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1400 chanoines réguliers de Notre-Sauveur (1623-1789) (6/6)
 

 


Introduction
 
A -C D - F G - K L - O T - Z
Nom Naissance Décès Prise d’Habit Profession  
PACQUOTTE Jean Pont-à-Mousson 1650
Pont-à-Mousson
  1647 Adjuteur.
PADOXE Nicolas César Alexandre 1766
Rambervillers
1822   1787
Autrey
A Saint-Pierremont (1790) ; sort en février 1791.
Va à Rambervillers après 1791.
PAGNOT Jean Baptiste 1756
Vézelise
  1778
Autrey
1779
Autrey
Croquemont à Lunéville (1787-...).
A Lunéville, administrateur de la maison des orphelins (1790).
PAGNY Jean Gaspard 1709 ou 1704
Vergaville
  1729
Pont-à-Mousson
1730
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1730).
Procureur à Dommartin (1768).
PAGNY Joseph ou Jean Nicolas Etienne 1737
Maizières-lès-Vic
  1756 1757
Pont-à-Mousson
Professeur de théologie à Domèvre (1768) et à Saint-Pierremont pendant 14 ou 15 ans.
Prieur à Saint-Pierremont.
Curé de Ménaucourt (1786-1788).
Prieur à Toul (1786) ; à Toul (1790).
A Marimont après la Révolution.
Retiré à Nébing.
PANO Florent   1747 (29 décembre)
Alors curé de Val-et-Châtillon
    Etudie la philosophie à Domèvre (1706-1707).
Etudie la théologie à Saint-Pierremont (1707-...).
A Belchamps (...-1729).
Curé de Domèvre (1729-1736).
Vicaire de Pelissier à Val-et-Châtillon (1736-1737).
Curé de Val-et-Châtillon (1737-1747). Répare l’église en 1737. Fait le recensement de la population.
Fait administrer sa cure de Val-et-Châtillon par un séculier.
PANO Simon Lunéville 1743
Domjevin, après s’être démis de sa cure
  1691 Etudie la théologie à Domèvre (1693-1694).
Enseigne à Aoste la 5e (1697), la 3e (1698), les humanités (1699), la rhétorique (1700).
Curé de Verdun (1702).
Curé de Domèvre (1706-1709).
Sous-prieur de Domèvre (1706-1708).
Prieur de Verrès (1709-...).
Prieur de Domèvre (1712-1714).
Prieur de Viviers (1712).
Curé de Verdun (1717-1720).
Curé de Domjevin (1720-1743).
PAQUATTE Nicolas 1725
Bouvillé, annexe d’Einville-au-Jard
  1764
Pont-à-Mousson
1765
Pont-à-Mousson
Adjuteur à Pont-à-Mousson (1768).
Adjuteur à Chaumousey (1771-1791).
En 1791, veut se retirer dans sa famille.
A Epinal (1791).
PAQUETTE Jean Nicolas 1753
Raon l’Etape
  1774
Pont-à-Mousson
  
PARENT Jean Baptiste 1744
Dieuze
  1763
Pont-à-Mousson
1764
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1765).
Etudie la théologie à Chaumousey (1766-1767).
Etudie la théologie à Saint-Pierremont (1768).
Vicaire de Nicolas Olivier à Lupcourt (après 1783).
Conventuel cellerier à Belchamps (...-1787).
Adjoint de l’abbé Marchand à Vaxoncourt (1787).
Prieur d’Autrey (1787-1788).
Vicaire à Lupcourt-Azelot (1788-...).
A Belchamps (1790).
PARIS Benoît Joseph 1760
Rambervillers
  1785
Autrey
  Fils de drappier ; « petite tête, qui a déjà tâté de plusieurs ordres religieux, et qui a roulé le monde. Les gens doutent s’il y restera, et supposé qu’il y reste, si les forériens feront bien de le recevoir à la profession religieuse » (Chatrian, BDN, MC 120, p.242).
Le « caméléon Paris, ce prêtre inconstant est sorti du noviciat » en septembre 1788 (BDN, MC 120, p.248).
PARIS Jean Bernard 1728
Ligny
1784
Lupcourt
1745
Pont-à-Mousson
1746
Pont-à-Mousson
A Verdun (1752).
Vicaire de Gondrexon (1761-1766).
Curé de Val-et-Châtillon (1766-1780). Y réside avec son père (mort en 1771). Reconstruit l’église en 1774.
Résigne sa cure (en 1780) puis suit son successeur, N. Olivier, à Lupcourt
PARISOT ou PARIZOT Sébastien 1767
Poussay
    1788 A Nancy (1790).
Dans le district de Mirecourt (1792).
Vicaire constitutionnel de Mirecourt (avant 1797). Rétracte son serment et publie sa rétractation le 5 janvier 1797 : Déclaration et rétractation de Sébastien Parizot, chanoine régulier de la congrégation de Notre Sauveur de Lorraine, ci-devant vicaire constitutionnel de Mirecourt.
PARMENTIER Joseph 1719
Einville-au-Jard
176.
Autrey
1736
Pont-à-Mousson
1737
Pont-à-Mousson
Apostat. Parti en 175.
PASCHAL Jean Michel 1689 (1er janvier)
Morgex, Val d’Aoste
1775 (9 janvier)
Alors curé en Val d’Aoste
  1711 Noble.
Enseigne à Aoste la 6e (1712).
Prêtre le 15 avril 1713.
Vicaire d’Avoyer à Fénis en 1719-1720. Refuse d’abord l’autorité du prévôt Paul-François de Challant le 16 octobre 1719, puis l’accepte le 17 octobre.
Reconnaît le prévôt commendataire Paul François de Challant (1720).
Sacriste de Verrès (1720-1722).
Curé de Challand (24 février 1730-1735).
Econome (3 mars 1735) puis curé (18 août 1735-1775) de Saint-Marcel, Val d’Aoste.
Recensé dans le tableau de la congrégation de 1768.
PASCHAL ou PASCHALIS Jean Antoine Aoste 1711
Fénis au Val d’Aoste
  1665 Econome d’Aoste (1669).
Est en Lorraine après 1672.
Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1675).
Sous-prieur et maître des novices à Pont-à-Mousson (1676-1678).
Prieur de Belchamps (1680-1686).
Prieur de Saint-Pierremont (1688-1690).
Prieur de Lunéville (1690-1693).
Prieur de Verrès (1693-1697).
Curé de Fénis (1697-1711).
PASQUET Louis         Vicaire d’Antoine René De Baillet à Neuville-Saint Hilaire en 1732.
PASTORET Joseph Sulpice Aoste 1721
Autrey
  1673 A Verrès (1673).
Enseigne à Aoste la 4e (1677) et la 3e (1678).
Conduit seul les travaux d’aménagement de l’église de Strasbourg (1687).
En 1697, accompagne Massu pour visiter Aoste.
En 1699, accompagne l’évêque de Toul à Paris pour des questions juridiques concernant le prélat.
Abbé d’Autrey (1699-1721). Fait reconstruire Autrey.
Sollicité en 1707 par le Supérieur du collège d’Aoste, Gérard Lebrun, pour faire accepter au Supérieur Général la fondation Ribitel pour le Séminaire d’Aoste implanté au Collège Saint-Bénin.
Administre la cure séculière de Landau.
A « desservy de grosses paroisses et [s’est] beaucoup exposé en administrant les sacrements à une infinité de soldats et de pauvres malades dans les hôpitaux ». Cartulaire d’Autrey, Médiathèque de Rambervillers, p.35.
Choisit Duval comme coadjuteur et successeur (1720).
PATISSIER Vincent Tantonville   1716
Pont-à-Mousson
  Serait sorti avant sa profession.
PAUGNON Nicolas Billy-sous-les-Côtes     1677 A Pont-à-Mousson (1678).
En 1680, écrit à son père pour lui demander « de luy procurer la sortie de la [...] congrégation et l’entrée chez les RR PP Augustins ». Est puni de 8 jours de prison et d’une discipline publique au réfectoire (AD Meuse, 13 H 6).
En Lorraine jusqu’en 1683.
Première messe en 1684 à Aoste.
Enseigne à Aoste la 6e (1683), la 5e (1684-1685), la 4e (1686), la 5e (1687).
PAXION Jean Georges 1749
Gérardmer
  1768
Pont-à-Mousson
  
PAXION ou PAAION Antoine 1719
Gerardmer
  1738
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1738.
PELICIER Jean Bagnes, Valais 1669
Saint-Marcel, Val d’Aoste
  1655 Curé de Saint-Marcel (Val d’Aoste, 1665-1669).
PELISSIER Jean François 1692 1765 (9 juillet)
Alors curé d’Ibigny
  Après 1665 ? Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1671).
Vicaire de Thomas Bagneux à Hattigny (...-1730).
Vicaire de Moncel (1730-1734), à la demande du curé de Sornéville Charles François.
Curé de Val-et-Châtillon (1734-1736).
Curé d’Ibigny (1736-1765).
PELISSIER Joseph Dieudonné 1754
Domèvre
1832
Badonviller
1774
Pont-à-Mousson
1775
Pont-à-Mousson
Enseigne la 2e à Epinal (1787-1788).
Professeur de rhétorique à Metz (1790) ; quitte la maison en août.
Retourne à Domèvre en 1791, s’y marie.
PELISSIER ou PELLISSIER Jean-Jacques 1693 (18 avril)
Valtournenche
      Prêtre le 2 juin 1718.
Enseigne à Aoste la 6e (1718), la 5e (1719), la 4e (1720-1721), la 3e (1722), les humanités (1723-1724).
Refuse de se rendre à la convocation de 1719 destinée à retrancher Verrès de la congrégation.
PELISSIER Oyen ou Eugène 1708 (22 mars)
Saint Oyen, diocèse d’Aoste
  1731
Aoste, étant dispensé par la général de faire son noviciat à Pont-à-Mousson.
1732
Aoste
Frère de Jean Antoine Pelissier (né en 1715), professeur florentin et célèbre ermite napolitain pendant 32 ans, mort en 1786 (Ce dernier avait rejoint Oyen pour l’aider à la cuisine du Collège d’Aoste ; remarqué par Sinceret en 1731, il fut instruit par les Chanoines réguliers).
Oyen refuse de recevoir les ordres par humilité. Considéré comme particulièrement méritant (AD MM, H 1386).
Frère adjuteur à Aoste chargé de la cuisine (1730-1748).
Econome d’Aoste (1746).
Quitte Aoste suite à l’expulsion de ses confrères (1748).
Sous procureur à Metz (années 1750).
A Metz (1776).
PELLERIN Joseph 1736
Toul
1816
Tincry
1754
Pont-à-Mousson
1755
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1755-1756).
Etudie la théologie à Chaumousey (1757-1760).
Curé de Tincry (1767-...). En est toujours curé en pluviôse an XI.
Ne rembourse pas les 600 livres à lui prêtées par le chapitre pour son installation à Tincry. Le chapitre de Viviers annule cette dette en 1772 contre la promesse que Pellerin ne s’opposera pas à la tentative, lancée en 1766, d’ériger Viviers en cure séparée de Tincry. Pellerin décide ensuite de faire reconstruire l’église de Tincry aux frais du prieuré de Viviers, sans demander d’autorisation. Les difficultés s’agravent car les travaux commencés par ordre de Pellerin sont de qualité douteuse.
PELLETIER François 1710
Châtel-sur-Moselle
  1728
Pont-à-Mousson
 
PELLETIER Jean Lunéville 1697
Toul
  1660 Prieur de Belchamps (1677).
Curé de St Amand de Toul en 1696.
En 1696, fait un discours remarqué pour décrire à l’évêque de Toul les désordres existants dans les cures de l’évêché (Massu, Mémoires, p.128).
PERAULT François 1713
Nancy
  1730
Pont-à-Mousson
  
PERIGNON Didier         Adjuteur à Domèvre (1694-1702).
PERIGNON François Limay-en-Haye   1722
Pont-à-Mousson
  
PERIGNON Jean Verdun 1646
Verdun
  1er octobre 1630 (Drouin p.234) 
PERIN Jean Toul 1684
Toul
  1631 
PERIN Jean Toul 1705
Toul
  1655 
PEROT Nicolas Toul 1715
Toul
  1666 Curé de Chaumousey (1684).
A Chaumousey (1693).
Sous prieur à Domèvre (1696-1697).
Présent à Domèvre (1701).
PERRIN Antoine Jauny 8 novembre 1669
Tincry (Drouin, p.203, 205, 222, 291) (ADMM H 1602) (ms 759)
1623 (envoyé par M. de Maillane)
Saint-Pierremont
15 décembre 1624 Préfère donner l’habit à des novices « le dimanche de la Quinquagésime pour apporter toujours plus d’ornement et de dévotion à la solemnité des prières des Quarante Heures et de nos indulgences » (lettre à Guinet et Lemulier, 18 février 1628).
« le concours des indulgences et prières de quarante heures apportera de l’ornement et du secours, et du bonheur et bénédiction à la solennité » selon lui (lettre à Petitjean, 18 février 1628).
« grandement doux et charitables » (Drouin p.222).
Envoyé à Saint-Pierremont (Drouin p.212). Envoyé de Saint-Pierremont (?) à Lunéville (lettre du 29 juillet 1625). A Belchamps lors de la prise de possession (lettre du 29 août 1626 ; Drouin p.216). Maître des novices à Saint-Pierremont après le départ de Lemulier pour Rome (15 mai 1627, Drouin p.222), à Lunéville la même année (lettre à Guinet et Lemulier, 1er octobre 1627), puis vice-prieur de Lunéville (succède à Petitjean le 30 août 1628) ; Fourier lui reproche d’avoir admis légèrement un novice, Bréhain : « Le bon P. Perrin, vice prieur, luy a donné la soutaine ; mais il m’écrit que, depuis, nos Pères ont prins garde qu’il a la vue bien courte » (lettre à Guinet, 27 octobre 1628 et lettre à Perrin, 27 octobre 1628).
Placé « aux écoles à la place du Père Noël ».
Rentré à Lunéville depuis octobre 1627 pour y être maître des novices (au P. Guinet, 1er octobre 1627). Toujours à ce poste en mars 1628 (lettre à Petitjean, 23 mars 1628).
Curé de Tincry (1631-1669) ; « en l’an 1637 des soldats hérétiques passant à Tincry luy couperent la main gauche, voulant parer le coup que l’un d’eux luy portoit sur la teste, le glissèrent ailleurs, le mirent en chemise puis le jetterent dans un puits (...) duquel par l’aide de dieu il sortit, alla en cet estat à Viviers » (Drouin p.205).
PERRIN Claude 1734
Bainville-aux-Sauxs
  1754
Pont-à-Mousson
  
PERRIN Henri François 1735
Lessi, près de Metz
1758
Mort pendant son noviciat
1757
Pont-à-Mousson
  
