet pour avoir agi « au préjudice de la congrégation, de la maison de St Gille et de moy » ; il assure qu’il « avoit pris le parti de me contrarier en tout » (AD M&M, H 1501).
Fait l’ouverture du collège de Lunéville (1727).
Baptise Laurent Chatrian à Lunéville le 5 mars 1732.
GUEPRATE François 1755
Noviant sur Moselle
1807
1774
Pont-à-Mousson
1775
Pont-à-Mousson
Enseigne la rhétorique à Lunéville, et préfet des classes (1786-1789).
Enseigne la rhétorique à Pont-à-Mousson (1790). A 8 ans de service en 1790.
Demande à sortir de Pont-à-Mousson le 10 mai 1790.
Curé de Haraucourt (pluviôse an XI).
Réfractaire, retiré chez un ami, M. Belcourt, à Saint Mihiel. Inquiété par des révolutionnaires, doit fuir à Nancy chez M. Guilgot.
GUERI ou GOEURI Dominique Châtel-sur-Moselle 1707
Belchamps
  1651 A Verdun (1669).
GUERI Pierre Châtel-sur-Moselle 1686
Toul
  1651 
GUERIN Claude François 1758
Chemilly, diocèse de Besançon
  1779
Autrey
  
GUERING Ignace 1746
Rouffaits
  1766
Pont-à-Mousson
  
GUEURI ou GOEURY Remi Bayon 1738
Blainville
  1691 Vicaire de Chanteheux (1711-1712).
Curé de Blainville-sur-l’Eau (1721-1738).
GUILGOT Charles Nancy 1707
Naix
  1658 Prieur de Viviers (1668-1670).
Prieur-curé de Naix-aux-Forges (1679-1707).
Fait bâtir un autel du rosaire à Naix.
En 1697, accompagne Massu pour visiter Aoste.
GUILGOT Joseph Nancy 1713
Gerbéviller
  1663 Enseigne à Aoste la 6e (1666) et la 4e (1667).
En Lorraine à partir de 1667.
A Pont-à-Mousson (1672).
Curé de Verdun (1685).
Remplace le sous prieur de Saint-Pierremont, Georges De Haut, en avril 1687.
Professeur de philosophie à Saint-Pierremont (1691-...).
A Chaumousey (1693-1695).
Curé de Chaumousey (1693 et 1702).
Sous prieur à Domèvre (1695).
Curé de Domèvre (1695-1696).
Sous-prieur de Chaumousey (1702).
Directeur des religieuses de Gerbéviller (...-1713).
« il se fut mis en état de rendre beaucoup de services s’il eut été plus attentif à domter ses passions, qui le précipitèrent enfin dans un abyme qui l’a perdu » (Massu, Mémoires, p.104).
GUILGOT Nicolas Nancy 1710
Lunéville
  1666 Curé de Blainville-sur-l’Eau (1694-1705). Rappelé par le général.
GUILLEMARD Jean Baptiste 1734
Longwy
  1754 et 1755
Pont-à-Mousson
  Refusé en 1756.
GUILLEMARD J. Guillaume   1751
Alors prieur d’Hérival
    Vicaire d’Antoine René De Baillet à Neuville-Saint Hilaire (1739-1745).
Prieur de Lunéville (1744-1747).
Prieur commendataire d’Hérival (1746-1751), nommé par Stanislas, et prieur claustral dans le même temps.
GUILLEMIN Joseph Mathias ou Joseph Mathurin 1714
Preny
1768
Nancy, aux Trois Maisons
  1732
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Domèvre (1732).
Curé de Domèvre (1750).
Prieur de Domèvre (1751).
Curé de Bauzemont (1751-1768).
GUILLOT Charles         Enseigne à Aoste la 3e (1688-1689), les humanités (1690) et la rhétorique (1691).
GUINET Charles 1611
Pont-à-Mousson
1630
Pont-à-Mousson, mort de la peste (Drouin, p.214-222 ; 236)
  13 mai 1627 Fils du juriste Nicolas Guinet, professeur de droit à Pont-à-Mousson, et d’Anne Varin. De « la même classe » que Bellot ; « ils aident un peu à réparer le chœur, mais leur régent, le Père Mérigaut (Jésuite), est extrêmement fâché et nous blâme fort de ce que nous leur faisons quitter leur rhétorique au milieu de l’année, que nous les recevons si jeunes et si légèrement et qu’ils ne luy ont pas demandé son avis. » (lettre à Saint-Pierremont, le 27 avril 1625). A alors 14 ans.
Est là depuis « pasques dernier et désireroient prendre l’habit l’un de ces jours avec Jean (Estienne) » (Lettre à Saint-Pierremont, 3 juin 1625.).
Envoyé au Pont y étudier (résolution du conseil du 16 novembre 1627). Y recoit les cours du Jésuite Haraucour de Chambley (philosophie et logique) et a comme supérieur et directeur Fourier la première année (Drouin p.225).
« Le petit Guinet me servant à l’autel » à Pont-à-Mousson, « jours de fêtes et dimanches » (lettre à Guinet et Lemulier, 24 décembre 1627).
Passa quelques temps à Viviers (?) puis à Saint-Pierremont avec Dominique Thiébauld en 1627 (Drouin p.222).
Désigné pour l’assaut de Toul (lettre à Guinet et Lemulier, 10 septembre 1627) et envoyé (lettre à Guinet et Lemulier, 15 octobre 1627 ; Drouin p.224). A Toul en avril 1628 (lettre à Guinet et Lemulier, 21 avril 1628).
GUINET Jean Pont-à-Mousson 1651
Aoste
  1632 A Saint-Pierremont en 1634.
Part en Valais avec Pierre Desfayes (1636).
Vit à la cure de Saint-Maurice d’Agaune (1636-1637) et membre du choeur. Y organise un noviciat pour Albert Grillot et Nicolas André.
Curé de Vollèges en Valais (1637-1648), nommé par l’abbé de Saint Maurice Quartery à la demande des habitants (Annales de Saint Bénin).
Délégué par le général pour mener à bien les négocations pour obtenir le collège d’Aoste (1643), en remplacement de Jean Etienne. En réalité, reste dans sa cure, laissant Pierre Desfayes négocier.
Nommé visiteur du collège d’Aoste par Terrel (1645).
Négocie avec Etienne pour l’union de Verrès (1647).
Supérieur du collège d’Aoste (1648-1651).
Régent de 6e à Aoste (1649).
« bien versé au droit » (Annales de Saint Bénin, p.36.).
GUINET Nicolas 1600
Blénod-lès-Toul ou Autun
12 avril 1632
Pont-à-Mousson, mort de la peste à
  31 août 1625 Fils de Philibert Guinet et de Catherine Robin, neveu de Nicolas Guinet, juriste célèbre et professeur de droit à l’Université de Pont-à-Mousson.
Nicolas Guinet pratiquait déjà toutes sortes de mortifications alors qu’il n’était qu’étudiant à Pont-à-Mousson. Il s’était procuré « tout un arsenal d’instruments de pénitence : discipline, cilices, haires, ceintures de fer » (Jean ROGIE, Histoire du B. Pierre Fourier, tome II, p.20) ; or à cette époque il ne connaissait ni Fourier ni les chanoines réguliers. Un de ses amis de l’époque raconte même qu’il redoutait de se trouver seul avec lui car il l’avait déjà forcé à le fouetter ! Lorsque Guinet devient novice, Fourier va d’ailleurs vouloir modérer ses ardeurs et mettre son obéissance à l’épreuve, en l’obligeant à avaler du vin peu coupé d’eau, du rôti et d’autres mets délicats (Jean ROGIE, op. Cit, tome II, p.89).
A 24 ou 25 ans en entrant dans la Réforme, la première année (Drouin p.250).
En avril 1625, « fait tous les dimanches après None des exhortations au peuple sur le Pater Noster. (lettre à Saint-Pierremont, le 27 avril 1625).
« il est si gentil et si bien réformé » (lettre à Lunéville, 2 août 1625).
« n’a pas fait encore sa profession, ayant été empêché à visiter, repaître et consoler les pauvres gens malades de Badonvillers. Présentement en étant retourné il donne les exercices à MM. Tacon et Bedelle pour prendre l’habit le jour de la profession de leur maître » (lettre à Saint-Pierremont du 25 août 1625).
« A de la malice assez et de la diligence pour estre emploié à ce digne œuvre-là »(faire faire des exercices aux novices ; lettre à Lunéville, 20 octobre 1625).
Au sujet des novices : « M. Guinet déteste les srcupuls et leur fait la guerre à toute outrance quand il en peut sçavoir quelqu’un des cachez ès esprits de ses gens » (lettre à Saint-Pierremont, 15 mars 1626).
Prêtre le 11 avril 1626 à Molsheim ; dit sa première messe le 7 juin seulement (lettre à Nancy, 6 juin 1626) après avoir été préparé par Fourier (lettre à P-A-M, 8 mai 1626).
Proposé par Fourier pour donner « jour après autre les exercices à MM. Maillet et Taravel » (lettre à Lunéville du 20 avril 1626).
Après le départ de Manceau pour Belchamps, prieur à Lunéville en 1626 (lettre à St Mihiel du 20 septembre 1626 ; Drouin p.215). « avoit continué dans sa charge de Maistre des Novices avec celle de Prieur qu’il eut » (Drouin p.216).
Envoyé réclamer de l’argent à M. Humbert, avec Petitjean (lettre à Guinet du 6 octobre 1626).
Après la mort de l’abbé de Saint-Pierremont (12 ou 13 novembre 1626) part « a St Pierremont pour veoir ce qu’il seroit bon de faire touchant son successeur en ladite abbaye » (Drouin p.216). Manceau veut l’envoyer avec Lemulier auprès de François de Vaudémont et de son fils Nicolas-François après la mise en commende de Saint-Pierremont (lettre à Lemulier, 29 novembre 1626).
Désiré par les frères du Pont qui disent qu’il « y feroit merveille et pour nos étudians présens et pour le grand nombre d’autres qui se présenteroient. Je le crois fermement. Nos Frères ajoutent que tant et si longtems que l’on n’y verra le dit Révérend Père, on n’y fera pas grand-chose, on ne s’y avancera, je les crois fermement» (lettre à Guinet et Lemulier 28 avril 1628).
Envoyé à Rome avec Lemulier (mai 1627) ; entretient alors une correspondance avec Fourier.
Selon les lorrains de Rome, « il pratiquait une grande abstinence et y (à Rome) estoit admiré pour sa modestie » (Drouin p.331) ; désire alors être dispensé de toute charge à l’avenir par humilité (Drouin p.331).
« si mortifié, si petit devant ses yeux, et si grand devant les yeux d’autruy qui sont plus clairvoyans, ce Père qui en un mot est un parfait saint » (lettre à Pont-à-Mousson, 1er janvier 1629).
Connaît la Bible et les Anciens (lettres envoyées de Rome) ; maîtrise le latin.
« fort sçavant en lettres humaines, philosophie et théologie » (Drouin p.250)
Revient comme prieur de Lunéville (lettre du 3 janvier 1629). Elu premier général le 25 janvier 1629 (Drouin p.232).
Elu à Lunéville, à l’unanimité premier général de la Congrégation le 25 janvier 1629 : « tout surpris de se veoir choisy de la sorte commença à larmoyer et se deffendre qu’il ne pouvoit accepter cette charge, mais s’y voyant pressé par les prières de tous, et par le RP. De Mattaincourt, il l’accepta moyennant que ledit RP. L’assisteroit à porter le fardeau de ceste charge. (...) Outre la charge de la Congrégation Notre Sauveur, le RP. De Mattaincourt le pria de voiloir prendre le soing avec luy des religieuses de la congrégation Notre Dame ce qui luy donna beaucoup de peines estant continuellement demandé pour aller visiter leur monastère et obligé de donner response à grande quantité de lettres qu’elles luy adressoient » (Drouin p.232).
« nous sommes si satisfaites et édifiées qu’il nous a laissées toutes très consolées et dans les admirations de sa vertu et sainteté » mais plus loin « dès son arrivée en cette ville, commença de faire des ordonnances à notre préjudice et que nous n’approuvons pas, vous priant de les faire révoquer » (lettre des religieuses de Verdun à P. Fourier, 26 février 1629).
Réside à Pont-à-Mousson où Tacon le remplace lorsqu’il s’absente (Drouin p.232).
GUION Jean Louis 1737
Dieuze
  1758
Pont-à-Mousson
  