PERRIN Jean   1648
Reims
  1634 
PERRIN Jean François 1732
Diarville, diocèse de Toul
1771
Lunus
1753
Pont-à-Mousson
1754
Pont-à-Mousson
Novice à Chaumousey (1754).
A Lunéville (1768).
PERRIN Joseph ou Jacques François 1744
Pont-à-Mousson
1825 1761
Pont-à-Mousson
1762 Préfet à Metz (1768).
Prêtre en 1769.
Régent à Lunéville.
Vicaire, « promenant par toute la Lorraine des sermons qui n’étaient pas de lui, dérobant à ses confrères un prieuré par la voie du dévolut » (Chatrian, BDN, MC 8).
Curé de Mecrin (1778-1793).
Assermenté en 1791, marié en 1794, puis se retire à Saint-Mihiel : « devenu avoué à Saint-Mihiel, c’est un impie avéré ». Chatrian, BDN, MC 8).
PERRIN ou PERIN Nicolas 1733
Limey, diocèse de Toul
1757
Viviers
1751
Pont-à-Mousson
1752
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1752-1753).
PERROT Lucas Ignace 1708
Saint-Mihiel
  1726
Pont-à-Mousson
  
PERRY Claude Harbouey 1690
Fort-Louis-du-Rhin
  1668 A Pont-à-Mousson (1671, 1673 et 1677).
Prieur de Belchamps (1678-1679).
Curé de Chaumousey (1679).
Procureur à Chaumousey (1679-1680).
Vicaire au Tholy (1688).
PETIT Jean 1733
Nomeny
  1755
Pont-à-Mousson
  
PETITJEAN Claude Mattaincourt 1661   28 août 1628 « Il trouve jà de la difficulté au lieu et en l’office où on l’a mis, et semble que pour le voir à repos, il faille l’en retirer, et mettre en un autre lieu. Ce n’est pas bon signe en un novice d’être ainsy disposé. Que pourra-t-il faire à la longue quand il sera profès et plein de lassitude et de tentations et de tépidité, ayant perdu ou bien diminué ses premières ferveurs ? Je crains extrêmement ces espèces de novices douillets et délicats. » (lettre de Petitjean à Fourier, 9 mars 1628).
Frère adjuteur.
Envoyé à Saint-Pierremont (1641-...).
PETITJEAN François 1702
Toul
  1719
Pont-à-Mousson
1720
Pont-à-Mousson
Curé de Verdun (1729-1735).
Sous prieur à Saint-Pierremont (1768).
PETITJEAN Jacques François 1763
Lixheim
  1784
Autrey
1785
Autrey
Fils de notaire royal.
Ordonné à Trêves en 1791.
Après la Révolution, non employé à Lixheim.
Curé à Niderviller (1807).
Curé à Nitting (1809) ; n’y est pas allé.
Sans fonctions en août 1816.
Curé à Vibersviller.
Interdit le 2 novembre 1818. Exeat du 4 novembre 1819.
Envoyé à Postroff (août 1822).
Interdit, quitte le diocèse le 1er décembre 1831.
PETITJEAN Jean Chaumont 10 décembre 1630 (ms 759) (lettre au P. Guinet du 22 janvier 1631) (lettre au P. Terrel du 6 mars 1633)
Lunéville
29 juin 1625 ou Noël 1626 (Drouin p.216) 21 février 1627 Ancien profès de Belchamps. Déjà âgé au moment de la réforme (Drouin, p.215).
« A mangé par deux fois au refectoire (de Lunéville) et promis d’y venir tout à fait environ la St Martin d’hyver prochain. » (lettre à Saint-Pierremont, 3 juin 1625).
Ce « novices dernièrement habillez » de Lunéville « continue gaillard » (lettre à Verdun, 18 mars 1626).
Envoyé à Nancy présenter des « griefs » à Mgr le Duc (M de Vaudémont) (lettre à Verdun du 18 juin 1626). Y est encore mi août 1626, avec Manceau, pour traiter de l’entrée à Belchamps avec Mgr de Gorze. (lettre au prieur et à Petitjean 17 août 1626). Y est encore avec Manceau « tout exprès pour parler à M. Viardin » au sujet du rôle que doit jouer Mgr de Gorze pour Belchamps (lettre à Saint-Pierremont, 19 août 1626). Envoyé pour surveiller l’admodiation des revenus de Belchamps (lettre à Lunéville, 6 septembre 1626). Envoyé réclamer de l’argent à M. Humbert, avec Guinet (lettre à Guinet du 6 octobre 1626). Fin 1626, envoyé à Saint-Pierremont. Envoyé à Paris avec Terrel en 1627 pour rassurer le roi de France au sujet de la loyauté des Chanoines Réguliers de Verdun (lettre du 19 mai 1627 à Verdun pour le départ ; lettre à Guinet et Lemulier du 30 juillet 1627 pour le retour ; Drouin p.221-222). Curé de St Jacques de Lunéville après le départ du prieur Guinet, remplacé par Chamois (15 mai 1627, Drouin p.222), puis prieur de Lunéville fin 1627 (Drouin p.224).
Curé de Lunéville (1627-1630).
La maison qu’il dirige, Lunéville, aurait connu un certain désordre fin 1627, dénoncé par Tacon, et Terrel fut chargé d’y remédier (lettre à Terrel du 24 décembre 1627 ; lettre à Petitjean du 24 décembre 1627)Envoyé à Ligny pour le projet de création d’un collège (lettre à Chamois du 8 juillet 1627 ; lettre à Guinet et Lemulier, 20 août 1627). Estime que la conquête de Toul est nécessaire (lettre à Guinet et Lemulier, 3 septembre 1627). Propose de donner l’habit à Virion et Roussel, et de « les envoyer à Verdun pour étudier au collège et servir en la maison autant que leurs leçons le pourroient permettre. » (lettre à Guinet, 15 octobre 1627).
Désire acheter deux maisons voisines du monastère de Lunéville (lettre à Guinet, 15 octobre 1627). Semble désapprouver le renvoi de son neveu puisque Fourier croit devoir se justifier dans sa lettre du 19 avril 1628. Plusieurs interventions de Fourier sont nécessaires pour remettre de l’ordre dans sa maison : envoi de Terrel après les remarques de Tacon ; puis Blaise comme procureur (lettre à Petitjean du 19 avril 1628) ; enfin remplacé par Lemulier à l’été 1628 (lettre à Guinet, 18 août 1628 et lettre à Petitjean, 30 août 1628). Adjuteur en août 1628 (Drouin p.229).
PETITJEAN Pierre 1747
Jaulny
    1771
Pont-à-Mousson
Frère adjuteur.
PHILIPPE Clément « Natif d’un village du comté de Vaudémont » (lettre O.86). Lemainville (ms 759) 6 décembre 1667
Domèvre
18 janvier 1623 puis 2 février 1623
Saint-Pierremont puis Pont-à-Mousson
25 mars 1624
Lunéville
A été clerc étudiant en théologie à Pont-à-Mousson et envoyé par M. de Maillane pour être novice à Saint-Pierremont avant la Réforme.
« Grands et admirables » (lettre à Saint-Pierremont, 9 septembre 1625).
« Grandement doux et charitables » (Drouin p.222).
Fait partie des sept religieux qui firent profession à Lunéville. Envoyé à Domèvre (Drouin p.214). A Saint-Pierremont en septembre 1625 (lettre à Saint-Pierremont, 9 septembre 1625). Envoyé à Lunéville (lettre « sur quelques affaires... » novembre ou début décembre 1625).
Fait « ses conquêtes aux environs de Lunéville, sans rapport néanmoins au premier dessein de Badonviller » (lettre du 20 janvier 1626 à Saint-Pierremont).
Envoyé à Saint-Pierremont remplacer le prieur Lemulier parti à Rome (15 mai 1627 ; Drouin p.222 et 224).
Prieur de Domèvre en 1627 à la place de Perpète Maretz (Drouin p.224 ; lettre à Guinet et Lemulier, 1er octobre 1627 : « tout defaits et tout maigres »), à nouveau prieur de Domèvre en 1629 (Drouin p.232).
A Lunéville en septembre avec Lemulier, Manceau et Maretz pour régler la donation due de 40000 francs pour un séminaire (lettre à Guinet, 8 septembre 1628).
Prieur de Saint-Pierremont pour la seconde fois (1628-1629).
Prieur de Viviers (1631-1632).
Prieur de Domèvre (1633, 1635, 1637).
Choisi par Pierre Fourier pour succéder au P. Maretz comme Surintendant de la Congrégation de Notre Sauveur pendant son exil (septembre 1639-décembre 1640). Assistant sous les généraux Lemulier et Terrel (1641-1645).
Abbé de Domèvre (1638-1667).
PHILIPPE Jacques Tronville     1715 Adjuteur à Chaumousey (1728-1731).
En sort en novembre 1731.
PIART Jean Baptiste 1673
Saint-Mihiel
1745 (1er janvier)
Domèvre, d’une suite d’indigestion ; paralysé depuis quelques années.
  1689 Etudie la théologie à Domèvre, avec Pierre Collin pour professeur (1692-1694).
Prieur à Belchamps (1700-1702).
Prieur de Saint-Pierremont (1702-1704).
Prieur de Lunéville (1704).
Envoyé à Rome pour le procès de béatification de Pierre Fourier à partir de 1707. Participe aussi au procès de Mme de Chantal.
Revient de Rome en 1720, s’installe à Aoste et tente sans succès de maintenir Verrès dans la congrégation. Visite Naples dans les années 1720.
Abbé de Domèvre (1722-1746). En mai 1722, est élu abbé de Domèvre, par recommandation de Léopold, au lieu du curé d’Igney Serrier qui venait d’être choisi. Mais il est alors à Annecy pour la béatification de la Mère de Chantal. En décembre 1722, prend possession du titre abbatial de Domèvre qu’il avait obtenu.
Fait reconstruire l’abbaye de Domèvre à partir de 1723. Supervise les travaux. Dit les avoir « dirigé pour l’execution », ayant « les connoissances qu’il avoit acquises à Rome des règles de l’architecture et du dessein, pour dresser aussy les plans et élévations d’une nouvelle église et d’un nouveau quartier abbatiale » (AD M&M, H 1386).
En 1724, il était revenu à Rome et y était encore en 1725. Mais, il en repartit en laissant au chanoine de Latran César Benvenuti la charge de poursuivre la cause en son absence.
Appelé par les religieuses de la Visitation du diocèse d’Autun (1729). Est sollicité par les Visitandines et les évêques des diocèses d’Annecy, Angers et Rennes, lorsqu’il est rappelé en Lorraine par le général pour discuter de la congrégation préparatoire sur les miracles de Pierre Fourier. Demande un délai avant de se rendre à Rome, qu’il emploie à ses bâtiments de Domèvre et à son procès au sujet de la cure de Réchicourt-la-Petite contre l’évêque de Metz.
Le chapitre général l’envoie à Rome pour la congrégation préparatoire sur les miracles. Est présent à Rome pour les fêtes de la béatification (1729-1730). En repart le 25 avril, s’arrête à Lorette.
Prieur de Domèvre (1725-1728 et 1730).
Assistant (1726-1735).
Rédige des mémoires, des mandements, et plusieurs vies de Pierre Fourier, dont l’ « Abrégé de la vie du bienheureux Pierre Fourier de Mataincourt », imprimée à Paris en 1731.
PICARD François Louis 1733
Lunéville
    1751
Pont-à-Mousson
Administrateur de l’hôpital de Toul (1768).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1771-1773).
Curé de Verdun (1776-1791).
Prieur de Verdun (1777-1785).
PICARD Louis Antoine 1701
Dannevoux
  1719
Pont-à-Mousson
1720
Pont-à-Mousson
Sous prieur à Saint-Mihiel (1768).
PICHON Pierre     1721
Pont-à-Mousson
  
PIEMONT Jean François Luxembourg 1740   1711 Maître des novices de Pont-à-Mousson (1722-1723).
Prieur de Dommartin (1728).
Curé de Remicourt (1729-1740).
PIERRE Antoine Pierre 1720
Gerardmer
1791
Alors curé de Saint Boingt
1738
Pont-à-Mousson
1739
Pont-à-Mousson
Frère de Jacques Pierre.
Enseigne à Aoste la 6e (1747), la philosophie (1748).
Directeur du séminaire d’Aoste (1748).
Curé de Saint Boingt -Saint Remi-aux-Bois (1765-1791).
Jureur en 1791.
« D’une très foible armature ; philosophe à manger du foin » (Chatrian, BDN, MC 8).
PIERRE Barthélémi 1624
Clermont, diocèse de Verdun
1688
Chaumousey
  1643 Régent de 5e (1647).
Régent de 4e (1648).
Régent de 3e (1649).
N’était pas encore prêtre en 1649.
A Chaumousey (1657-...).
A Verdun (1669).
A Pont-à-Mousson (1678).
PIERRE Claude       1640 Adjuteur à Aoste (1644).
PIERRE Jacques 1712 ou 1711
Gerardmer
1776
Alors curé de Lupcourt
1732
Pont-à-Mousson
1733
Pont-à-Mousson
« pervertisseur de ses confrères » (Chatrian, BDN, MC 8).
Etudie la théologie à Domèvre (1732).
Enseigne la théologie à Chaumousey (1742-1744).
Curé de Lupcourt (1750-1776).
PIERRE Jean Baptiste Donfaing, diocèse de Toul   1773
Pont-à-Mousson
  
PIERRE Pierre Verdun 1767
Etival
1718
Pont-à-Mousson
1719
Pont-à-Mousson
Diacre en 1725, prêtre le 21 décembre 1726.
Enseigne à Aoste la 3e (1725), les humanités (1726), la rhétorique (1727-1728), la philosophie (1729-1732), la théologie (1733-1741).
Directeur de confrérie à Aoste en 1733.
PIERRE Pierre Vers 1608
Nancy
1700
Villacourt, âgé de 92 ans, après s’être démis de ses fonctions neuf mois auparavant (ms 759)
1627
Des mains de Fourier, à Lunéville
28 mai 1628 (Drouin p.229 ; lettre à Guinet, 16 juin 1628) Fils de François Pierre, bourgeois, et de Claude Aubertin. « des plus avancez et plus diligens et modestes de la Rhétorique » (lettre à Verdun, 19 mai 1627).
Est à Saint-Pierremont en 1626. Amené à Lunéville par Lemulier, avec Vincent Jacquemin, sur demande de Fourier (lettre à Lemulier, 5 novembre 1626).
Fut cuisinier à Saint-Pierremont (lettre à Terrel, 13 novembre 1626) et à «Belchamps, et maintenant l’est audit Lunéville, et portier, lingier, sonneur, etc... » (lettre à Guinet et Lemulier 13 août 1627).
« a été désigné par vous (Pierre Fourier) pour être, avec les trois autres, le quatrième novice » (lettre de Guinet à Fourier, 4 septembre 1627).
Fourier désire l’ajouter aux étudiants du Pont (lettre à Petitjean, 28 octobre 1627). Y entre en juin 1628 « en la classe de rhétorique » avec Lacroix « armez de leur modestie ordinaire et d’une grande volonté de bien faire et de bien étudier » (lettre à Guinet, 16 juin 1628).
A la Saint Rémy 1629, entre à Pont-à-Mousson avec Jean Tacon, Laurent Barthélémy, Matthias Lhospital, pour commencer sa philosophie avec comme maître le jésuite Forest (Drouin p.233).
Envoyé à Belchamps en 1632 en raison de la peste sévissant à Pont-à-Mousson.
Témoigne au procès de béatification (Pr. T. p.1083 et 4624).
Curé de Domèvre.
Curé de Saint Boingt -Saint Rémi-aux-Bois (1659-1669).
Curé de Villacourt (1669-1699).
PIERRE Pierre Antoine 1727
Damvillers, diocèse de Verdun
  1745
Pont-à-Mousson
1746
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Chaumousey (1750-1751).
A Chaumousey (1753-1754).
A Autrey (1754-...).
Missionnaire de Sancy, diocèse de Trêves (1768).
En 1788, « frappe à toutes les portes possibles pour être mieux placé, et ne veut accepter une cure de mille écus françois. Aussi son frère, un forérien curé séculier de Sainte Pôle, est brouillé avec lui à raison de ce refus » de la cure de Fougerolles (BDN, MC 120, p.46).
Curé de Blainville-sur-l’Eau (1771-1790).
PIERRE Simon Jacques 1728
Damvillers, diocèse de Verdun
1808
Sainte-Pôle
1745
Pont-à-Mousson
1746
Pont-à-Mousson
Fortement impliqué dans le conflit qui oppose la congrégation à l’évêque de Toul au sujet de la cure séculière de Sainte-Pôle, à laquelle il avait été nommé par le roi en 1761.
Présent à Lunéville (1768).
Sécularisé.
Curé de Sainte-Pôle avant 1786. L’est toujours en pluviôse an XI.
PIERRON Joseph Dominique Sébastien 1749
Sarrebourg
  1770
Pont-à-Mousson
  