GUIOT ou GUYOT Alexis 1747
Charmes
1770
Saint-Pierremont
1766
Pont-à-Mousson
1767
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1768-1769).
GUIOT ou GUYOT Remi 1767
Pierrefitte
    1785 A Saint-Pierremont (1790), en sort en février 1791.
Se rend à Saint-Mihiel et s’établit à Pont-à-Mousson le 12 avril 1791.
GUNTHER Jean Jacques 1761
Beblenheim, diocèse de Bâle
  1781
Autrey
1782
Autrey
A Bouquenom (Sarre-Union, 1790).
GUSTIN Emmanuel 1766
Fougerolles
  1785
Autrey
  
GÜTHMAN François Joseph 1757
Ribeauviller, dicèse de Porentru
  1781
Autrey
1782
Autrey
 
GUYON Nicolas 1722
Dieuze
  1742
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1743.
GUYOT Jean         Vicaire de Roland Dunesme à Neuville-Saint Hilaire en 1719.
HACHON François 1711
Nancy
1781
Alors curé du Clerjus
1728
Pont-à-Mousson
1729
Pont-à-Mousson
Vicaire de Chanteheux (1740-1741).
Enseigne à Aoste la philosophie (1742-1743).
Prieur de Dommartin (1748-avant 1751).
Curé du Clerjus (1756-1781).
HACQUARD Charles 1741
Chevillon près de Metz
  1764
Pont-à-Mousson
  
HAEGEL François Nicolas 1755
Creutsfeld, paroisse de Saverne
  1777
Autrey
1778
Autrey
Préfet des salles à Pont-à-Mousson (1785).
Enseigne à Pont-à-Mousson la 5e (1786).
Enseigne la 3e et la 4e à Lunéville (1787-1789).
Régent à Lunéville (1790).
HAILLECOURT Joseph 1739
Charmes
  1758
Pont-à-Mousson
  