PIERSON François       1755
Pont-à-Mousson
 
PIERSON Joseph 1702
Harey, ou Arée en Lorraine
1790
Alors curé de Mattaincourt
1720
Pont-à-Mousson
1721
Pont-à-Mousson
A Belchamps (...-1729).
Dessert les annexes de Reillon en attendant que le P. Urguet trouve un vicaire (1729).
Prieur de Belchamps (1739-1742).
Curé de Mattaincourt (1749-1790).
Jusqu’au bout, porte l’habit, et a déclaré dans son testament vouloir « mourir en bon chanoine régulier ».
PIERSON Pierre Hubert Moulotte 1735
Autrey
  1693 Enseigne à Aoste la 6e (1698), la 5e (1699), la 6e (1700-1701).
Présent à Domèvre (1706-1707).
Présent à Lunéville (1707-...).
Présent à Chaumousey (1711-1713).
A Autrey (1713-...).
A Viviers (...-1727).
A Domèvre (1727-1728).
PILLARD Nicolas François 1754
Nancy, paroisse Saint Sébastien
1837 1774
Pont-à-Mousson
1775
Pont-à-Mousson
Préfet des salles à Pont-à-Mousson (1785-1788).
Aumonier du régiment du roy (1790).
PILLEREL Hyacinthe 1689
Bar-le-Duc
1768
Pont-à-Mousson, lors du chapitre de révision des statuts
  1709 « Son gouvernement avait été doux et tranquille. Il s’était montré affable envers tous et attaché à la discipline, qu’il a toujours maintenue avec la dernière attention. » (AD M&M, H 1387).
Prieur à Saint-Pierremont (1727).
Abbé de Saint-Pierremont (1727-1753). Crée la maison de Metz.
Procureur général (1732-1738).
Assistant (1738-1753).
Général et abbé de Domèvre (1753-1768). Elu à l’unanimité. Est sur son lit de mort au moment du chapitre de 1768 qui redéfinit les contours de la congrégation.
PINAL Nicolas 1705
Circourt, comté de Merey, ou Xivry-le-Franc (ms 759)
1751
Manonviller
1724
Pont-à-Mousson
1725
Pont-à-Mousson
Enseigne à Aoste la 6e (1731), la 5e (1732), la 4e (1733) ; la 3e (1734).
Vicaire de Claude Saulnot à Manonviller (1742).
Curé de Manonviller (1749-1751).
PIOGET Jean François 1688
Saint-Mihiel
    1712 Etudie la philosophie à Domèvre (1712-1713).
A Saint-Pierremont, sans doute pour poursuivre ses études (1714-...).
Fait prêtre à Trêves en 1718.
Organiste à Domèvre (1718-1720).
Vicaire du Tholy (1722).
Curé du Tholy (1727-1733).
A du affronter ses paroissiens au sujet du conflit concernant l’incendie de l’église du Tholy et sa reconstruction. Réputé pieux mais d’une morale jugée trop sévère.
Directeur des religieuses de Nomeny (1768).
PIOLE Nicolas Savoie 1701
Aoste
  1694 
PIQUANT Jean François Thiaucourt   1723
Pont-à-Mousson
1724
Pont-à-Mousson
 
PIVOT François Tarentaise 1754
Chaumousey
    Frère adjuteur à Aoste (1728-1748), jusqu’à l’expulsion de la congrégation.
Adjuteur à Chaumousey (1748-1754).
PLAID Dominique 1715 1768
Brémoncourt
    Etudie la philosophie à Domèvre (1715-1717).
Curé du Tholy (1733-1742).
Prieur de Belchamps (1744).
Curé de Brémoncourt-Haigneville (1744-1765).
Reste avec son successeur à Brémoncourt.
PLAID ou PLAY Charles 1728
Jezainville, près de Pont-à-Mousson
1789 ou 1790 1744
Pont-à-Mousson
1745
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1745-1746).
Professeur de mathématiques et d’histoire à l’Ecole Militaire et des pages du roi de Pologne (1753-1766). Y est « logé, nouri, chauffé, éclairé, blanchi, et il avoit en outre soixante deux louis et ½ d’honoraire chaque année : il n’en falloit environ que 10 pour son entretien de linges et d’habillements ». AN, G/9/6.
« En 1763, il chercha à se faire séculariser ».
Prétend avoir besoin d’un canonicat pour soulager la pauvreté de sa mère, qui serait en fait « une petite bourgeoise de Pont-à-Mousson qui eut été tirée de la pauvreté par une pension de 8 ou 10 louis ». Obtient son bref de sécularisation le 19 juillet 1763, ce qui met en émoi la congrégation. Serait, vers 1768, « à ce qu’on dit, à la suite de la cour, pour y solliciter un bénéfice en commende ». (AN, G/9/6).
« Voleur de couverts d’argent dans les tables à Paris, chassé de l’Académie de Nancy » (Chatrian, BDN, MC 8).
« Parti faquiner à Paris, aiant eu la bassesse de voler des couverts d’argent dans quelques maisons où il étoit admis à manger, & aiant frisé de très près la corde, étant revenu en Lorraine, a eu pour dernier affront d’être raié du catalogue des membres de l’Académie de Nancy. Depuis cette époque, il a été décoré du sobriquet d’abbé gluant ». (Chatrian, BDN, MC 21, p.344).
Rédige un « Cours de mathématiques à l’usage de messieurs les cadets gentilhommes de Sa Majesté le roi de Pologne », imprimé (Paris, Jomber, 1760 : BM Nancy, inv. 1277).
Membre de la Société royale des sciences et belles-lettres de Nancy.
Nommé à un canonicat dans une collégiale de Bar-le-Duc par Stanislas en 1763, ce qui lui permet de demander sa sécularisation au pape.
PLASIARD Jean Baptiste 1754
Nancy
Après 1791
Paris
1773
Pont-à-Mousson
1775 ou 1776
Pont-à-Mousson
Fils de Charles Plasiard, officier à l’hôtel de ville.
Principal à Metz (1790).
PLESSE Pierre Metz 1743
Dannevoux
  1689 Enseigne à Aoste la 5e (1695) et la 4e (1696).
A Domèvre (1698 et 1703).
Curé de Dannevoux (1713-1743).
PLYER William 1750
Stenay
  1767
Pont-à-Mousson
  
POINCARE ou POINCARRE Jean François 1725
Neufchâteau
  1744
Pont-à-Mousson
1745
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1745-1746).
A Chaumousey (1754).
Vicaire à Sambois (1754-avant 1756).
A Chaumousey (1756-1757).
Vicaire de Louis D’Oger à Ambacourt (1757-1759).
Curé de Domjevin (1759-1791).
Curé assermenté.
Curé de Domjevin après la Révolution (pluviôse an XI).
Remplaçé « à raison de sa conduite » le 10 février 1806.
POINCELET Barthélemy 1715
Etain
  1734
Pont-à-Mousson
1735
Pont-à-Mousson
Rhétoricien.
A Chaumousey (1738).
Etudie la théologie à Chaumousey (1738-1739).
Curé de Chaumousey (1744-1749).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1750-1753).
Prieur de Lunéville (1757).
Curé de Bénaménil (1758-1791). Evincé de sa cure en 1791.
Curé de Bénaménil en prairial an XI. Se retire de Bénaménil vu son grand âge en 1805.
POINSIGNON Claude Mailly   1719
Pont-à-Mousson
  
POIREL Louis Rozelieures   1718
Pont-à-Mousson
  Selon le P. Laurent, maître des novices, « sorti le 22 avril. Je doute que les indispositions dont il s’est plaint soient aussi réelles que son manquement de vocation » (notes du P. Rogie, BM Nancy).
Sorti avant sa profession.
POIRINE Jean Baptiste 1735
Remenoville
1790
Mort avant de résigner sa cure du Val d’Ajol
1754
Pont-à-Mousson
1755
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1755-1756).
Etudie la théologie à Chaumousey (1757-1760).
Professeur de théologie à Chaumousey (1767).
Professeur de théologie à St-Pierremont (1768).
Professeur de théologie à Chaumousey (1771).
Sous prieur de Chaumousey (1772).
Prieur de Chaumousey (1776).
Curé du Val d’Ajol après une nomination difficile (1777-1790).
POIROT Claude François 1757
Effregney, diocèse de Besançon
1830
Jallaucourt
1778
Autrey
1779
Autrey
Enseigne à Nancy la 7e (1784), la 5e (1785-1786).
Enseigne la 4e à Pont-à-Mousson (1787-1788).
Professeur de mathématiques à Metz (1790). Quitte la maison en août 1791.
Après 1790, a été à Faucogney (district de Luxeuil) puis Saint-Benoît (Vosges).
Curé à Jallaucourt (mai 1819).
POIROT François         Adjuteur à Chaumousey (1709-1715).
POIROT Jean   1691
Pont-à-Mousson
  1681 
POIRSIN Charles Saint-Mihiel 1709
Lunéville
  1701 Etudie la philosophie à Domèvre (1702).
Etudie la théologie à Domèvre (1703).
Présent à Saint-Pierremont (...-1706).
Présent à Domèvre (1706).
POIRSON Claude François 1742
Ramberviller
1818 1759
Pont-à-Mousson
1760
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1766.
Procureur à Belchamps.
Dernier chanoine-curé d’Einvaux (1776-après 1790).
Préfet à Metz (1768), enseigne les humanités.
Jureur en 1791.
Après la Révolution, devenu maire « persécuteur » d’Einvaux, mais n’y est plus curé ; célèbre la messe sans être réintégré ; « un ignorant, un intrigant, un concubinaire ».
A Nancy, vicaire épiscopal de l’évêque constitutionnel de la Meurthe (Chatrian, BDN, MC 8).
PONCHEAU Jean   1655
Chaumousey
  1649 Régent de 6e (1650-1651).
PONSUBI Maurice ou Dominique 1767
Toul
Serait mort en 1807, ayant été curé de Trondes et de Lucey.   1787 A Saint-Pierremont (1790), en sort en février 1791.
Se rend au district de Toul après 1791, puis émigre.
PORNOT Louis 1728
Resson, diocèse de Toul
  1751
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1752.
POTIER Ch. Alexandre 1686
Lorraine, diocèse de Toul
1776
Mort à Hérival, après avoir résigné sa cure
  1706 Etudie la philosophie à Domèvre (1706-1707).
Etudie la théologie à Saint-Pierremont (1707-...).
A Chaumousey (1711).
Vicaire de Chanteheux (1713-1715).
Curé de Mont-sur-Meurthe (1714-1761).
A Hérival (1768).
POTIER Didier         Novice à Pont-à-Mousson en 1672. En sort, n’étant pas apte.
POUREL Jean François 1737       Frère donné, a Autrey en 1790.
PRERNI Antoine   1676
Mattaincourt
  1628 
PREUN André       1651 
PRINCE Hubert Guillaume 1749
Luxembourg
  1767
Pont-à-Mousson
  
PRINCE Jean   1744
Aoste, frappé d’apoplexie
    Enseigne à Aoste la 6e (1717, 1724), la 5e (1725-1726), la 4e (1727).
Sous-diacre le 4 mars 1719.
Présent à Verrès en 1719-1720 ; reconnaît immédiatement le prévôt commendataire Paul François de Challant (1719 puis 1720).
Econome d’Aoste (1729-1744).
PROTCHE ou PROTECHE Nicolas 1764     Après 1785 Régent à Lunéville (1790).
PROTUS Nicolas Lunéville     1665 
PROVOST Jacques Sébastien Lunéville   1748
Pont-à-Mousson
  
PRUNIER Jean Liège 1680   1674 A Pont-à-Mousson (1674).
A Saint-Pierremont (1675).
QUENTIN Hubert 1737 ou 1739
Vaupecourt, Lorraine, diocèse de Châlons
1799
Retiré dans sa patrie
  1756
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1761.
Professeur de philosophie à Chaumousey (1770).
Professeur de théologie à Chaumousey (1771).
Professeur à Belchamps (1771-...).
Prieur de Toul (1776).
Prieur de Domèvre (1777-1778).
Curé de Saint-Martin de Pont-à-Mousson (...-1779).
Curé de Sornéville (1778-1792). Reconstruit l’église en 1784.
Jureur en 1791.
Marié en 1794.
QUENTIN Jacques 1753
Rignocourt
  1776
Pont-à-Mousson
1777
Autrey
Enseigne à Pont-à-Mousson la logique (1785-1786).
Enseigne à Pont-à-Mousson aux « commençants » (1787).
Enseigne à Pont-à-Mousson la logique (1788).
Professeur de philosophie à Pont-à-Mousson (1790). A 10 ans de service en 1790.
QUEUCHE Eustache ou Pierre 1768 ou 1766
Nancy
1808
Mort subitement
1787 1788 A Saint-Pierremont (1790), sort en février 1791.
Prêtre en 1791.
« Révolutionnaire, a renoncé à sa prêtrise pour se faire usurier » (Chatrian, BDN, MC 8).
Se rend au district de Nancy.
QUILLEAU Théodore 1765
Choloy
  1784
Autrey
  Fils de greffier à la maîtrise de Lunéville.
QUINOT Elophe 1711
Autigny la Tour
  1730
Pont-à-Mousson
1731
Pont-à-Mousson
A Belchamp (1768).
A Viviers (1790).
QUINOT Jean 1717 ou 1715
Armonville, ou Harmonville, diocèse de Toul
Après 1768 1734
Pont-à-Mousson
1735
Pont-à-Mousson
Rhétoricien.
Organiste.
Etudie la théologie à Chaumousey (1738-1739).
Directeur des religieuses d’Epinal (1752-1754).
RABARON Claude François Vauvillars 1710
Aoste
  1698 Enseigne à Aoste la 3e (1704), les humanités (1705-1706), la rhétorique (1707), la théologie (1709-1710).
RAGUET Ch.         Prieur de Chaumousey (1677).
RAGUET Etienne 1726
Toul
  1746
Pont-à-Mousson
1747
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1747-1748).
Etudie la théologie à Chaumousey (1749-1751).
Curé d’Avril (1762-après 1790 ; 1804).
Jureur sous la Révolution.
RAGUET François 1698
Toul
1776
Domèvre, « mort d’hydropisie, partie de son corps étoit gangrénée » (AD M&M, H 1387).
1715
Pont-à-Mousson
1716
Pont-à-Mousson
Professeur de philosophie à Chaumousey (1728).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1733-1734).
Directeur du séminaire d’Aoste (1735).
Professeur de théologie à Aoste (1735).
Supérieur du collège d’Aoste (1736-1747).
Prieur de Viviers (1750, 1768).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1756-1757).
Prieur de Pont-à-Mousson (1758).
Assistant du général (1765-1778).
Elu général en 1769 ; mais l’élection est annulée en raison de son grand âge.
A Metz (1770).
RAILLART Léopold François Xavier 1737 ou 1739
Nancy
1802 1755
Pont-à-Mousson
1756
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1762.
Procureur de Domèvre (1768).
Prieur de Nancy (1770-...).
Prieur de Domèvre (1773-1775).
Supérieur de Saint-Mihiel (1780).
« Mince missionnaire » en 178. (Chatrian, BDN, MC 8).
Curé de Tronville (1784-1793).
Jureur en 1791, « Symbole philosophique » (Chatrian, BDN, MC 8).
RAIMBAULT Claude       Vers 1700 Etudie la philosophie à Chaumousey (1701-1702).
RAIMOND ou RAYMOND François 1735
Verdun, paroisse St André
1783 1752
Pont-à-Mousson
1753
Pont-à-Mousson
Procureur à Metz (1768).
A Metz (1770).
Prieur à Metz (1773-...).
Curé de Lupcourt (1776-1783). N’a pas résidé dans sa cure.
REGNAULT Charles Bar 1732
Chaumousey
  1685 Procureur à Saint-Pierremont (1694).
Sous-prieur à Chaumousey (1728).
REGNAULT F.         Prieur de Belchamps (1746).
REGNIER Henri Toul 1710
Belchamps
  1656 Curé de Saint Boingt -Saint Rémi-aux-Bois (1670-1707).
REMI Antoine 1676
Alors curé de Mattaincourt
      Curé de Boulaincourt (1669-1671).
Curé de Mattaincourt (1672-1676).
REMI Dominique         Adjuteur à Pont-à-Mousson (1673).
REMI N.         Prieur de Chaumousey (1679).
REMI Remi Dominique 1751
Saint-Remi-aux-Bois
1835 1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
A Nancy (1790).
Curé à Saint-Dié (septembre 1791).
Vicaire général de Saint-Dié après la Révolution.
Non employé à Saint-Rémy-aux-Bois après la Révolution.
Instituteur à Nancy chez M. Pillard après la Révolution.
Curé à Verdenal (septembre 1805).
Curé à Manoncourt (mai 1806).
Curé à Burthecourt (avril 1810). Démissionne le 1er octobre 1821.
REMI Rémy 1732
Saint-Rémi-aux-Bois
    1750 A Domèvre en 1768.
A Chaumousey (1769-1770).
A Belchamps (1770-...).
A Saint-Pierremont (1790) ; sort en avril 1791.
Rejoint François Xavier Fouquet à Trieux ; y est en juin 1792. Revient à Briey, passe le 18 mars 1794 à Preutin, y reste jusqu'en 1796.
RENARD ou REGNARD Jean François Nancy   1743
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1744.
RENARDY Thomas   1747
Alors curé de Réchicourt-la-Petite
    Etudie la philosophie à Domèvre (1708-1710).
Procureur à Verrès en 1718. Abondonne la maison de Verrès et rentre en Lorraine avec Guenaire en 1719.
A Domèvre (1721-1728).
Vicaire de Bigert à Réchicourt-la-Petite (vers 1723-1728).
Se retire à Viviers en 1729, puis à Pont-à-Mousson, en attendant la fin d’un procès qu’il avait à Trêves contre l’évêque de Metz qui refusait de l’instituer curé de Réchicourt.
Curé de Réchicourt-la-Petite (1730-1747). Reconstruit l’église en 1737.
RENAUD Charles Mirecourt 1725
Damelevières
  1701 Etudie la théologie à Domèvre (1703).
Etudie la théologie à Chaumousey (1703).
Enseigne à Aoste la 6e (1705-1706), la 5e (1707).
Prêtre le 19 mars 1707.
A Verrès (1710-1711).
Econome de Fénis (23-28 mai 1711).
Curé de Damelevières-Charmois (1722-1725).
Sous prieur à Chaumousey (1730).
RENAUD Henri Bar 1745 ou 1747
Tronville, ayant résigné sa cure.
  1688 Enseigne à Aoste la 6e (1692).
A Chaumousey (1692).
Curé de Tronville (1702-1745).
RENAULT ou RENAULD ou REGNAULT ou RONAULD Louis Antoine 1721 ou 1722
Remiremont
1798
Dommartin-lès-Valois, avec des dettes
1739
Pont-à-Mousson
1740
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Saint-Pierremont (1742-1744).
Prêtre le 18 décembre 1746.
Enseigne à Aoste la 6e (1746), la 5e (1747), la 3e (1748).
« Original sans décence pour son état, sans respect pour la religion, qui s’habilloit quelquefois en hussard, mais plus souvent en femme » (Chatrian, BDN, MC 8).
Procureur à Saint-Pierremont (1759-1763).
Dernier chanoine-curé de Dommartin-lès-Valois (1763-1798).
Prête les serments.
RENAULT Michel Rosières 1688
Bauzemont, après s’être démis de sa cure
  1647 Curé de Bauzemont (1656-1687).
RENOUARD Jean Michel 1734
Saint-Michel-en-Vosges
  1753
Pont-à-Mousson
  Renvoyé avant sa profession.
RESTIGNAC Jean Baptiste 1750
Abrechviller
1822
Xouaxange
1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Clerc.
Enseigne à Nancy la 3e (1781-1782), la logique (1786-1787).
Sous principal de Nancy (1786).
Principal à Bouquenom (1787, 1790).
Curé à Xouaxange (germinal an XI).
RESTIGNAT ou RESTIGNAC Blaise 1748
Abrechviller
  1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Clerc.
Etudie la théologie à Chaumousey (1773).
A Chaumousey (1783).
« Il a donné des leçons de physique expérimentale à une fille de Villacourt, étant diacre à l’étude de Belchamps, en 17.. » (BDN, MC 140).
Incarcéré à Belchamps « pour fredaine à Lunéville » (BDN, MC 140).
Disparu en 178.
Secrétaire dans un bureau à Paris.
Aumonier du régiment de Dillon, infanterie irlandaise au service de la France (rattaché à Belchamps) en 1790 ; envisage alors de rester « dans le susdit régiment tant que ses services seront agréables à la nation » (AN, D XIX/13).
RICHAR Jean Nicolas 1740   1765
Pont-à-Mousson
  
RICHARD Jean       8 avril 1629 Fut supérieur de St Mihiel en 1669 (Drouin p.232).
Absent des listes du ms 759.
RICHARD Joseph Nancy 1742
Vaxoncourt
  1688 Curé de Vaxoncourt (1699-1738).
RICHARD Louis         Ancien de Saint-Pierremont, reçu sub tutela (entretenu par le monastère sans pension). Durand, le surintendant de Mgr de St Mihiel, demande son admission dans la réforme en 1626 (lettre à Durand, 15 février 1626, et lettre à Saint-Pierremont, 17 février 1626) (Drouin p.212 et 218). Fourier veut l’envoyer à Verdun en l’échange du P. Aubry en avril 1628 (lettre à Terrel prieur de Verdun, 3 avril 1628).
Ne semble pas avoir persévéré. Absent des listes du ms 759.
RICHARD Philippe Antoine 1751
Strasbourg
  1772
Pont-à-Mousson
  
RICHARD Romaric Deodat 1700
Haigneville, près de Bayon
  1717
Pont-à-Mousson
  Fils de Romaric Richard, conseiller.
Aurait quitté la congrégation avant sa profession.
RICHIER Pont-à-Mousson       Novice à Lunéville ; y est renvoyé en 1633 (lettre de Fourier à Chamois, 27 avril 1633).
RICHIER Charles 1759
Vic
1843 1779
Autrey
1780
Autrey
Enseigne à Nancy la 7e (1781), la 5e (1782), la 2e (1784-1788).
A Nancy (1790).
Curé constitutionnel de Saint-Sébastien de Nancy (1791-...).
En 1793, toujours curé de Saint-Sébastien, se fait appeler « ministre de la République ». (Eugène Martin, Histoire du Diocèse de Nancy, III, p.142).
Rend ses lettres de prêtrise le 20 novembre 1793, lors de la réunion décadaire tenue à la cathédrale, puis se marie.
RICHIER Michel 1753
Houdelincourt, diocèse de Toul
  1775
Pont-à-Mousson
1776
Pont-à-Mousson
 
RIGAULT Paschase Liège 1729 (ms 759)
Laneuveville-aux-Bois
  1677 A Pont-à-Mousson (1678).
A Verrès avant 1686.
Enseigne à Aoste la 5e (1686).
Prieur de Domèvre (1698-1702).
Curé de Domèvre (1699).
Prieur de Lunéville (1704-...).
Curé de Laneuveville-aux-Bois (1707-1729).
RIMBAUX Claude Metz 1714
Toul
  1700 
ROBERT Antoine Pierre 1764 (1er août)
Saint Dié
1823
Alors curé de Saint Michel, âgé de 59 ans
1784
Autrey
1785
Autrey
Fils de commerçant.
Enseigne à Nancy la 7e (1788).
A Nancy (1790).
Répétiteur de théologie au Séminaire de Nancy en tant que clerc minoré (Semaine Religieuse de Nancy, 1888, p. 472-473).
Enseigne à Nancy jusqu’en 1791.Le 23 janvier 1791, fait partie avec le P. Dieudonné des professeurs qui refusent la Constitution civile du clergé (Journal des départements de l’Est).
Emigre en Suisse.
Concordat : curé à Chanteheux et vicaire à Lunéville l’année suivante (octobre-novembre 1803).
Quitte sa cure le 1er janvier 1813 pour Saint-Michel (Vosges).
ROBERT Jean Nicolas 1719
Thionville
1767
Tincry
1738
Pont-à-Mousson
1739
Pont-à-Mousson
A Saint-Pierremont (1744).
Vicaire de Bettainvillers (1752-...).
Curé de Tincry (1762-1767).
S’éloigne des chanoines de Viviers alors qu’il est curé de Tincry. Le chapitre du prieuré ne va « pas officier à l’église de Tincry, les grandes fêtes de l’année, en qualité de curé primitif, comme il l’avoit pratiqué avant la nomination [de Jean Nicolas Robert] en 1762 » (AD M&M, G 1198). Prend un vicaire séculier au lieu de recourir aux chanoines de Viviers.
ROBERT Jean Pierre 1726
Thionville
  1746
Pont-à-Mousson
  Refusé en 1747.
ROBERT Nicolas 1711
Commercy, paroisse Saint Pantaléon
Après 1785   1732
Pont-à-Mousson
A Chaumousey (1747-1748).
Procureur de Nancy.
Prieur de Dommartin (1773-1775).
ROBERT Pierre Lunéville   1718
Pont-à-Mousson
1719
Pont-à-Mousson
Enseigne à Aoste les humanités (1728) et la rhétorique (1729).
A Chaumousey (1738).
Apostat. Parti en 17..
ROBIN Nicolas Ramberviller 1730
Vandeléville
  1689 Enseigne à Aoste la 4e (1697) et rhétorique (1698-1699).
Prieur de Toul (1710-1715).
Prieur-curé de Vandeléville (1718-1730).
ROBINOT Jacques Joseph 1694
Le Tholy
1774
Le Tholy
  1712 Etudie la philosophie à Domèvre (1712-1713).
A Saint-Pierremont, sans doute pour poursuivre ses études (1714-...).
Curé de Chaumousey (1721, 1723).
Curé du Tholy (1752-1771).
Prieur du Tholy (1768).
Vicaire du Tholy (1772-...).
Réputé avoir été un bon curé. Son acte de décès mentionne son zèle et sa piété. On se souvenait encore de lui au XIXe siècle au Tholy.
ROGER Joseph 1719
Domèvre (ms 759)
1776
« A Domèvre, le village de ses parens où il est tombé malade » (AD M&M : H 1387)
1739
Pont-à-Mousson
1740
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Chaumousey (1742-1744).
Enseigne à Aoste la 5e (1748).
Curé de Barbas (1751-1766) puis de Réchicourt-la-Petite (1767-1776).
ROIER ou ROUYER Jean Bar-le-Duc Nevers   1660 N’est pas prêtre en 1662.
Enseigne à Aoste les humanités (1663-1665).
ROL Nicolas   1701
Alors régent à Aoste
    Enseigne à Aoste la 6e (1699), la 5e (1700), la 3e (1701).
ROLAND Pierre Servais 1734
Desprez, diocèse de Besançon
  1751
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1751.
ROLIN Georges   1672
Vandeléville
  1635 Prieur-curé de Vandeléville (avant 1669-1672).
ROLLIN Charles François 1720
Lunéville
1799
« Etant allé faire un tour à Strasbourg en 1799, il y est tombé malade et y est mort » (Chatrian, BDN, MC 8)
1738
Pont-à-Mousson
1739
Pont-à-Mousson
Enseigne les humanités au collège de Lunéville durant 4 ans, puis la philosophie pendant un an à des écoliers de choix..
A Saint-Pierremont (1744).
A Chaumousey (1745 ; 1758).
Vicaire de Jolivet (1752).
Prononce « dans plusieurs chaires de la province des sermons d’autrui, avec une intrépidité sans égale ; il prêcha ensuite des stations d’avent et de carême à Nancy, à Toul, à Metz, à Strasbourg, et enfin à Lunéville en présence du roi Stanislas ».
Prieur de Nancy (1762).
Prieur de Strasbourg (1765-après 1768).
Prononce l’oraison funèbre du général Pillerel (1768) et celle de Leroy (1772), « des élucubrations fort ordinaires ».
Directeur de la confrérie du Saint-Sacrement de Strasbourg (1765).
Curé de Saint George (1775-1791).
Après 1776, fut « appelé plusieurs fois au secours de ses confrères pour des missions à Nancy, à Epinal, à Remiremont et pour des retraites annuelles fondées chez les Orphelines de Nancy ».
« On pensoit d’ailleurs assez généralement à Nancy, à Toul et à Strasbourg, qu’il prêchoit bien, quand il savoit ses sermons, mais qu’il ne croioit pas les choses qu’il prêchoit ».
Curé de Saint-Nicolas de Nancy pendant la Révolution.
Après une phase d’inactivité, pendant la Révolution, « il alla se montrer à Strasbourg, pour rappeler à ses habitans le souvenir de l’ancienne éloquence qu’il y avoit étalée autrefois ; il aspiroit secrètement à la mitre constitutionnelle du Bas-Rhin ».
Curé constitutionnel de Saint-Nicolas de Nancy, est critiqué « pour vivre maritalement » avec sa nièce « quoiqu’ils ne fussent pas mariés civilement ».
Revient à Saint-George, n’étant plus payé à Nancy. (Chatrian, BDN, MC 8).
ROLLIN Martin 1749
Moyenvic
1830 1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Préfet des salles à Pont-à-Mousson (1786-1787).
Régent à Nancy.
Conventuel à Domèvre (1788).
Vicaire de Busselot à Leintrey (1788, 1790).
Vicaire à Veho (1791).
ROLLIN Nicolas ou Nicolas l’ancien     21 novembre 1627   « Nos pères disent que c’est bien fait de recevoir M. Nicolas l’ancien à Lunéville pour en faire l’essay » (lettre à Terrel, 10 octobre 1627).
Ancien de Verdun, pensionnaire, « assez onéreux à nos pères de là qui sont assez pauvres et s’en passeroient bien » (lettre à Lunéville, 20 octobre 1627).
« gros garçon qui s’étoit déjà présenté il y a quelques années, mais ainsi qu’il pensoit partir de Verdun en fut empêché par son prieur qui de lors le mit en prison. » (lettre à Guinet et Lemulier, 29 octobre 1627).
« demande avec instance d’être prins à l’essay pour voir s’il pourroit être propre à notre congrégation. Nos pères de par deçà jugent que cela ne peut pas luy être justement refusé et, sur la créance qu’ils ont que (les chanoines de Lunéville) seront de la même opinion ils vous l’envoient et vous le recommandent » (lettre à Lunéville, 20 octobre 1627).
« Or ne sais-je comme il se portera » (lettre à Guinet et Lemulier, 29 octobre 1627).
« J’ay trouvé le P. Rollin fort content de Votre Révérence (le P. Petitjean) et de toute votre maison grâces à Dieu » (lettre à Petitjean, 25 janvier 1628).
Proposé par Fourier pour Saint-Pierremont dépourvu de religieux (lettre à Lunéville, 21 octobre 1627).
Ne semble pas avoir persévéré. Absent du ms 759.
ROT ou ROL Antoine 1745
Charmes
1787 (12 janvier) 1765
Pont-à-Mousson
1766
Pont-à-Mousson
Clerc.
Etudie la théologie à Belchamps (1768).
Prêtre en 1770.
Régent d’humanités vers 1770.
Croquemort à Lunéville en 177.
Vicaire desservant de Moncel (1778-1785).
Vicaire-commensal à Marainviller (1786).
Vicaire résident à Thiébauménil, annexe de Marainviller (1786-1787).
ROUSSEL Jacques Joseph Vesoul 1739
Saint-Mihiel
  1699 Etudie la philosophie à Domèvre (1699).
Etudie la philosophie à Chaumousey (1701).
Prêtre le 17 mai 1704.
Enseigne à Aoste la 5e (1704).
A Chaumousey (1714-1715).
A Domèvre (1722).
A Autrey (1723-...).
Vicaire d’Antoine René De Baillet à Neuville-Saint Hilaire (1732-1739).
ROUSSEL Joseph Léopold 1720
Gondrecourt
  1739
Pont-à-Mousson
1740
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Chaumousey (1742-1744).
Enseigne à Aoste la 4e (1748).
Procureur à Pont-à-Mousson (1768).
A Verdun (1790).
ROUSSEL ou ROUSSET Nicolas Verdun 1636 (14 juillet)
Pont-à-Mousson, de la peste (lettre à Mirecourt, 31 juillet 1636)
  1er octobre 1630 A Belchamps lors de la prise de possession (lettre du 29 août 1626). Petitjean propose de « les envoyer à Verdun pour étudier au collège et servir en la maison autant que leurs leçons le pourroient permettre. », avec Virion (lettre à Guinet, 15 octobre 1627).
Quitte Domèvre pour Saint-Pierremont (1632-1634).
Prieur de Pont-à-Mousson (1635-1636).
ROUVROY Jean Châtel-sur-Moselle 1654
Assassiné par un prêtre séculier du diocèse de Sion, Pierre de l’Escart alors qu’il soignait un prêtre dans une paroisse voisine de Bagnes. (Annales de Saint-Bénin, p.42 et suiv.)
  1652 Docteur en théologie.
« bien versé en la médecine comme en la théologie ».
Envoyé faire son noviciat à Verrès en 1652.
A Verrès « a vécu louablement et religieusement ».
En 1653, accompagne Jean Etienne à Trente et à Rome pour les affaires de la prévôté.
En octobre 1653, envoyé par Etienne à Bagnes en Valais pour soulager Pierre Desfayes alors malade, en le soignant et en lui servant de vicaire.
ROUYER Etienne Bar 1702
Tronville
  1654 Curé de Tholy (1669-1674).
Curé de Tronville (1675-1702).
ROYER Joseph 1749 ou 1748
Latimiis, diocèse de Toul (Lagney)
1830
Mandres-aux-Quatre-Tours
1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Chaumousey (1773).
Ordonné en 1774.
A Domèvre (1790).
Curé de Mandres-aux-Quatre-Tours (février 1803).
ROYER Joseph Gérard Pont-à-Mousson 1754
Pont-à-Mousson
  1701 Etudie la philosophie à Domèvre (1702).
Etudie la théologie à Domèvre (1703).
Prêtre le 19 septembre 1706.
Enseigne à Aoste la 4e (1707), la rhétorique (1708), la 4e (1709), la 3e (1710), la rhétorique (1711).
ROZAT François Louis 1761
Château-Salins
  1781
Autrey
  