HAINAUT Antoine 1745
Tantonville
1824 ou 1823
Tantonville
1763
Pont-à-Mousson
1764
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1765).
Etudie la théologie à Chaumousey (1766-1767).
A Metz (1770).
Enseigne à Pont-à-Mousson la rhétorique (1785).
Sous Principal de Pont-à-Mousson (1786-1788).
Prieur de Domèvre (1789-1790).
A Tantonville en pluviôse an XI (en serait curé).
HALARD ou HAZARD Louis 1739 ou 1735
Metz
  1759
Pont-à-Mousson
1760
Pont-à-Mousson
Préfet au collège de Metz (1768).
HALENSIER ou HALANZIER Nicolas 1750
Lunéville
1824 ou 1823
Bonviller, noyé
1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Desservant à Baccarat.
Missionnaire (1786-1788).
Auteurd’une autobriographie (31 fol.) et de sermons (17 fol.) manuscrits et d’une correspondance (Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France, 1885 : Lunéville, n°55).
« Régent médiocre, missionnaire nul, orateur au-dessous du médiocre » (Chatrian).
Vicaire de Jadot à Monts (1788).
A Belchamps (1790).
Curé de Plombières (1790-1791) ; chassé par ses paroissiens.
Assermenté sous la Révolution, et « obstiné dans les principes révoltants du schisme constitutionnel, intrigant, ignorant... » (Chatrian, BDN, MC 8).
Curé de Lunéville (avant 1798-après 1801).
Participe au synode diocésain de 1801.
A Bénaménil (janvier-avril 1806).
Fixé à Lunéville vers 1810.
A Deuxville (1812), « n’était pas employé depuis longtemps ».
A Herbéviller (1813).
A Bonviller (1815).
HALLOT Jean Pont-à-Mousson 1679
Autrey
  1632 Etudie la philosophie à Pont-à-Mousson (1633-...).
A Saint-Pierremont (1643-...).
A Verdun (1657).
HALLOT Nicolas Pont-à-Mousson 1694
Domèvre, « après avoir receu tous les sacrements, et fut enterré en l’église de l’abbaye de Domèvre » (ADMM, H 1386)
  1647 Signe à Verdun en 1661 un acte condamnant les 5 propositions de Jansénius.
Vicaire résident de Saint Sauveur et Petitmont (1668-1692).
HANNUS Jacques-Sigisbert Nancy 1740
Epinal, « d’une fausse pleurésie n’ayant été malade que trois heures, mais étant travaillé depuis plusieurs années de l’astme qui l’avoit fort affoibli. Il est enterré aux religieuses » ADV, XII H 4.
  1704 « Rare mérite ». Son spolium « consistoit en très peu de chose ; et qui n’alloit guères au-delà des frais de son enterrement » (ADV, XII H 4).
Etudie la philosophie à Domèvre (1704-1705).
Envoyé à Pont-à-Mousson (1706).
A Saint-Pierremont (1707).
Sous-diacre le 21 novembre 1709.
Enseigne à Aoste la 5e (1710), la 3e (1711), la philosophie (1712), la théologie (1713 et 1721).
Directeur du séminaire d’Aoste (1715-1717).
Supérieur du collège d’Aoste (1717-1723).
Prieur de Nancy (1726-1732).
Prieur de Lunéville (1733-1736).
Directeur des religieuses d’Epinal (avant 1738-1740).
HANNUS J. F.         Maître des novices de Pont-à-Mousson (1724-1725).
Prieur de Pont-à-Mousson (1735-1737).
HANNUS Nicolas 1679
Nancy
1757
Domèvre
  1696 Etudie la philosophie à Domèvre (1697-1698).
Adjuteur à Domèvre (1712-1714).
HANNUS Vosmaire   Dommartin     Adjuteur.
HANUS Jean ou Nicolas Nancy 1661 ou 1662
Belchamps
  1632 Ancien novice de Toul (Guinet p.224) avec Voirin. Au moment de la réforme, a 24 ans dont 9 ans où il a porté l’habit. « a passé par la 3e classe du collège de Nancy et prêt de monter en 2e au Pont s’il y fut allé, a ouy sa logique et physique encore, ce crois-je, chez les religieux de Nancy. Nous luy avons dit qu’on le nourrira à Saint Nicolas de Verdun pour aller au collège et servir l’église et qu’après sa classe de rhétorique on l’éprouveroit un an au noviciat pour reconnaître s’il est appelé de Dieu, et qu’au cas qu’il soit trouvé propre on l’admettra à la profession » (lettre à Guinet, 15 octobre 1627).
Curé de Mattaincourt (1637-1644).
Prieur de Belchamps (1648 et 1653-1661).
HARMANT Joseph Nancy   1721
Pont-à-Mousson
  
HARNEPONT Jean François 1737
Nancy
  1755
Pont-à-Mousson
  
HAUMANT Dominique Verdun 1636
Belchamps
  1632 
HAUSTETE ou HAUSSETETE Jean François 1737
Conflans en Bassigny
  1754
Pont-à-Mousson
1755
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1755-1756).
Etudie la théologie à Chaumousey (1757-1760).
Professeur d’humanités à Metz (1768).
Curé de Chaumousey (1775 et 1778).
Curé de Remicourt (1781-1791).
Assermenté durant la Révolution.
HEMAN François 1763
Sélestat
  1783
Autrey
1784
Autrey
Fils d’un boutonnier de Sélestat.
Etudie la philosophie à Chaumousey (1784).
Enseigne la 7e à Pont-à-Mousson (1790).
HEMANN Charles Louis 1766
Sélestat
  1785
Autrey
1787 A Saint-Pierremont (1790), sort en février 1791.
Séjourne à Benfeld, et se rend à Pont-à-Mousson le 20 mai 1791.
HENRI Dominique Toul 1706
Pont-à-Mousson
  1660 Adjuteur.
HENRI Nicolas         Curé de Chaumousey (1773).
HENRI Nicolas Verdun 1705
Kierprie
  1657 A Chaumousey (1661).
Enseigne à Aoste la 6e (1662-1663).
A Verdun (1675).
Prieur de Verdun (1680-1682).
HENRION François Toul 1751
Alors curé de Marthemont
    Etudie la philosophie à Domèvre (1712-1713).
A Saint-Pierremont, pour ses études (1714-...).
Enseigne à Aoste la 3e (1718), les humanités (1719), la philosophie (1720-1723).
Sous-diacre le 23 septembre 1719.
Curé de Marthemont (1736-1751).
HENRION J. A.   1681     Curé de Vaxoncourt (1670-1678).
HENRION Jacques 1736
Xivri ou Sionviller (ms 759), diocèse de Trêves
  1757
Pont-à-Mousson
1758
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Chaumousey (1761).
Régent d’humanités à Lunéville (1768).
Vicaire de Gondrexon (1781-1791).
Est devenu curé constitutionnel de Gerbéviller après 1791.
HENRION Michel 1761
Bazail, diocèse de Trêves
  1783
Autrey
1784
Autrey
Fils de laboureur.
« Le motif principal qui l’a porté à embrasser l’état de chanoine régulier étoit de se rendre utile au public et à son ordre » (AN, D XIX/13).
Enseigne à Nancy la 6e (1787).
Enseigne à Pont-à-Mousson la 7e (1788).
Enseigne à Pont-à-Mousson la 4e (1790).
Demande à sortir de Pont-à-Mousson le 10 mai 1790.
HENRIOT Claude 1754
Toul
  1774
Pont-à-Mousson
  