RUEL ou RUELL Jacques 1733
Rouffac, en Alsace
1793
Coblence
1751
Pont-à-Mousson
1752
Pont-à-Mousson
« Dénué de l’esprit de son état, & il l’avoit à peu près fait perdre à ceux de ses confrères qui avoient été emploiés sous lui dans cet établissement » (Chatrian, BDN, MC 21, p.22).
Etudie la philosophie à Chaumousey (1752-1753).
Professeur de théologie à Saint-Pierremont et à Belchamps « dont les élèves enfarinés de jansénisme par leur maître hérétique furent écartés des saints ordres à Metz et à Toul » (Chatrian, BDN, MC 21, p.22).
Selon Bony de la Vergne, « ce M. Ruell, doué de beaucoup de connaissances et d’un tact parfait, avait établi ce que je n’ai vu nulle part. De temps à autre il tenait des conférences paternelles où il réunissait tous les élèves. Là il discutait quelque point difficile de morale, mêlant le tout d’anecdotes propres à amuser et instruire les jeunes gens. »Maître des novices à Pont-à-Mousson (1766).
Prieur de Metz (1768-1773).
Prieur de Pont-à-Mousson (1776).
Principal de Pont-à-Mousson (1776-1792).
Assistant du général (1778-1781 et 1788-1790).
Dénoncé par un officier pour avoir dit du mal des Etats Généraux au début de la Révolution.
Impliqué dans un complot contre-révolutionnaire, s’exile au Luxembourg en 1792, emportant la bourse du collège. Emigre à Trêves en 1792 (Semaine Remigieuse de Nancy, 1912, p. 15). Employé jusqu’à sa mort comme vicaire épiscopal de Mgr La Fare ou de M. de Champorcin à Trêves. Laisse l’argent qu’il avait emporté de Pont-à-Mousson à plusieurs confrères.
RUELLE Nicolas ou Michel 1749
Rouffac en Alsace
  1769
Pont-à-Mousson
1770
Pont-à-Mousson
Préfet des salles (1785-1786).
A Viviers (1790).
SALET ou SALLET Antoine Humbert ou Jean Baptiste Bleurville, duché de Bar 1754
Dommartin-lès-Valois
1722
Pont-à-Mousson
1723
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Domèvre (1723-1724).
Etudie la théologie à Domèvre (1725-1726).
Fait sa 3e année de théologie à Saint-Pierremont (1727).
Curé de Dommartin-lès-Valois (1731-1754).
SALLE Charles 1753
Pont-à-Mousson
1779
Domèvre
1772
Pont-à-Mousson
1774
Pont-à-mousson
Est diacre à son décès en 1779.
SALMON Dominique 1697
Raon l’Etape
1770
Domèvre
  1717
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Domèvre (1718-1720).
Etudie la théologie à Domèvre (1722).
Curé de Barbas (1723).
Professeur de philosophie à Chaumousey (1724-...).
Directeur du séminaire d’Aoste (1729-1733).
Prieur de Verdun (1734).
Directeur du séminaire d’Aoste (1736-1739).
Enseigne à Aoste la théologie (1736-1739).
Prieur de Domèvre (1740-1741, 1749 et 1765). Correspond alors avec Dom Calmet au sujet des procès de l’abbé Piart.
Assistant du général Bexon (1747-1753) puis Pillerel (1753-1768).
Prieur de Chaumousey (1770).
SALMON Jean Baptiste       1715
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Domèvre (1715-1717).
A Pont-à-Mousson (...-1726).
A Domèvre (1726-1728).
A Belchamps (1729-...).
SAMSON Gérard Verdun 1724
Verdun
  1686 « d’une piété singulière » (Lettre de Ribitel du 22 avril 1703, AST, Archiescovadi e vescovadi, inventorio 80, fasciculo 1, Aosta, Mazzo 1, n°23).
Directeur du séminaire d’Aoste (1703-1713).
Enseigne à Aoste la 5e (1712).
Adjuteur à Aoste (1714-1717).
SAR Louis Toussaint 1741
Metz
  1759
Pont-à-Mousson
  
SARRAZIN François 1715
Crepey, diocèse de Toul
1749
Pont-à-Mousson
1734
Pont-à-Mousson
1735
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Chaumousey (1738-1739).
Enseigne à Aoste la 6e (1741), la 4e (1742), les humanités (1743), la philosophie (1744-1745).
SAUNOT ou SAULNOT Jean Claude Epinal 1757
Retiré à Chaumousey après avoir résigné sa cure
  1688 Vie religieuse « tout à fait édifiante » (ADV, XII H 4).
A Chaumousey (1689).
Enseigne à Aoste la 4e (1695), la 3e (1696).
Vicaire au Tholy (1701).
Vicaire de Veho (1703).
A Chaumousey (1704).
Curé de Manonviller (1705-1749).
Retiré à Chaumousey après avoir résigné sa cure (1751-1757).
SAUVAGE J. B.         Curé de Vaxoncourt (dans les années 1680).
SAUVEUR Jean 1680
Liège
1744 (2 avril)
Domèvre
  1700 Etudie la philosophie à Domèvre (1708-1710).
Enseigne à Aoste la 5e (1713), la 4e (1714), la 3e (1715-1716).
A Verrès en 1718-1719. Envoyé par Nicolas Guénaire à Chaumousey auprès du général Verlet pour négocier la sortie de Verrès de la congrégation.
SCHECKER Joseph 1751
Bouquenom
1836 1779
Autrey
1780
Autrey
Préfet de salle au pensionnat d’Epinal (1788).
Enseigne la rhétorique à Epinal (1790) ; sort du district d’Epinal le 14 mai 1791.
SCHEIDER Jean 1756
Ergesheim
  1777
Autrey
1778
Autrey
Régent de 3e à Bouquenom (1787).
A Bouquenom (1790).
SCHEITEL Joseph 1760
Mosheim, diocèse de Strasbourg
  1779
Autrey
  
SCHMITH Jean 1752
Destry
  1773
Pont-à-Mousson
  
SCHMITT Jean Georges 1764
Merxheim, diocèse de Bâle, Alsace
  1785
Autrey
  
SCHWARTZ Pierre 1756
Herbitzheim, diocèse de Metz
  1777
Autrey
1778
Autrey
 
SEBASTIEN Clément Lunéville 1718
Mirecourt
  1670 A Pont-à-Mousson (1671, 1673, et 1677).
Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1674).
A Verrès avant 1680.
Enseigne à Aoste la 4e (1680-1682).
Prieur de Viviers (1684).
Prieur de Saint-Pierremont (1685-1687).
Envoyé à Strasbourg pour former la première communauté (décembre 1687).
Curé de Domèvre (1687-1688).
Missionnaire à Fort-Louis (dès janvier 1689).
Curé de Fort-Louis (février 1690).
Prieur de Toul (1692).
Procureur général (1692-1695).
SEBILLE Jean François 1757
Bouligny
  1778
Autrey
1779
Autrey
A Autrey (1790).
Curé constitutionnel de Bruyères (1791-...).
Le 12 décembre 1793, la société des amis de la Répulique le maintient dans ses fonctions.
Président de la société populaire de Bruyères en 1794.
SEBILLE ou SYBILLE Nicolas 1595
Epinal
22 février 1657
Aoste, âgé de 63 ans (Annales de St Bénin)
1629 12 août 1630 Frère adjuteur à Aoste (1648-1657).
Mort « avec les sentimens d’un véritable religieux, tel qu’il avoit toujours paru pendant 27 [ans] qu’il avoit l’honneur de servir la cong[régati]on en qualité de frère adjuteur » (annales de St Bénin).
SEHOLS ou SCHOLS Melchior 1715
Sarralbe
1794
Sarralbe. Ses paroissiens déterrent son corps pour le ramener dans l’église de Bouquenom.
1732
Pont-à-Mousson
1733
Pont-à-Mousson
Curé et archiprêtre de Bouquenom (Sarre-Union) nommé par le roi (présent en 1765, en 1768, rattaché à Strasbourg ; y est toujours en 1772, rattaché à Domèvre ; présent en 1790).
Emigre à Mannheim.
Arrêté et détenu à Metz en 1794. Libéré, va à Sarralbe.
SELTZER Joseph Henri 1750
Bitensem, diocèse de Metz
  1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Préfet des salles à Pont-à-Mousson (1785).
Vicaire de Lunéville (1786, 1789-1791).
A Lunéville (1790).
Curé constitutionnel de Dieuze (après 1791).
SEMMARD ou SEMAREL Gérard Remiremont 1729
Dompierre
  1692 Enseigne à Aoste la 5e (1701).
Curé de Dompierre (1702-1729).
SERIER ou SERRIER Jacques Badonviller 1760
Igney
  1689 Etudie la théologie à Domèvre (1692-1694).
Professeur de philosophie à Domèvre (1697-.
Sous prieur cde Domèvre (1697-1698).
Curé de Domèvre (1698-1699).
Curé d’Igney (1699-1760).
Choisi pour être abbé de Domèvre (1722), mais finalement remplacé par Piart avant d’en avoir pris possession.
SERY Jean Etienne Froville     1696 
SIBILLE Antoine 1752
Pagny-la-Blanche-Côte
  1767
Pont-à-Mousson
1768 Etait vicaire de son frère, curé de Moyeuvre. Le 30 juin 1790, retourne à l’abbaye pour profiter de la liberté.
A Saint-Pierremont (1790) ; sort en février 1791.
Voulait aller à Verdun ; va finalement à Bruyères et Marchéville.
Curé jureur de Bruyères et de Marchéville entre 1791 et 1793.
Se marie en grande pompe à Marchéville le 19 novembre 1793.
SIBILLE François 1749
Pagny-la-Blanche-Côte
  1765
Pont-à-Mousson
1766 Etudie la théologie à Belchamps (1768).
Curé de Moyeuvre (1788-...).
Prieur de Metz (1783-1788).
A Autrey (1790).
SIMON Claude Joseph 1755
Sainte Marie en Chaux, diocèse de Besançon
  1775
Pont-à-Mousson
  