HENRIOT Dominique 1749
Toul
Après 1790 1767
Pont-à-Mousson
1768 Prieur de Pont-à-Mousson (1776).
Enseigne à Nancy la 2e (1778-1780).
Présent à Chaumousey (1783).
Curé de Chaumousey (1784-1786).
Prieur de Viviers (1786-...).
A Toul (1790).
HENRY         Semble ne pas donner satisfaction à Verdun : « ...nos bons pères de Verdun nous écrivent d’Aubry et de Henry. Me semble qu’il seroit expédient jour après autre, et dès demain si faire se pouvoit, leur envoyer quelques-uns de ceux qui sont encore à Lunéville pour employer au chœur en lieu de ces deux-là » (lettre à Guinet, 14 novembre 1626).
Mention en 1626 : « envoyez à (...) Verdun par les pères de Lunéville, et accompagnez de Claude le cordonnier » (itinéraire pour deux jeunes religieux de la congrégation de Notre Sauveur, 15 juillet 1626), avec Dapvril.
N’aurait pas fait profession. Absent du ms 759.
HENRY Antoine 1731
Briensis
  1748
Pont-à-Mousson
  
HENRY Charles 1728
Lunéville
1814 1744
Pont-à-Mousson
1745
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1745-1746).
A Chaumousey (1766; 1768-1769).
A Hérival (1770-...).
Administrateur de Rehainviller (...-1790).
A Burlioncourt (pluviôse an XI).
A Vannecourt (germinal an XI).
HENRY Claude   1688
Verdun
  1635 A Verdun (1664, 1669, 1675, 1676, 1681, 1682, 1684, 1687).
Sous-prieur et procureur à Saint-Pierremont (1673).
« fort attaché à sa règle, mais d’un génie trop borné pour la conduite des deux menses » (Massu, Mémoires, p.10).
HENRY Dominique Mirecourt 1701
Verrès
  1654
Verrès
A Verrès jusqu’en 1659.
Enseigne à Aoste la 5e (1659-1660), la 3e (1661-1662).
Première messe à Aoste en 1661.
Sacriste de Verrès (1663-1664, 1667-1669, 1671-1672).
Supérieur du collège d’Aoste (1670).
Curé d’Arnad (1672-1701).
HENRY Jean 1718
Rosières-aux-Salines
1788
Alors curé de Marthemont
1738
Pont-à-Mousson
1739
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1743.
A été régent d’humanités 4 ans à Lunéville. Possiblement le professeur détesté par Laurent Chatrian à Lunéville (avant 1747).
Curé de Marthemont (1751-1788).
HENRY Jean François 1748
Pulligny, diocèse de Toul
1826 1772
Pont-à-Mousson
1773
Pont-à-Mousson
Professeur de théologie à Chaumousey (1783, 1786).
A Belchamps (1790).
A Sion (pluviôse an XI), renonce à la succursale de Chaouilley.
A Chaouilley, et dessert Sion (septembre 1805).
Se borne à desservir Sion (juillet 1805).
Interdit depuis le 10 mai 1817.
HENRY Joseph François 1715       Etudie la philosophie à Domèvre (1715-1717).
Prieur de Nancy (1740).
Prieur de Toul (1742).
Prieur de Verdun (1743-1749).
Curé de Verdun (1743-1749).
HERBILLON         Curé de St Léon de Toul. Contemporain du P. Fabri qui lui remet la lettre de Fourier de 1623 (billet de pénitence).
HERBILLON François       Vers 1707 Etudie la philosophie à Chaumousey (1708-1709).
HERBILLON Nicolas Verdun 1675
Toul
  1656 A Verdun (1664).
HERBILLON Nicolas Antoine 1747
Verdun
  1765
Pont-à-Mousson
1766
Pont-à-Mousson
A Saint-Pierremont (1790). Alors en état de démence. Sort en avril 1791.
HERTZ Jean Christophe 1760
Berthelming
  1779
Autrey
  
HESSELAT ou HUSSELAT François 1765
Lunéville
  1784
Autrey
  Fils de commerçant.
Préfet des demi-pensionnaires de Nancy (1788).
Professeur de mathématiques à Belchamps (1788-...).
Auteur d’un dessin de Belchamps (1788).
Professeur de physique à Epinal (1790).
A Epinal (1791).
HINCQUES Nicolas Verton 1730
Saint-Pierremont
  1689 Adjuteur à Domèvre (1704-1710).
HOLLANDRE Claude Tilly 1743
Mattaincourt
1728
Pont-à-Mousson
1729
Pont-à-Mousson
Administre la cure de Mattaincourt de manière éphémère (1743).
HOLLIER Claude Magneville 1719
Dommas
  1664 Adjuteur.
HOLLIER Jean Magneville 1705
Toul
  1662 Adjuteur.
A Verdun (1675).
HOLLIER Jean Magnéville 1733
Pont-à-Mousson
  1685 
HOURDIAT ou HOURDIAUX ou HOURDION Joseph 1748
Foucray, diocèse de Metz, ou Fouirey (ms 759)
  1770
Pont-à-Mousson
1771 Administrateur de Moncel (1787, 1790).
A Lunéville (1790).
Officie clandestinement dans des oratoires privés de Lunéville sous le Directoire.
Arrêté à Lunéville, détenu à Nancy, déporté à l’Ile de Ré (1798), revient vers 1800, reprend le ministère à Lunéville.
Hubert MARTINET ou MARTINEZ François Joseph 1764
Saverne
1843 ou 1796
Ehrfurt en Saxe
1784
Autrey
1785
Autrey
Fils d’avocat.
A Strasbourg (1790).
Pendant la Révolution, instruit les pages du prince électeur de Mayence.
HUCHER Edmond Charles Remiremont 1707
Milan
  1691 Enseigne à Aoste la 6e (1697).
Vicaire au Tholy (1700).
Vicaire à Veho (1700-1701).
HUGO Nicolas 1741
Charmes
1814 1759
Pont-à-Mousson
1760
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1765.
Régent de 3e à Metz (1768) ; régent d’humanités.
Vicaire de Joseph Pierson à Mattaincourt.
Vicaire de Philippe Lhabitant à Villacourt.
Curé de Villacourt (1774-1794).
Fait un discours en 1790 pour bénir l’étendard de la garde nationale à St Germain. Elu assesseur du juge de paix à Bayon en 1791. Célèbre la « noble mission de la France chargée d’écraser la tyrannie dans toute l’Europe (14 juillet 1790 et 1791). Fait le serment de haine à la royauté avant qu’on ne le lui demande. Elu maire de Villacourt (an VIII-1799). Célèbre les « vaillantes armées » et « l’habileté de leur général Bonaparte » (an IX-1800).
Demeure à Villacourt, bien que non employé « Révolutionnaire de bonne foi » (Rogie). Déplore « l’état dégradant des français avant la Révolution ». Jureur en 1791. Adopte le calendrier républicain en 1792. Bénit encore une cloche en 1793. Dépose enfin ses lettres de prêtrise en 1793 et part pour Lunéville. Revient à Villacourt et y baptise des enfants en 1794. (registres paroissiaux et municipaux de Villacourt). Le 14 juillet de l’an VIII (1799), il fait un discours au Temple ordonnant des jeux et un bal. Le conseil municipal demande à l’évêque de Nancy le citoyen Nicolas Hugo comme curé : « depuis 1774, il a constamment resté parmi nous. Aussi n’a-t-on point vu dans le lieu de division religieuse. Si les tems l’ont obligé à quitter le ministère, il n’a pas moins comme fonctionnaire civil conseillé et donné l’exemple du bien ». En l’an XIV (1806), suspendu de ses fonctions, retiré à Bayon, il y meurt « avec édification », « ayant abjuré ses errements passés » (acte de décès ou d’inhumation de Villacourt, retranscrit dans les notes du P. Rogies conservées à la BM Nancy).
« N’est d’aucun culte » (Chatrian, BDN, MC 8).
Souscrit aux « Nouveaux principes de physique » de Carra et adresse à l’auteur des remarques « sur certains principes de son ouvrage, qu’il qualifie de hardis et de neufs ». Membre de l’académie de Stanislas et d’une académie étrangère.
HUGUIN François 1666
Ligneville, près de Mirecourt
1738
Chaumousey
  1684 Supérieur de Saint-Mihiel (1690).
Enseigne à Aoste la rhétorique (1695-1696).
Prieur de Chaumousey (1697-1699).
Prieur de Lunéville (1699-1703, 1711-1713, 1718-1725).
Abbé de Lunéville (1700-1729).
Assistant (1707-1710 et 1717-1726).
Général et abbé de Chaumousey (1726-1738).
HUGUIN Nicolas Lagneville 1739
Chaumousey
  1694 A Pont-à-Mousson (...-1714).
Prieur de Chaumousey (1714-1715).
Prieur de Saint-Pierremont (1715 et 1720).
Curé de Verdun (1723).
A Verdun (...-1727).
Sous Prieur de Chaumousey (1727).
Prieur de Chaumousey une seconde fois (1728-1729).
Prieur de Belchamps (1729).
Prieur de Pont-à-Mousson (1732-1735).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1735).
Prieur de Domèvre (1736-1737).
Prieur de Chaumousey une troisième fois (1738).
HUILLLIER Claude Aoste 1651
Aoste
  1648 Régent de 3e à Aoste (1651).
HUIN Jacques ou Isaac Pont-à-Mousson 1662
Saint-Mihiel
  1635 Prieur de Domèvre (1648).
Signe à Verdun en 1661 un acte condamnant les 5 propositions de Jansénius.
HUIN Jean-Joseph Nancy 1720
Nancy
  1663 Enseigne à Aoste la 5e (1665), la 4e (1666), la 3e (1667), les humanités (1668).
Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1671-1672).
Supérieur de Saint-Mihiel (1678-1687).
Curé de Bauzemont (1687-1720).
Décède a Nancy, « où il estoit transféré pour le reste de ses jours, avec tous ses effets, il n’y fut que huit jours, pour y porter sa succession et ses os ; après avoir possédé le riche bénéfice de Sozemont plus de trente ans, par cette translation il cessa c’être de notre chapitre [de Domèvre] aiant abandonné son bénéfice pour n’y plus retourner, et estant attaché à la maison de Nanci par ordre de Mr le Gnal ; chaque particulier estant membre d’une communauté aussitost qu’il y est arrivé, per solam obedientiae exhibitionem par cette raison nous ne lui avons dû que les suffrages communs à tous les confrères » (AD M&M, H 1386).
HUMBERT Jacques 1613
Mirecourt
1682
En revenant d’un voyage en Piedmont
  1635 Etudie en Sorbonne à Paris avant 1643.
Méritant (annales de Saint Bénin).
En Lorraine jusqu’en 1643 puis envoyé à Aoste après cette date, pour le collège dont le général ignorait s’il avait été finalement repris.
Enseigne à Aoste la 5e (1643-1645).
Envoyé en Lorraine pour informer le général de l’avancement du collège (1645).
Econome du collège d’Aoste (1649, 1652-1662, 1681-1682).
Supérieur du collège d’Aoste en 1645, 1652-1665 et 1679-1682. Y construit les bâtiments pour le bétail.
Vicaire de Challand (1653).
Curé d’Ayas (1665).
Curé d’Arnad (1665-1671).
Curé de Challand (1671-1679).
HUMBERT Jean Baptiste 1752
Bar-le-Duc
  1776
Pont-à-Mousson
  