SIMON Nicolas 1729
Lorraine, diocèse de Toul
    1756
Pont-à-Mousson
Frère coadjuteur laïc, à Lunéville (1768 ; 1770 ; 1790).
SIMONIN ou SYMONIN Claude 1636
Lunéville (ms 759)
    12 mars 1628 (Drouin p.229) Frère adjuteur.
SIMONIN Simon   1671
Belchamps
  1644 Adjuteur.
SINCERET ou CINCERET ou CHINCHERE Jean Pierre 1677
Fontainemore, au Val d’Aoste
1736
en janvier au collège d’Aoste
  1699 Etudie la philosophie à Domèvre (1699-1700, et 1703-1704).
A Saint-Pierremont (1702).
Prêtre le 20 décembre 1704.
Enseigne à Aoste la 6e (1704), la 5e (1705-1706).
Vicaire de Fénis (Val d’Aoste, 1707).
Refuse de se rendre à la convocation de 1719 destinée à retrancher Verrès de la congrégation.
Enseigne ensuite à Aoste la 3e (1717), les humanités (1718), la rhétorique (1719), la 5e (1720-1721), la 4e (1722), la 3e (1723-1724), la 6e (1725), la 3e (1726), les humanités (1727), la 4e (1728-1729) et la 3e (1731). A partir de 1731, il protège et enseigne la grammaire au collégien J. A. Pelissier, futur professeur florentin qui finira sa vie en ermite à Naples. Sinceret est ensuite professeur remplaçant en 1732-1733.
Il est paralysé depuis 1728, et considéré comme infirme à partir de 1734.
SOUCHOTTE Charles Nicolas Pompey 1750
Lupcourt
  1703 A Saint-Pierremont (1707).
Professeur de philosophie à Domèvre (1708-1709).
Professeur de théologie à Domèvre (1710).
Curé de Barbas (1711-1712).
Vicaire de Saint-Sauveur (1713-1717). Bine avec un autre bénéfice.
Curé de Lupcourt (1712-1750).
En 1741, le chapitre général le remercie pour ses largesses envers la maison de Nancy.
SOUCHOTTE Nicolas Charles Vincent 1710
Lunéville
  1727
Pont-à-Mousson
1728
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1728).
Curé de Domèvre (1740).
Curé de Saint George (1746-1775).
SPIES François Philippe 1759
Bouquenom (Sarre-Union)
  1783
Autrey
1784
Autrey
Fils de chirurgien.
Régent de 6e à Bouquenom (1787).
Préfet et bibliothécaire à Pont-à-Mousson (1790). A 6 ans de service en 1790.
Precepteur en exil pendant la Révolution.
SPITZ Etienne ou François Ignace 1765
Epfig ou Epfey
1825 1784
Autrey
1786 A Nancy (1790).
SPONVILLE Jean 1737
Ja[...], diocèse de Metz
  1758
Pont-à-Mousson
  
STROLLE Pierre Adrien Essay en Woëvre, en Lorraine   1722
Pont-à-Mousson
  
SURLOPPE Felix 1731
Lunéville
    1751
Pont-à-Mousson
Professeur de théologie à Chaumousey (1767).
Professeur de théologie à Saint-Pierremont (1768).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1774-1776) et à Autrey.
Prieur de Blechamps (...-1786) ; remplacé suite aux plaintes des religieux portant sur ses trop grandes dépenses car il « reçoit trop bien les prêtres séculiers, et régale trop souvent » (BDN, MC 118, p.69).
Prieur de Dommartin (1786 et 1787).
SUSAND ou SEZAN François Joseph 1640
Saint-Jean, Aoste
1706
Saint-Marcel
  1665 A Verrès avant 1670.
Enseigne à Aoste la 5e (1670), la 4e (1671-1673), la 3e (1674), les humanités (1675).
Curé de Saint-Marcel (Val d’Aoste, 1682-1706).
TACON Dominique Vaulx 1661   1629 Adjuteur.
A Viviers (1638). Reste seul à Viviers avec Drouin.
A Verdun (...-1647).
A Belchamps (1647-...).
TACON Jean 1602 ou 1603
Charmes (Vosges)
1636
Belchamps, de la peste, peu après son arrivée.
31 août 1625 (lettre du 29 juillet 1625) Septembre 1626 Etudia à l’université de Pont-à-Mousson.
Avec Bedel, « jeunes hommes étudians au Pont-à-Mousson, de belle taille et de très bonne façon, (...), et l’autre qui s’appelle M. Tacon, théologien d’un an qui demandoient d’être reçus céans. On les a vu à l’église, au réfectoire, en la chambre, au jardin et y a-t-on rien remarqué, ny soupçonné, ny entendu depuis, qui soit autre que bon ; si bien que s’ils persévèrent au saint désir qu’ils ont d’entrer, nous pourrons les avoir environ la fête de Sainte Madeleine » (lettre à Saint-Pierremont, 3 juin 1625). (lettre à Saint-Pierremont 29 juillet 1625).
A eu comme maître Guinet. (lettre à Saint-Pierremont du 25 août 1625).
A Verdun en 1626 ; en part pour Lunéville avec Estienne (itinéraire pour deux jeunes religieux de la congrégation de Notre Sauveur, 15 juillet 1626). Toujours à Lunéville en août 1626 « Notre bon frère Tacon est entré dans la chambre avec le reste de ses jaunes couleurs, me charger de ses recommandations très humble à votre sainte communauté » (lettre à Verdun, 19 aout 1626). Souhaité par Fourier pour aller à Rome (lettre à Lunéville, 1er novembre 1626). Devient procureur à Lunéville après le départ du prieur Guinet, remplacé par Chamois (15 mai 1627 ; Drouin p.222).
« Notre bon frère Maître Tacon (...) jugeroit bien bon que l’on ne rejettât la requêtte pieuse de personnes si dévotes comme sont (les religieuses de Dieuze et Mme de la Ruelle leur fondatrice) et que plustôt on devançât d’un jour, ou bien on reculât de cinq ou six les professions prétendues pour ne mécontenter des gens qui sont plus délicates et volontiers plus attachées aux jours et à leurs phantaisies que ne sont pas des hommes et des religieux. Il semble que le jugement de notre dit bon frère n’est pas mauvais » (lettre à Guinet, 27 janvier 1627).
« Dernièrement le P. Tacon se plaignoit par icy, ou du moins témoignoit qu’il y avoit présentement peu d’ordre par là-dedans (Lunéville), point de silence la pluspart du tems, point de retenue ès novices, une conduite de leur Père si froide, des expositions ou lectures ou méditations si fades et de si peu de goût, une hantise et une familiarité des uns aux autres si ordinaire, qu’il y avoit apparence que les plus clairvoyans de ceux qui y sont nouvellement entrés ou qui y entreront cy-après, durant ce train-là, se dégoûteront faute de bonne nourriture spirituelle et sortans de chez nous pleins de mécontentement, et de mauvaise édification qu’ils y auront reçu, pour justifier leur sortie, nous décrieront partout pour bien longtems et en empêcheront plusieurs lesquels autrement peut-être eussent été propres et prêts à prendre party. » (lettre à Terrel, 24 décembre 1627).
Chargé des « confessions des personnes que (Petitjean) nomme » (lettre à Petitjean, 27 décembre 1627).
Accompagne Fourier pour négocier sans succès l’abbaye de Toul (lettre à Terrel ; 5 mars 1627) ; lui suggère sans résultat de rendre visite aux sœurs de Vitry (lettre à Vitry du 7 mars 1627).
Envoyé au prieuré de Viviers alors vacant peu après avoir dit sa première messe ; s’y installe avec Jean de Romont. Part avec Terrel à Metz traiter avec le Vicaire Général de l’union de Viviers (lettre à Guinet et Lemulier, 7 janvier 1628).
Envoyé à Lunéville aider aux confessions le mercredi saint (lettre à Guinet et Lemulier, 28 avril 1628).
Envoyé au Pont, et au voyage de Cologne avec Terrel (lettre à Guinet et Lemulier, 5 mai 1628).
« Le RP Tacon pourroit bien servir à l’avancement des études de nos bons frères étudians. C’est pourquoy on a prié M. Rousselot d’approuver qu’il quitte Vivier pour quelque tems (en marchandant à un prêtre séculier le service de la chapelle d’illecques) et s’en aille résider au Pont. Il y arriva hier » (lettre à Guinet et Lemulier 5 mai 1628).
Encore envoyé à Viviers en juillet 1628 « pour y honorer la sainte Madeleine » avec Terrel, Manceau et les étudiants. (lettre à Guinet, 21 juillet 1628).
Prieur de Pont-à-Mousson ; y dirige les étudiants fin 1628 (lettre à Guinet, 27 octobre 1628).
« Celuy qui doit les gouverner (les étudiants) le P. Tacon, lequel auparavant étoit un peu trop libre » (lettre à Guinet, 27 octobre 1628).
Guinet lui concède de privilège des prieurs de Latran de consacrer les cloches, en 1629. Il consacre les nouvelles cloches de Pont-à-Mousson réalisées à partir d’une cloche fendue de Saint-Pierremont, puis celles de Verdun refondues (Drouin p.233)Premier prieur de Viviers en 1629-1630 ; chargé de remplacer le général Guinet lorsqu’il s’absente du Pont (Drouin p.232).
Rendit de grands services à la congrégation, comme procureur ou prieur de Pont-à-Mousson.
Prieur de Verdun (1630-1634).
Prieur de Belchamps (1635).
TACON Jean Charmes 1660
Nouillonpont
  1628 Curé de Mance (1633-1636). Etait encore étudiant et ne résida qu’en 1634.
Passe de Belchamps à Saint-Pierremont pour se réfugier (1635).
Se réfugie à Thionville (1635).
Curé de Nouillonpont (1636-1660).
TARAVEL Etienne Nantua en Bresse 1er décembre 1650
Resté seul avec Gilles Drouin à Saint-Pierremont, il va à la chasse et s’y fait tuer.
1625 (Drouin p.214) 13 mai 1627 Est à Lunéville en 1626 (lettre à Verdun du 18 mars 1626). Formé par Guinet (lettre du 20 avril 1626). A Belchamps lors de la prise de possession ; alors novice (lettre du 29 août 1626 ; Drouin p.216).
Guinet en parle ainsi : « vous, mon cher, mon trois fois, cent fois très cher Etienne, votre ferveur me ravit ; de quel feu n’embraserez vous pas ceux qui vous contempleront ? Quelles flammes de divin amour, quelles flèches brûlantes ne brandirez-vous pas, ne lancerez-vous pas, ne ferez-vous pas pénétrer par votre ardeur si modeste ? C’est une ardeur de lion que la vôtre ; ou je me trompe mille fois, ou c’est une ardeur toute, oui, toute de séraphin et de chérubin » (lettre de Guinet, 9 octobre 1627).
« pour vous dire ce que c’en est, ne peut point chanter de messes hautes, à raison de sa voix qui est trop haut montée » (lettre à Terrel prieur de Verdun, 3 avril 1628).
Procureur à Saint-Pierremont (...-1632), Lunéville (1632-...).
Prieur à Viviers (1639).
Curé de Mance (1644-1646). Dut se démettre.
Prieur de Saint-Pierremont (1647).
TERREL Jean 1595
Nancy (Drouin p.205)
1667
Bar-le-Duc
Après la réforme
Belchamps
15 décembre 1624
Lunéville
Noblesse de robe lorraine ; père argentier du prince Nicolas François.
Remplace Fourier à Lunéville (avec le P. Voirin, Jésuite) lors de ses absences (Lettre de M. de Maillane du 9 décembre 1623). « Nous respectons par deçà comme (saint) » (lettre de Fourier du 23 octobre 1624). A la confiance de Fourier qui propose aux sœurs de Metz de lui confier toute « chose qui vous pèse » afin qu’il les raconte « à moy seul » (même lettre). Rend possession de Saint-Pierremont (1625). Demandé par Fourier en mai 1625 pour renforcer Lunéville (lettre à Saint-Pierremont, 3 mai 1625). S’y rend (lettre à Saint-Pierremont du 29 juillet 1625). Demandé par Fourier pour l’aider à négocier avec Mgr de Gorzes (lettre à Lunéville, 3 août 1625). Suit et conseille Fourier à Verdun (lettres du 27 août 1625 à M. D’Angenoust, du 29 août 1625 à Saint-Pierremont, du 9 septembre 1625 à Saint-Pierremont, du 13 septembre 1625 à Saint-Pierremont). Prieur à Verdun en 1625 (Drouin p.214). Va avec Manceau « à Domèvre, Dieu aidant, pour la séparation des menses de là-dedans » (Lettre à Saint-Pierremont ; 9 février 1626). A Verdun en novembre 1626, où il décide avec Fourier d’envoyer un représentant à Rome. Souhaité par Fourier pour le voyage de Rome. (lettre à Lunéville du 1er novembre 1626). Envoyé à Paris avec Petitjean en 1627 pour rassurer le roi de France au sujet de la loyauté des Chanoines Réguliers de Verdun (lettre du 19 mai 1627 à Verdun pour le départ ; lettre à Guinet et Lemulier du 30 juillet 1627 pour le retour ; Drouin p.221-222).
Chargé, margré une fièvre, de remettre de l’ordre dans la maison de Lunéville alors dirigée par Petitjean (lettre à Terrel du 24 décembre 1627).
Part avec Tacon à Metz traiter avec le Vicaire Général de l’union de Viviers (lettre à Guinet et Lemulier, 7 janvier 1628). Au sujet du choix des novices : « est assez mauvais en ces affaires icy » (lettre à Guinet et Lemulier du 21 janvier 1628).
Ne demande l’avis de personne pour le contrat de mense (lettre à Guinet et Lemulier, 21 avril 1628).
Part ensuite à Châlons dès le 27 mars (lettre à Guinet et Lemulier, 21 avril 1628).
Envoyé à Viviers en juillet 1628 « pour y honorer la sainte Madeleine » avec Manceau, Tacon et les étudiants. (lettre à Guinet, 21 juillet 1628).
Chargé de visiter les sœurs de Notre Dame (lettre à St Mihiel, 21 août 1628). Semble qu’il ne peut plus le faire faute de temps (lettre à Verdun, 2 octobre 1628). Emprunte de l’or (500 francs) aux sœurs afin de l’envoyer à Rome... puis leur rend pour ne pas les décevoir (lettre à Guinet, 25 août 1628).
Réclamé par les sœurs de Longwy (lettre à Longwy, 28 août 1629).
Confirmé prieur de Verdun en 1629 (Drouin p.232), Procureur Général en 1629. Chargé de la Congrégation de Notre Dame.
En 1634, envoyé à Rome par Pierre Fourier pour officialiser l’élection de Guy Lemulier à Saint-Pierremont.
Les difficultés créées contre lui par Mgr. De Gournay l’obligent à partir en exil à Gray avec Pierre Fourier en 1636 (Abrégé chronologique p.29 et Mem. Sur l’histoire du B.P.Fourier et sur ses deux congrégations III, p.152 et 242).
Enseigne au collège de Gray (1640).
Prieur de Viviers (1641).
4e Général de l’Ordre après la mort de Lemulier (1642-1667).
En 1643 fonde les collèges d’Aoste et de Saint Mihiel.
En 1644 fait la visite d’Aoste avec Bedel.
En 1647 se déplace pour finaliser l’union de Verrès.
En 1648 va à Verrès pour assister au chapitre des anciens, puis pour visiter le collège d’Aoste.
Se rend au collège d’Aoste en 1650, avant de partir pour Rome, et y apporte des aumusses grises. En revenant de Rome, visite le collège.
En 1650 va à Rome en pèlerinage afin de visiter le tombeau des apôtres, avec Bedel, Etienne et Drouin.
Aurait eu la main coupée par les suédois en 1651, d’après le ms 759 (sûrement faux).
Visite Aoste en 1653.
Visite Aoste en 1656.
THEVENOT Joseph 1763
Vaivre, diocèse de Besançon
  1783
Autrey
1784
Autrey
Etudie la philosophie à Chaumousey (1784).
A Autrey (1790).
THIEBAULT Charles 1726
Monthureux, diocèse de Toul
  1743
Pont-à-Mousson
  