HUMBERT Joseph Mesnil 1698
Domèvre
  1690 Adjuteur à Domèvre (1692-1698).
HUMBLOT Jacques Verdun 1712.
Saint-Mihiel
  1684 
HUNTZINGER Nicolas 1733
Rouffac, Alsace, diocèse de Bâle
1771
Rouffac
1754
Pont-à-Mousson
1755
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1755-1756).
Etudie la théologie à Chaumousey (1757-1760).
HUNZINGER Jean Nicolas 1733
Bruxelles
  1753
Pont-à-Mousson
  Renvoyé avant sa profession.
HURAULT Benoît Verdun     1709 A Saint-Pierremont (...-1714).
A Chaumousey (1714-1715).
Prieur de Strasbourg (1730).
Abbé d’Autrey (1740-1748).
HURAULT Charles 1715
Pont-à-Mousson, paroisse Saint Laurent
1770
Oncourt
  1732
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Domèvre (1732).
A Chaumousey (1752).
Curé de Chaumousey (1752).
Curé d’Oncourt (1767-1770) ; dessert la chapelle Sainte Anne de Saint-Léon de Toul (1768).
HURAULT Hyacinthe         Prieur de Lunéville (1729-1732).
Accompagne Piart à Rome pour les fêtes de la béatification de Pierre Fourier (1729-1730).
Procureur général (1738-1759).
Envoyé à Paris pour finaliser l’union de Domèvre au généralat avec Gérard.
HURAULT Jean Baptiste 1724
Etain
1754
Chaumousey
1741
Pont-à-Mousson
1742
Pont-à-Mousson
Professeur de théologie à Chaumousey (1751).
Professeur de philosophie à Chaumousey (1752-1753).
HURIOT ou URIOT Jean Baptiste 1739 (15 novembre)
Nancy
1796 (21 juillet)
Frémonville
1756
Pont-à-Mousson
1757
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1764.
A Chaumousey (1766).
Professeur de théologie à Belchamps (1768).
Enseigne la théologie à Chaumousey (1772-1773).
Prieur de Pont-à-Mousson (1775).
Prieur de Toul (1778).
Curé de Frémonville (1779-après 1790).
Participe à l’assemblée générale des trois ordres à Blâmont (1789).
Jureur en 1791 (5 février).
Menacé d’être exilé (1794). Démissionnaire (1794). Marié à une paroissienne « exaltée » de Frémonville, Marie-Catherine de Pindray (23 septembre 1794).
Retiré à Saint Maurice en 1795.
HUSSENET Gerard 1757
Pont-à-Mousson
  1777
Autrey
1778
Autrey
A exercé le ministère à Lunéville.
Franc-maçon à Epinal (Loge La parfaite union, 1786-1787).
Préfet de salle au collège de Metz (...-1787).
Vicaire commensal de Fougerolles (1787-1788).
Vicaire de Chopin à Raon-lès-Leau (1788-1790).
Envoyé à Autrey par le général en 1790, à sa demande. On l’y refuse ; il reste à Rambervillers en attendant d’être accepté par le chapitre d’Autrey. Est encore à Rambervillers en mars 1790. Ecrit alors au comité ecclésiastique qui exige des religieux d’Autrey qu’ils acceptent Hussenet. Hussenet faisait effectivement partie de la communauté d’Autrey en mai 1790, puisqu’il écrivit alors pour se plaindre de l’inventaire fait à Autrey par la municipalité de Rambervillers.
HUSSON Antoine Hiacinthe Verdun     1681 Aumônier dans les armées du roi un an après avoir été fait prêtre.
Envoyé à Verdun pour le « soulager d’une maladie d’armée » ; y fait des scandales.
Envoyé à Pont-à-Mousson, se rend insupportable auprès de son supérieur.
Envoyé à Domèvre, le supérieur Jean Lavignon étant alors un de ses amis (1696-1699).
Part pour Parise, apostasie, extorque de l’argent à la congrégation de Notre-Dame, revient à Domèvre.
Fait des scandales, se rebelle, refuse de se faire emprisonner à Domèvre.
Chanoine déviant.
Le 6 mars 1699, « sortit de la communauté par évasion pour aller à Rome » (AD MM, H 1386).
En février 1700 est toujours à Rome.
HUSSON Charles Pierrefite 1706
Verrès
  1688 Adjuteur à Chaumousey (1700-1701).
HUSSON Christophe 1756
Mont-le-Vignoble, diocèse de Toul
  1779
Autrey
1780
Autrey
Régent de 3e et 4e à Lunéville (1786-1787).
A Autrey (1787, 1790).
HUSSON Jean Georges 1752 (21 août)
Thiaucourt
1826 (3 juin)
Viéville-en-Haye
1774
Pont-à-mousson
1775
Pont-à-Mousson
Enseigne à Nancy la 6e (1779-1780).
A St Mihiel (1790).
Après la Révolution, retiré à Thiaucourt, puis à Toul.
Curé à Viéville-en-Haye (juillet 1820).
HUSSON Nicolas 1711
Thiaucourt
30 décembre 1773
Alors curé de Plombières
1730
Pont-à-Mousson
1731
Pont-à-Mousson
Curé de Domèvre (1740-1744).
Prieur de Pont-à-Mousson (1754).
Prieur de Toul (1756).
Curé de Plombières et directeur de l’hôpital du lieu (1756-1773).
Procureur général (1772-1773).
HUTIN Barthélémi   1643
Lunéville
  1634 
HUTIN Jean 1735
Saint-Mihiel
Vers 1796 1757
Pont-à-Mousson
1758
Pont-à-Mousson
Procureur à Saint-Pierremont (1768).
Directeur des religieuses de Lunéville.
Curé de Naix-aux-Forges (1783-1794). N’y résida qu’à partir de 1786.
Prieur de Toul (1785-1786).
Curé de Toul (...-1786).
Jureur en 1791.
« Révolutionnaire à petit symbole » (Chatrian, BDN, MC 8).
HUTIN Joseph Remi 1706
Saint-Mihiel
Après 1785 1726
Pont-à-Mousson
1727
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Domèvre (1729-1731).
Enseigne aux pensionnaires de Metz (vers 1740).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1747).
Prieur de Pont-à-Mousson (1748 et 1750-1753).
Directeur des religieuses d’Epinal (1754-1777).
Au collège de Metz (1777-...).
HUTIN Michel 1729
Saint-Mihiel
1785
Chaumousey
  1751
Pont-à-Mousson
Vicaire à Toul (1768).
Curé de Chaumousey (1771-1773).
Vicaire de Duquesnois à Vouxey (1774-vers 1784).
A Chaumousey (1784-1785).
IHLER Jean 1762
Thann, Alsace, diocèse de Bâle
  1781
Autrey
1783
Autrey
Préfet de salle à Metz (1790), sort en août.
Après 1791 ; devenu prêtre constitutionnel en Alsace à partir du 10 mars 1791.
IMBROUCK Jean Paul Liège 1733
Le Clerjus
  1686 Dessert les religieuses du St Sacrement de Rambervillers (...-mars 1706).
Directeur des religieuses d’Epinal (...-après 1712).
A Domèvre (mars 1706-juillet 1706).
Curé du Clerjus (juillet 1706-1733).
IMBROUCK Pierre François Liège 1741
Verneveuille
  1673 A Pont-à-Mousson (1673-1674).
Enseigne à Aoste la 6e (1675), la 4e (1676), les humanités (1678-1679), la rhétorique (1688-1690).
A Verdun (1687).
Commissaire de la congrégation pour la réalisation du projet d’union de Saint-Maurice de 1696.
Rédige un mémoire en faveur de l’union de Saint-Maurice (1696).
Curé de Choë en Valais (...-1698).
Envoyé par Massu auprès de l’électeur palatin à Dusseldorf en 1699, pour l’union de l’abbaye de Hert.
Supérieur de Saint-Mihiel (1700).
Curé de Vic-sur-Seille (1701-...).
En 1701, « il y avoit longtems qu’il cherchoit un bénéfice », car il veut s’y installer avec sa mère qu’il a fait venir en Lorraine. Nommé curé de Vic par l’évêque de Metz qui veut créer par la suite un séminaire allemand.
En 1704, aumônier au régiment des gardes de Léopold.
Curé de Chaumousey (1704).
Confesseur des religieuses d’Epinal (1705-...).
Vicaire de Bettainvillers (1712-1714).
Curé de Mance (1714-...). Résigna sa cure avant 1726.
Curé de Thumeréville (1727-1741).
« avoit beaucoup de talens pour l’administration d’une paroisse ». MASSU, Mémoires, p.200.
INGREY ou HINGRAY Jean Dommartin-lès-Remiremont     1787 Régent de 7e à Nancy (1788).
JACOB Ambroise 1739
[Au]metz
  1758
Pont-à-Mousson
1759
Pont-à-Mousson
 