THIEBAULT Dominique Gerbeviller 1636
Domèvre
  11 janvier 1626 Rhétoricien.
Envoyé à Domèvre (envoyé en avril 1625 ; lettre de Fourier à Saint-Pierremont, 27 avril 1625). A Belchamps lors de la prise de possession (lettre du 29 août 1626 ; Drouin p.216). Passa quelques temps à Viviers (?) puis à Saint-Pierremont avec Charles Guinet en 1627 (Drouin p.222).
Désigné pour l’assaut de Toul (lettre à Guinet et Lemulier, 10 septembre 1627) et effectivement envoyé (lettre à Guinet et Lemulier, 15 octobre 1627).
Envoyé au Pont y étudier (résolution du conseil du 16 novembre 1627). Y recoit les cours du Jésuite Haraucour de Chambley (philosophie et logique) et a comme supérieur et directeur Fourier la première année (Drouin p. 225)
A Domèvre en avril 1628 avec Bedel (lettre à Guinet et Lemulier, 21 avril 1628). Revient à Lunéville, quittant « ce lieu-là plein de maladies, de tristesse et de mélancolie » (lettre à Guinet et Lemulier, 28 avril 1628).
THIEBAULT François 1729
Remiremont
  1747
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1747.
THIERY François Noël 1687
Lorraine, diocèse de Metz
1771
Avait résigné sa cure ; était à Nouillonpont avec son successeur en 1768.
  1707 Etudie la philosophie à Chaumousey (1708-1709).
Etudie la théologie à Chaumousey (1710).
Curé de Thumeréville (1715-1726).
Curé de Nouillonpont (1726-1763).
THIRIET Charles 1696
Jezainville, près de Pont-à-Mousson
  1715
Pont-à-Mousson
  Aurait été renvoyé.
THIRIET Claude         Postulant qui étudie la philosophie à Chaumousey (1708).
THIRIET Claude Fremifontaine 1722
Autrey
  1694 A Saint-Pierremont (1702).
A Chaumousey (1706-1710).
THIRIET Dominique Fremifontaine 1763
Autrey
  1698 Adjuteur à Domèvre (1715-1720).
THIRIET Dominique Frémifontaine   1718
Pont-à-Mousson
1719
Pont-à-Mousson
 
THIRIET Nicolas 1733 ou 1731
Pont-à-Mousson
1809
Alors curé de Barbas
  1751
Pont-à-Mousson
Vicaire du Tholy (1765-1767).
Procureur au Tholy (1768).
Vicaire de Xermaménil (1778-1783).
Curé de Barbas (1783-1809). Jureur.
THIRIET Nicolas Fremifontaine ou St Fleurant 1731
Pont-à-Mousson
  1704 Etudie la philosophie à Domèvre (1704-1705).
Présent à Saint-Pierremont (1706-...).
Procureur à Domèvre (1712).
Curé de Barbas (1712).
Prieur de Pont-à-Mousson (1727-1731).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1729-1730).
THIRION Pierre Nicolas 1718
Metz
  1736
Pont-à-Mousson
  
THOMAS Nicolas         A Chaumousey (1691).
Etudie la théologie à Domèvre (1692-1693).
Fait prêtre en 1693.
Curé de Naix-aux-Forges (1707-1723).
THOMAS Pierre Clermont 1636
Belchamps
  1er août 1630 (Drouin p.234) A fait sa philosophie en tant que séculier.
Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1632).
Curé de Damelevières-Charmois (1633-1636).
THOMASSIN Claude Joseph 1743
Valfroicourt ou Darney (ms 759)
1800
Venait de se marier avec sa servante
1762
Pont-à-Mousson
1763 Etudie la théologie à Saint-Pierremont (1768).
Vicaire de Jolivet (1772-après 1790).
« Juif, trompeur, non résident, mal famé, jureur en 1791 » (Chatrian, BDN, MC 8).
THOMASSIN Dominique Ville-sur-Illon 1635
Lunéville
  28 février 1630 (Drouin p.234) Ami de Pierre Fourier (lettre à Thomassin, 28 septembre 1619).
Prieur de Viviers (1630).
Prieur de Belchamps (1633).
Prêtre de Ville sur Illon.
THONIN Nicolas 1748
Viller près de Saint-Mihiel
  1766
Pont-à-Mousson
1767
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1768-1769).
Curé d’Herbeuville (1773-1774).
Sous maître des novices après 1774.
Prieur de Dommartin (...-1786).
Professeur de mathématiques à Metz (...-1786).
Prieur de Belchamps (1786).
Curé de Vaxoncourt (1787-1790).
Refuse de vendre du blé en 1790 ; Sa maison de Vaxoncourt est brûlée par vengence, ainsi que ses greniers qui contenaient 200 réseaux ; il se retire de sa cure.
THORETTE Jean Pierre 1730
Pont-à-Mousson
1788 1747
Pont-à-Mousson
1748
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1754 ou 1757.
Directeur des bénédictines de Vergaville (1767-1788) ; rattaché à Viviers. Remplaçé par Villermin.
THOUVENEL Jean Baptiste 1752
Mattaincourt
  1775
Pont-à-Mousson
1776
Pont-à-Mousson
A St Mihiel (1790).
Dans le district de Mirecourt (1792).
THOUVENIN Bertrand         Curé de Mont-sur-Meurthe (1680-1681).
THOUVENIN ou THEVENIN Didier   Fin 1671 ou début 1672 (ms 759 de Nancy), « fort vieil » (Drouin p.229)
Domèvre.
  12 mars 1628 (Drouin p.216, p.229) Cuisinier. Coadjuteur.
Frère adjuteur. A Belchamps lors de la prise de possession (lettre du 29 août 1626) « avoit alors l’habit séculier, et depuis a receu l’habit de frère adjuteur et faict profession » (Drouin p.216).
Selon Petitjean, « si Maître Thouvenin fera profession avec le reste, il en est en grand soucy. Sa vue pour être basse ne l’empêche de servir la congrégation » (lettre de Petitjean à Fourier, 9 mars 1628).
« bon religieux » (Drouin p.229).
THOUVENIN Jacques François 1720
Voussey ou Vouxey
1742
A Chaumousey, « le six septembre 1742 vers les dix heures du soir, fut trouvé tombé du grand escallier [...], malgré tous les secours qu’on s’empressa de luy donner, il mourut de la chutte le 7 à une deure et demy du matin »
1739
Pont-à-Mousson
1740
Pont-à-Mousson
 
THOUVENIN Nicolas   1654
Chaumousey
  1649 Régent de 4e à Aoste (1652).
Régent de 3e à Aoste (1653).
THOUVENOT Antoine 1746
Einvaux
    Vers 1707 Etudie la philosophie à Chaumousey (1708-1709).
Etudie la théologie à Chaumousey (1710).
Enseigne à Aoste la 4e (1713), la 3e (1714), les humanités (1715).
Curé d’Einvaux (1720-1746).
THURIN Jean François 1753
Briey
  1774 et 1777
Pont-à-Mousson et Autrey
  
TINSLIN François 1710
Hudiviller (Jolivet)
  1728
Pont-à-Mousson
1729
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1734.
Enseigne à Aoste la 5e (1735-1736), la 4e (1737), la 3e (1738-1739), les humanités (1740).
A Domèvre en 1768 ; en 1790.
TISSERAND Jean Nicolas 1761
Fougerolle, diocèse de Besançon
  1781
Autrey
1782
Autrey
Vicaire à Mattaincourt (1790).
TISSERAND, dit LAVAUX Nicolas 1720
Lunéville
  1747
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1748.
TORT Jean Pierre 1762
Pont-à-Mousson
1845 1782
Autrey
1783
Autrey
Enseigne la 6e à Epinal (1787-1788).
Enseigne à Epinal (1789).
Enseigne la 5e à Epinal (1790) ; sort du district d’Epinal le 3 août 1791.
Le 14 brumaire an IV, obtient de la ville d’Epinal un certificat attestant que « le citoyen Tort, ex chanoine régulier a enseigné les principes des langues latine et française au cy devant collège royal d’Epinal depuis 1787 jusqu’en 1790, à la satisfaction du public, et que pendant son séjour dans cette commune, il s’y est comporté en honnête homme et en bon citoyen ». ADV, archives de la ville d’Epinal, D 41.
TOTZ Joseph 1766     Après 1785 A Nancy (1790).
TOUSSAINT Adrien 1734
Jomécourt, diocèse de Trêves
  1751
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1752.
TOUSSAINT Claude 1739
Wisembach
  1759
Pont-à-Mousson
  
TOUSSAINT Jacques       Vers 1703 Etudie la philosophie à Domèvre (1704-1705).
Etudie la philosophie à Chaumousey (1709).
Sous prieur de Chaumousey (1752-1755) ?.
TOUSSAINT Jean Dominique 1712
Damas
1743
Mattaincourt
1730
Pont-à-Mousson
1731
Pont-à-Mousson
A Chaumousey (1742).
TOUSSAINT Louis 1741
« Wisemback »
  1765
Pont-à-Mousson
 
TOUSSAINT Nicolas 1698
Goviller près de Vézelise
Après 1768   1718
Pont-à-Mousson
Curé de Chaumousey (1725).
Sous-prieur à Chaumousey (1725).
A Nancy (après 1725-1727).
A Domèvre (1727-1728).
Procureur à Chaumousey (1728-1730).
Prieur d’Autrey (1732).
Sous-prieur de Chaumousey (1739-1742).
TOUSSAINT Simon   1773
Alors curé de Vouxey
    Curé de Vouxey (1729-1773).
TRAILIN ou TRELAIN Gérard Paul 1737
Verdun
  1756
Pont-à-Mousson
1757
Pont-à-Mousson
Professeur de logique à Metz (1768).
« Académicien de Metz, philosophe et mathématicien du 18e siècle » (Chatrian, BDN, MC 118, p.81).
Curé de Bauzemont (1769-1792).
Critiqué par Chatrian pour refuser de faire le catéchisme à Bauzemont ; le fait faire par un maître d’école.
Vicaire épiscopal de Nancy sous la Révolution.
TRAISLIN Louis 1743
Verdun
  1762
Pont-à-Mousson
  
TROGNY Nicolas Charmes 1767
Leintrey
1723
Pont-à-Mousson
1724
Pont-à-Mousson
A Chaumousey (1764).
Auxiliaire du P. Gentil à Leintrey (avant 1767).
Auxiliaire du P. Mayeur à Reillon (milieu du XVIIIème siècle).
TROMPETTE Henri 1665
Charmes
1713
Villacourt
  1683 Directeur de l’hôpital de Fort-Louis (février 1690).
Vicaire du Tholy (1691).
Curé de Lunéville (1698-1702).
Curé de Villacourt (1705-1713).
URBAIN Jean Vers 1605
Metz
Encore en vie en 1669 (Drouin p.223). Mort en 1670 (ms 759)
Metz
1626 ? (Drouin p.216) 21 septembre 1627 (Drouin p.223)
Lunéville ?
A Belchamps lors de la prise de possession (lettre du 29 août 1626). A Lunéville fin 1627.
Doit faire profession « non pour être du chœur absolument et simplement (...) mais pour le service des écoles de pensionnaires ou externes ainsi qu’il écherra » (lettre à Guinet et Lemulier, 19 novembre 1627).
Petitjean désire qu’il devienne prêtre : « si on vouloit faire un prêtre de notre maître Urbain pour seulement célébrer et demeurer au chœur, il y faudroit aviser, d’autant qu’il touche sa vingt-deuxième année » ; « Il ne témoigne rien qu’une indifférence résignée de faire ce que la sainte obédience voudra » (lettre de Petitjean à Fourier, 16 décembre 1627).
« Il fait grand devoir en enseignant nos pensionnaires » (lettre de Petitjean à Fourier, 16 décembre 1627).
Fourier demande à Petitjean « d’ordonner bien à la certes à Urbain qu’il les (les écoliers) de près et ne les empêche en façon que ce soit de satisfaire leurs leçons de classe » (lettre à Petitjean, 25 janvier 1628).
« Je suis bien marry de ce petit glorieux d’Urbain qui charge la maison. En notre congrégation prochaine on avisera ce qu’il en faudra faire. Sa physionomie ne m’a pas trompé dont je suis bien en peine » (lettre à Petitjean du 19 avril 1628).
Curé de Ste Ségolène à Metz à partir de 1635 ; y était en 1640 (lettre à Clément Philippe, 12 octobre 1640) ; doit en partir selon le chapitre général de 1666 et retourner à Belchamps sous peine de sanctions, car avait désobéi aux ordres du général ; était encore à Ste Ségolène la fin de sa vie (Drouin p.223, avec d’autres précisions peu lisibles). Confirmé par Bedel et le ms 759.
URBAIN Jean Louis 1744
Verdun
  1763
Pont-à-Mousson
  