JACOB Nicolas 1744
Aulnois sur Baufremont, diocèse de Toul
  1772
Pont-à-Mousson
1773
Pont-à-Mousson
Préfet à Pont-à-Mousson (1790) ; sert depuis 15 ans.
JACOT ou JACOB Ambroise 1740
Aumetz, diocèse de Trêves
1771
Lunéville
  1759 Vicaire au Tholy (1768).
JACOTEL Jean François Claude Plombières 1708
Aoste
  1701 Etudie la philosophie à Chaumousey (1702).
Etudie la théologie à Chaumousey (1705).
Enseigne à Aoste la 5e (1708).
JACQUELOT ou JACTOT ou JACLOT Jean 1761
Saulny, diocèse de Metz
1824 1784
Autrey
1785
Autrey
Enseigne aux « commençants » de 7e à Pont-à-Mousson (1788).
Enseigne la 5e à Pont-à-Mousson (1790).
Demande à sortir de Pont-à-Mousson le 10 mai 1790.
JACQUEMINET ou JACQUEMIN Vincent 1636
Dannevoux (Drouin p. 212, 221, 287. Lettre à Maretz, fin février 1636)
    21 février 1627 (Drouin p.221).
Lunéville (Drouin p.217)
Ancien novice de Verdun ; un des premiers envoyés à Saint-Pierremont (Drouin p.212).
A Saint-Pierremont fin 1625 (lettre « sur quelques affaires de la congrégation de Notre Sauveur », novembre ou début décembre 1625). Amené à Lunéville par Lemulier, avec Pierre Pierre, sur demande de Fourier (lettre à Lemulier, 5 novembre 1626).
Membre du chapitre de Belchamps le 4 septembre 1627 (AD M&M H 1282).
A Saint-Pierremont en 1634.
En 1636, pourvu de la cure de Dannevoux (village natal), dépendant de l’abbaye de Verdun.
Curé de Dannevoux (163.-1636).
JACQUES Charles Louis Merviller 1730
Boncourt
  1677 A Pont-à-Mousson (1678).
En 1680, a écrit « deux lettres séditieuses et pleines de calomnies, l’une escrite au Pont-à-Mousson, l’autre à Lunéville sans datte, adressées au RP Philippe Georges », ce qui lui valut « une discipline publique au réfectoire pendant l’espace d’un misere ». A également écrit une « lettre sans date et sans soubscription » au général, « sous une enveloppe adressée au P. Charles Mengin au mois de may dernier, pleine de calomnies et d’injures tant contre son supérieur que contre le régime de la congrégation », ce qui fut puni par 3 semaines de prison, des jeunes et du fouet « et de plus sera inhabil aux ordres sacrés et aux études pendant l’espace de 6 ans » (AD Meuse, 13 H 6).
Curé de Verdun (1687).
Curé de Boncourt (1695-1724).
A Boncourt, fait des dettes en raison de « la misère des temps, les réfections, les augmentations ». Au début des années 1720, graves difficultés avec l’abbaye de Verdun au sujet de ses revenus.
JACQUES François 1702
Vassoncourt ou Vaxoncourt
1770
Chaumousey
1719
Pont-à-Mousson
1720
Pont-à-Mousson
Directeur des religieuses d’Epinal (1742).
Curé d’Oncourt (1747-1760).
Retiré à Chaumousey (1761-1770).
JACQUES François Verdun (ms 759) ou Maizières (lettre à Guinet et Lemulier, 18 février 1628) 4 novembre 1638
Verdun
  21 decembre 1628 Ancien de Toul.
« a très belle voix et désire fort de se réformer » (allusion ; lettre à Petitjean du 28 octobre 1627).
« sont deux ou trois ans qu’il persiste avec beaucoup d’insistance à demander entrée en notre congrégation. M. Poirot qui l’a gouverné quelques années au séminaire de feu Mgr de Toul du Châtelet nous donne très bon témoignage de luy. » « il persévère à se bien porter et avoir bon courage, il y a apparence ce me semble qu’il ne demeurera pas du tout inutile chez nous. S’il plaît à Votre Révérence le prendre à l’essay, on verra ce que c’est. » (lettre à Petitjean du 4 décembre 1627).
« Nous vous remercions de ce bon garçon, François, que (Fourier) nous a envoyé » (lettre de Petitjean à Fourier, 16 décembre 1627).
« Avez-vous opinion qu’avec le temps on pourra l’employer ? Au moins au chœur ou en quelque basse classe ? » (lettre à Lunéville, 19 décembre 1627).
Petitjean devra « prendre garde de près aux actions et paroles et forces et esprit de François pour voir s’il pourra nous être propre » (lettre à Petitjean, 27 décembre 1627).
« Le P. Terrel qui a officié par occasion audit Lunéville le trouve bien grossier » (lettre à Guinet et Lemulier 21 janvier 1628).
« il est monté en logique à cette saint-Luc. Bien est-il vray qu’il n’y a pas porté la réputation d’être des plus subtils et des plus éveillez, à ce que je conjecture » (lettre à Petitjean, 4 décembre 1627).
« N’est pas des plus éveillez de son village de Maisières » (lettre à Guinet et Lemulier, 18 février 1628).
Proposé pour remplacer Aubrion à Domèvre.
Passe de Belchamps à Saint-Pierremont pour se réfugier (1635).
JACQUES Jean Joseph 1765
Longwy
Après 1790 1784
Autrey
  Demande à sortir de Pont-à-Mousson le 10 mai 1790.
Professeur des commençants à Pont-à-Mousson (1790).
JACQUET Dominique René 1735
Nancy
  1752
Pont-à-Mousson
  Renvoyé avant sa profession.
JACQUET ou JACQUEL Charles Saint-Mihiel Salzbourg   1651 Régent de 6e à Aoste (1652).
Régent de 4e à Aoste (1653).
Régent de 3e à Aoste (1654).
Régent de 4e à Aoste (1655).
Régent de 3e à Aoste (1656).
A Verrès après 1657.
Régent de 6e à Aoste (1683). Prieur de Viviers en 1667 et 1676.
Curé du Tholy (1674-1676).
En Lorraine jusqu’en 1683.
JACQUOT ou JACCOD Georges Nancy 1709
Lunéville
  1694 A Chaumousey (1700).
Enseigne à Aoste la 5e (1702), la 4e (1703).
Confesseur au collège d’Aoste.
Vicaire (10 octobre 1703-1706) puis curé (12 avril 1706-août 1707) de Saint-Marcel, Val d’Aoste.
Vicaire au Tholy (1708).
JADOT Henri François 1722 ou 1719
Lunéville
1789
Alors curé de Mont-sur-Meurthe
1738
Pont-à-Mousson
1739
Pont-à-Mousson
Vicaire de Jolivet (1763-1768).
Sous-prieur de Lunéville (1768).
Curé de Lunéville (1769-1778).
En 1770, refuse de célébrer les funérailles du curé de Couvey, le Père Duveney, franc-maçon notoire, mort à Plombières le 15 juillet 1770.
Prieur de Lunéville (1769-1772).
Curé de Mont-sur-Meurthe (1778-1789).
JAEGER François Joseph 1754
Thaun, diocèse de Bâle
  1775
Pont-à-Mousson
1776
Pont-à-Mousson
Sous principal, économe et régent de rhétorique à Bouquenom (1787-1790).
Dénoncé par la municipalité de Bouquenom ; part puis revient fin 1792 ; ayant prêté le serment avec retard, perd sa pension et quitte le département de la Moselle.
JANIN Claude 1739
Neuville
  1756
Pont-à-Mousson
  
JANNOT Pierre 1717
Saint-Mihiel
  1736
Pont-à-Mousson
  
JANOT Claude 1764
Morizecourt ou Frain (Vosges)
  1784
Autrey
1785
Autrey
Fils de laboureur.
Préfet de salle à Metz (1790), quitte la maison en août.
Après 1791. En mai 1791, est à Morizécourt, district de Lamarche.
JAUSSAND Martin 1742
Romain sur Moselle
  1761
Pont-à-Mousson
  
JEAN Charles Antoine 1751
Silly Saint Etienne
  1776
Autrey
  
JEANDEL ou JANDEL Joseph Le Tholy ou Epinal   1721
Pont-à-Mousson
1722
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Belchamps (1722-1723).
Fait une troisième année de philosophie à Domèvre (1724).
Etudie deux ans la théologie à Domèvre (1725-1726).
Ne fait pas sa 3e année de théologie, car se trouve en pénitence.
En pénitence en 1727, « qu’il avoit méritée pour les fautes commises de compagnie avec le M. Nicolas Lalongé [...] convaincus l’un et l’autre de sorties nocturnes pour aller dans les cabarets du village boire et passer une parties des nuits avec des filles, qu’ils étoient en commerce de lettres avec les mêmes, et fréquemment, et qu’ils auriont violez leur vœu de pauvreté, et étoient aux moins suspects de commerce d’impudicité ». Condamné par le général à quatre mois de prison, « privé de vin, et au pain et à l’eau quatre jours de la semaine ». Il aurait purgé sa peine « avec soumission et jusques icy il l’accomplit avec édification, heureux s’il persévère, et édifie dans la suite autant qu’il le peut » (AD MM, H 1386).
A Autrey (1728-...).
Apostat. Quitte l’abbaye d’Autrey pour devenir sergent au régiment royal artillerie de Strasbourg. Il se serait marié le 2 février 1736 à Marie Mathieu, fille de Claude Mathieu dit Villeneuve, caporal de la compagnie du Soucy du régiment royal artillerie, dans l’église paroissiale de St Gervais de Pavie. L’officialité de Toul annula le mariage le 12 juillet 1741, à la demande de Marie Mathieu, et condamna Joseph Jendel à se retirer dans une maison de son ordre et à y jeuner trois ans au pain et à l’eau. (AD M&M, G 1306).
JEANGEON François Neufchâteau   1741
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1741.
JEANJEAN Joseph Domjevin   1723
Pont-à-Mousson
  
JEANNOT Claude 1765     Après 1785 A Metz (1790).
JEANTEL Jean Claude 1726
Lachapelle, Alsace
  1746
Pont-à-Mousson
  Refusé en 1747.
JEANTIN Nicolas Damviller 1714
Trieux
  1664 Prieur de Toul (1674).
Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1675).
Curé de Trieux (1678-1714).
JENNAL ou JENNAT Etienne 1731
Craon
1757
Saint-Mihiel
1748
Pont-à-Mousson
1749
Pont-à-Mousson
 
JENOT Jean Lori devant Metz   1757
Pont-à-Mousson
  Adjuteur laïc.
JEREMI         Prieur de Strasbourg (1688).
JEROME Claude 1736
Champigneulles
  1757
Pont-à-Mousson
  
JEROSME ou JEROME Jean Lunéville 1707
Vandeléville
  1687 Etudie la théologie à Domèvre (1692).
Enseigne la philosophie à Saint-Pierremont (1694-1695).
Enseigne la théologie à Saint-Pierremont (1695-1697).
Enseigne la théologie au séminaire de Verdun (1697-...)
Prieur de Saint-Pierremont (1700-1702).
Prieur de Domèvre (1702-1705).
Curé de Sornéville (1705-1706), élu par le chapitre de Domèvre le 16 décembre 1705.
Curé de Vandeléville (1706-1707).
JEROSME ou JEROME Nicolas Simon Lunéville 1767
Mesnil-en-Saintois
1720
Pont-à-Mousson
1721
Pont-à-Mousson
Curé de Mesnil-en-Saintois (1737-1767).
JEROSME Philippe Dieulouard 1701
Strasbourg
  1686 Chanoine et chantre de Saint-Dié. A abandonné ses bénéfices pour entrer en religion vers 1685.
« ho[mm]e de probité et de mérite » (MASSU, Mémoires, p.92).
Parmi la première communauté de Strasbourg (1687).
Supérieur de Strasbourg (1688-1701).
JOBLIN dit l’Epine, Claude Nancy Autrey   1665 
JOHEL Claude 1715
Saint-Dié
  1732
Pont-à-Mousson
1733
Pont-à-Mousson
Vicaire du Tholy (1742).
Curé de Mont-sur-Meurthe (1761-1777).
JOHEL Jacques 1743
Saint-Dié
  1763
Pont-à-Mousson
  
JOLI Jean Ignace ou Jean Joseph 1760
Thiaucourt
1819
Norroy-lès-Pont-à-Mousson
1780
Autrey
1781
Autrey
Professeur de mathématques à Pont-à-Mousson (1790). A 6 ans de service en 1790.
Emigré à Trêves en 1792 (Semaine Religieuse de Nancy, 1912, p. 15).
Après la Révolution, professeur à Sarrebourg.
Curé à Nitting (avril 1807).
Curé à Norroy (juillet 1809).
JOLI Nicolas       1663 Adjuteur.
JOLY Jean Baptiste 1750
Montfaucon
  1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Enseigne à Pont-à-Mousson la 3e (1785), la 2e (1786-1788).
Sous principal à Pont-à-Mousson (1790).
JONIN ou JOUIN Charles Etienne 1767
Commercy
    1787 A Saint-Pierremont (1790), sort en février 1791.
Se rend dans le district de Gondrecourt après 1791.
JONVILLE Jean Verdun 1713
Verdun
  1667 A Pont-à-Mousson (1671).
A Verdun (1681-1682, 1684).
JOSSE Jacques Nicolas 1721
Metz
1784
Alors curé de Darnieulles
1741
Pont-à-Mousson
1742
Pont-à-Mousson
Fils de noble.
A Chaumousey (1752).
Vicaire du Tholy (1753).
A Chaumousey (1762-1767).
Curé de Darnieulles (1767-1784).
KARST Jean Pierre ou Patrice Georges 1755
Erstein, diocèse de Strasbourg
1841 1775
Pont-à-Mousson
1776
Pont-à-Mousson
Directeur de l’hôpital de Lunéville (...-1786).
Procureur à Belchamps (1786-1790).
Curé de Vaxoncourt (1790-...).
Assermenté rétracté.
KEBERLET ou KÖBERLE ou GUEBERLET Jean Baptiste 1694
Saint Hipolite, en Lorraine, diocèse de Strasbourg
  1722
Pont-à-Mousson
1723
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Domèvre (1723-1724).
Etudie la théologie à Domèvre (1725-1726).
Termine sa théologie à St-Pierremont (1727).
A Chaumousey (1761-1769).
A Autrey (1769-...).
KELLER Henri 1751
Metzig
  1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Régent de 5e à Bouquenom (Sarre-Union) en 1785.
En 1785, nommé à une cure séculière, prétend faire annuler sa profession pour obtenir ce bénéfice. (Chatrian, BDN, MC 21, p.358).
KESSELER François Joseph Michel 1752
Diocèse de Bâle
  1773
Pont-à-Mousson
  
KIKLER Jean François Dieuze 1741
Bouquenom (Sarre-Union)
  1700 A Saint-Pierremont (1702).
Coadjuteur de Charles Massu à Belchamp (1720-...).
Administre la cure séculière de Bouquenom.
Sa pierre tombale est encastrée dans le mur de la chapelle Saint François-Xavier de Sarre-Union (transcription par H. Lepage, « L’abbaye de Belchamp », MSAL, 1867, p. 289).
KLEIN André 1759
Aeldorf, diocèse de Strasbourg
1825 1779
Autrey
1780
Autrey
Régent de 5e à Epinal (1787).
Régent de 4e à Epinal (1790) ; sort du district d’Epinal le 4 mai 1791.
KLEIN Jean Baptiste 1759
Gravulle, diocèse de Metz
  1784
Autrey
1785
Autrey
Fils de laboureur.
« En entrant chez les chanoines réguliers, on intention étoit de rendre ses services à la société en se livrant à l’éducation publique, et au ministère des autels ». AN, D XIX/13.
Préfet à Pont-à-Mousson (1790). Sert depuis 3 ans en 1790.
KLERGE ou KERGER Jean Nicolas 1760
Grendel, paroisse d’Alteri, duché de Luxembourg
Après 1790 1784
Autrey
1785
Autrey
Fils de laboureur.
Préfet de salle à Metz (1790), quitte la maison en août.
Devient prêtre constitutionnel en Moselle.
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