URGUET Claude-Nicolas Nancy 1737
Chaumousey, « après une longue maladie soufferte avec beaucoup de constance » (ADV, XII H 4)
  1695 Etudie à Domèvre la philosophie (1697-1698).
A Saint-Pierremont (1702).
Prêtre le 22 septembre 1703.
Enseigne à Aoste la 3e (1703), les humanités (1704).
A Domèvre (1721). A Lunéville (1722-...).
A Autrey (...-1727).
A Domèvre (1727-1728).
Curé de Gogney (1728) pour remplacer Aubert devenu impotent.
Curé de Reillon (1729-1732). Demande « avec instance pour rentrer en communauté » (AD M&M, H 1386).
A Domèvre (1732-...).
VACANT François Ferdinand 1738
Fléville, praoisse de Lixières, près de Dizier
1812
A émigré pendant la Révolution
1754
Pont-à-Mousson
1755
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1755-1756).
Etudie la théologie à Chaumousey (1757-1760).
Préfet à Saint-Mihiel (1768).
Curé de Brasseitte (1770-1775).
Curé de Lixières et Fléville (1775-1792).
VALDOR Jean Trieux 1745
Saint-Pierremont
  1702 Adjuteur.
VALENTIN Claude Antoine 1731 ou 1733
Mattaincourt
1806 1752
Pont-à-Mousson
1753
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1757.
Directeur des religieuses de Strasbourg (1768-1791).
Directeur de la confrérie du Saint-Sacrement de Strasbourg (1774).
Prieur de Strasbourg (1774, 1790).
Curé de Strasbourg (1790).
Jureur en 1791.
Desservant d’une paroisse du canton de Spincourt après 1791, jusqu’à sa mort.
« A montré un zèle emporté contre les catholiques fidèles, il a vécu scandaleusement avec une concubine » (Chatrian, BDN, MC 8).
VALEZAN ou VALLESAN Jean Dominique Arnard, Val d’Aoste 1730 (24 février)
Challand, Val d’Aoste
  1700 Etudie la philosophie à Domèvre (1701-1702).
Vicaire de Challand (1707-1711).
Curé de Challant (11 janvier 1711-1730). Eut pour vicaire Georges Meynet.
Accepte immédiatement l’autorité du prévôt Paul-François de Challant le 16 octobre 1719. Reconnaît encore le prévôt commendataire Paul François de Challant en 1720.
VALLEE Claude         Prieur de Lunéville (1680-1689).
VALLEE Nicolas 1727
Nancy
  1745
Pont-à-Mousson
1746
Pont-à-Mousson
A Chaumousey (1764-1767).
Etait sous diacre en 1768.
A Belchamps (1768).
A Domèvre (1790).
VALLIER ou VAILLIER François 1760
Ailly près de Saint Mihiel
1822
Lieu inconnu.
1780
Autrey
1781
Autrey
Etudie la théologie à Chaumousey (1783).
Enseigne aux « commençants » à Pont-à-Mousson (1786).
Se prépare à enseigner les mathématiques (de mars à Pâques 1786).
Enseigne à Nancy les mathématiques (1786-1788).
Professeur de mathématiques à Metz (1790), quitte la maison en août 1790.
Est parti le 17 février 1792 pour Saint-Aignan (Loir-et-Cher) puis de là, en décembre, pour Brienne (Aube).
VARIN Nicolas 1739
Jendreville, diocèse de Verdun ou Norroy le Sec
  1770
Pont-à-Mousson
  Renvoyé, prêtre, instituteur à Croismare, « défroqué, prêtre philosophe, petit curé de Croismare » (BDN, MC 118, p.60).
Curé jureur en 1791, retourné dans sa famille.
VARNEROT Nicolas 1729
Ligny
  1746
Pont-à-Mousson
  Refusé en 1747.
VARNEROT Nicolas 1747
Médières près de Pont-à-Mousson
  1766
Pont-à-Mousson
1767
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Domèvre (1768).
A Metz (1770, et 1775).
Sous principal de Nancy (1778-1781).
Enseigne à Nancy la rhétorique (1778-1781).
Sous principal à Pont-à-Mousson (1785).
Dernier prieur de Chaumousey (1785-1790).
Dernier prieur du Chesnoy (1789-1790) Reside au Chesnoy à partir du 29 octobre 1789 ; à Chaumousey en 1790.
A Epinal en 1791.
VARNESSON         Prêtre le 21 décembre 1715.
Enseigne à Aoste la rhétorique (1716).
Directeur du séminaire de Verdun (1726-1737).
Promoteur général du diocèse de Verdun (1736).
VARNESSON Jean-Baptiste Ligny 1753
A Belchamps, après avoir résigné sa cure
  1696 Etudie la philosophie à Domèvre (1697-1698).
Curé de Lunéville (1702-1712).
Prieur de Belchamps (1713).
Curé de Villacourt (1713-1750).
VARNESSON J. L.   1834     Vicaire d’Hubert Marchal à Neuville-Saint Hilaire (1768-1779).
Curé de Chaumont-sur-Aire puis caché à Bar-le-Duc (époque Révolutionnaire).
Curé de Neuville-Saint Hilaire (1803-1834).
VARNESSON Joseph 1711
Ligny
1786
Alors curé de Ménaucourt
1728
Pont-à-Mousson
1729
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1736.
Curé de Ménaucourt (1761-1786).
VATIER ou VATHIER ou WATHIER Jean ou Joseph 1727
Malroy
1809
Loro
1747
Pont-à-Mousson
1748 Prêtre en 1753.
Régent d’humanités au collège de Lunéville.
Professeur de philosophie à Chaumousey (1768-1769).
Sous prieur de Chaumousey (1769).
Prieur de Domèvre (1770).
Prieur de Chaumousey (1772).
Prieur de Toul (1773-1774).
Curé de Toul (1776).
Dernier Chanoine-curé de Loro et Montzey (1776-...). Est curé de Loro en 1790.
Jureur en 1791, « vir nullius ministerii » (Chatrian, BDN, MC 8).
Après 1791, commandant de la garde nationale.
Eloigné en 1802.
De retour à Loro en 1804 ; y est en thermidor an XI, et « y meurt philosophiquement » (Chatrian, BDN, MC 8).
VAUDECHAMP Joseph 1751
Saint Remi aux Bois
  1772
Pont-à-Mousson
  
VAUDOIS Blaise   1724
Belchamps
  1667 Adjuteur.
VAUTHIER ou VAUCHIER         Ancien de Toul qui entre dans la réforme puis redevient ancien. Désigné pour l’assaut de Toul (lettre à Guinet et Lemulier, 10 septembre 1627). Drouin p.224 en parlerait : il aurait accompagné dans la réforme les P. Hanus et Woirin ou Warin,.
Devenu Père en 1627 (lettre à Guinet et Lemulier du 17 septembre 1627).
« demande des gens pour aller promptement à Toul préparer les tonneaux. » (se charge de la vendange de St Léon) (lettre à Guinet et Lemulier du 17 septembre 1627).
« commence à décliner, et propose je ne sçais quelles conditions avec lesquelles il demande à demeurer parmy les nôtres, presque comme M. Dombrot, mais avec plus de charges (lettre à Guinet et Lemulier, 26 novembre 1627).
« quitta l’habit avant la profession » (notes des lettres).
« M.V. est depuis huit jours en ça devenu ancien tout à fait, et si Dieu ne nous aide il sera encore pire qu’ancien en notre endroit (...) » (lettre à Guinet et Lemulier, 3 décembre 1627).
« On a prié M. Vauchier de prendre pitié de nous, si bien que par douceur, prières et remontrances il s’est condescendu à demeurer en quelqu’autre abbaye de la congrégation, autre que Saint Léon, jusqu’à ce qu’il soit provu de quelque bénéfice, à condition qu’il sera bien nourry et entretenu, soulagé et secouru en ses infirmitez, sans être autrement obligé aux observances et statuts de la congrégation. On le mènera bientôt à Saint-Pierremont. Ses anciens compagnons nous l’avoient tout gâté. J’ay bien averty nos pauvres gens qu’il nous faut prémunir et fortifier contre luy du côté de Dieu à force de vertus, et du côté du peuple par le moyen des œuvres de miséricorde, de douceur et débonnaireté, de modestie, de bon exemple et de diligence à les servir promptement, à les consoler et secourir en leurs nécessitez » (lettre à Guinet et Lemulier, 10 décembre 1627).
« Jour après autre M. Vauchier, qui demandoit 550 francs de pension par an, ainsy que ses compagnons anciens, et étoit prêt de s’en adresser aux officiers du roy, si nous l’eussions répondu autrement qu’il ne falloit, par pitié qu’il prend de nous, est enfin content, du moins pour maintenant, de se tenir à Saint-Pierremont à la table de nos pères, sous certaines conditions qui nous sont plus tolérables que n’étoit cette pension-là. » (lettre à Petitjean, 27 décembre 1627).
Sort de la réforme en réclamant une pension. Installé à Saint-Pierremont en attendant un bénéfice. L’ancien prieur de Toul, Jallot, l’appuie dans ses réclamations (lettre à Guinet, 23 juin 1628).
Aurait quitté la congrégation, absent dans le ms 759.
VAUTIER ou VAULTIER Laurent 1704
Pagny-sur-Meuse
1780
Alors curé de Remicourt
1722
Pont-à-Mousson
1723
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Domèvre (1723-1724).
Etudie la théologie à Domèvre (1725-1726).
Fait sa 3e année de théologie à Saint-Pierremont (1727).
Professeur de théologie à Chaumousey (1738-1739).
Curé de Remicourt (1740-1780).
VAUTIER ou VAUTHIER Nicolas Châtel-sur-Moselle 1716
Dommartin
  1688 Rédige le « Livre coutumier de Verrès » (1701).
Sous-prieur de Domèvre (1710).
Prieur de Chaumousey (1713-1715).
Prieur de Dommartin (1715-1716).
VERCELLIN Jerosme Félix Piedmont Boisne   1650 Parent de l’évêque d’Aoste Mgr Vercellin.
Régent de 5e à Aoste (1652-1653).
Régent de 4e à Aoste (1654).
Première messe en 1655 à l’église du collège Saint-Bénin d’Aoste ; reçut un missel romain.
Régent de 3e à Aoste (1655-1656).
Régent d’humanités à Aoste (1657).
Régent de rhétorique à Aoste (1658, 1663-1665)
En Lorraine de 1658 à 1663.
Etudie la philosophie à Pont-à-Mousson à partir de 1658.
En Lorraine après 1665.
Régent de philosophie à Pont-à-Mousson (1671).
Professeur à Saint-Pierremont (1672).
Maître des novices à Beaufays (1673).
Maître des novices à Pont-à-Mousson (1674).
Prieur de Verdun (1674-1676).
Curé de Verdun.
VERLET Dominique Nancy 1732
Lunéville
  1674 ou 1675 A Pont-à-Mousson (1675-1677).
A Verrès avant 1679.
Enseigne à Aoste la 4e (1679).
Vicaire du Tholy (1692, 1696 et 1700).
En 1702, nommé par Massu pour quêter au profit du procès de béatification, « dans la province de Vosges et dans le val de St Dié » (MASSU, Mémoires, p.204).
Succède à Pierre Imbrouck à Vic-sur-Seille (1702-1705). Y remplace Nicolas Chauchard en attendant son institution.
Curé de Domèvre (1705)Sous-prieur de Domèvre (1705).
Prieur de Domèvre (1706).
Curé de Saint Boingt -Saint Rémi-aux-Bois (1707-1727).
VERLET François Joseph Einvaux 1767
Darnieulles
1724
Pont-à-Mousson
1725
Pont-à-Mousson
Procureur de Chaumousey (1738-1739).
Prieur de Chaumousey (1742-1748).
Sous prieur de Chaumousey (1748-1750).
Prieur de Chaumousey (1752-1757).
Sous prieur de Chaumousey (1757-1760), et procureur (1757-1758).
Curé de Darnieulles (1760-1767).
VERLET Jean Charles 1699
Lorraine, diocèse de Toul
1780
Einvaux
  1716
Pont-à-Mousson
Frère cadet de Sigisbert Verlet.
Neveu de Nicolas Verlet.
Curé de Lunéville (1734-1746).
Subit le mécontentement des Lunévillois suite à la destruction de l’ancienne église paroissiale Saint-Jacques en 1746 ; s’enfuit alors à Einvaux (Notice sur l’ancienne église Saint-Jacques).
Curé d’Einvaux (1746-1776). Subit des « tracasseries » de la part du prieur de Belchamps (Chatrian).
Etablit une école de filles à Einvaux.
Son portait est conservé au musée de Remiremont.
VERLET Nicolas 1651
Nancy
1726
Chaumousey
  1672 A Pont-à-Mousson (1672-1673).
Etudie la philosophie à Saint-Pierremont (Noël 1673-...).
Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1675-1677).
En Lorraine jusqu’en 1679.
Professeur à Aoste de rhétorique (1679), d’humanités (1680-1682) et de rhétorique (1683).
Prieur de Dommartin (1685-1687).
Prieur de Chaumousey (1688-1691).
Sous prieur de Chaumousey (1692).
Prieur de Belchamps (...-1696).
Procureur général (1695-1707).
Curé du Tholy (1698-1701).
Envoyé à Rome pour seconder Platel dans le procès de béatification de Pierre Fourier (1701-1707) ; remplacé par Piart.
Assistant (1707-1714).
Abbé de Chaumousey et général dans le même temps (1714-1726). Perd la maison de Verrès en 1719.
Selon Massu, avait une « habilleté dans les affaires, et une grande application dans le travail » (Mémoires, p.197).
VERLET Sigisbert   1733
Alors abbé de Lunéville
  1705 Frère aîné de Jean Charles Verlet.
Neveu de Nicolas Verlet.
Etudie la philosophie à Chaumousey (1706-1707).
A Saint-Pierremont (1707).
Enseigne à Aoste la théologie (1714-1717).
Curé de Lunéville (1721-1733).
Ouvre un collège à Lunéville en 1729.
Abbé de Lunéville (1729-1733) grâce à la faveur ducale.
VERRAZ ou VERRA François Saint-Oyen (Val d’Aoste) 1682
Verrès
  1653 Enseigne à Aoste la 6e (1664-1665) et la 4e (1663).
Econome à Aoste (1668-1669).
Curé de Saint-Marcel (Val d’Aoste, 1669-1682).
VERSEROT Joseph Gugney-aux-Aulx 1713
Verrès
  1700 Présent à Saint-Pierremont (1702).
A Domèvre (1703).
VEYNUM André 1713
Viershem, paroisse Saint-Michel, Alsace
  1733
Pont-à-Mousson
  
VIARD Louis 1739
Ligny
  1755
Pont-à-Mousson
  
VIART Antoine Bernard 1755
Bar-le-Duc
  1776
Pont-à-Mousson
1777
Autrey
A Strasbourg (1790).
VIART Claude 1715
Bar, paroisse Notre-Dame
1793 (12 octobre)
Mort à Metz, en détention
1733
Pont-à-Mousson
1734
Pont-à-Mousson
Enseigne à Aoste la 5e (1742), la 3e (1743), la rhétorique (1744), la philosophie (1745-1746).
Curé de Mance (Avant 1756-après 1790).
En 1763, inhume sa mère à Mance « dans l’ossuaire au pied de christ ».
Jureur sous la Révolution.
VIART ou VYART Michel Antoine 1720
Bar-le-Duc
1763
Bettainviller
1738
Pont-à-Mousson
1739
Pont-à-Mousson
Curé de Chaumousey (1756-1762).
A Chaumousey (1758).
Vicaire de Bettainvillers (1759-1763).
Curé de Chaumousey (1763).
VICHARD Jean Gerbéviller 1680
Saint-Mihiel
  1629 A fait sa philosophie en tant que séculier.
Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1632), mais la peste oblige les étudiants à quitter la ville.
Envoyé à Belchamps en 1632 en raison de la peste sévissant à Pont-à-Mousson.
Enseigne aux « latins » dans l’école de Lunéville (1634-...).
Prieur de Lunéville (1639-1641).
Prieur de Domèvre (vers 1646-1647).
Prieur de Belchamps (164. et 1648).
Prieur de Saint-Pierremont (1648-1653).
Assistant (1648-1679).
Supérieur de Saint-Mihiel (1656-1664).
VIGNON Nicolas François 1708 ou 1706
Eurfroid ou Ligny (ms 759), Barrois
1775
Alors curé de Naix-aux-Forges
1724
Pont-à-Mousson
1725
Pont-à-Mousson
En 1736 obtient des provisions pour Nantois, pour succéder à un prêtre séculier. L’évêque de Toul lui refuse. Se pourvoit à la métropole de Trêves, qui lui accorde en 1737.
Curé de Naix-aux-Forges (1742-1775).
VILLEMIN ou VUILLEMIN Jacques 1710
Sertigny ou Certigny
1759
Chaumousey
1730
Pont-à-Mousson
1731
Pont-à-Mousson
Enseigne à Aoste la 3e (1737), les humanités (1738), la rhétorique (1739), la philosophie (1740-1741), la théologie (1742-1748).
Directeur du séminaire d’Aoste (1746-1747).
Dernier supérieur du collège d’Aoste (1747-juin 1748).
Prieur de Viviers (1756).
Enseigne à Chaumousey la théologie (1757-1758).
VILLEMONT         Enseigne à Aoste la 6e (1710-1711).
VILLER Martin 1732
Bar-le-Duc
  1751
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1752.
VILLERMIN Joseph ou François 1754
Cirey, diocèse de Toul
1786 1774
Pont-à-Mousson
1775
Pont-à-Mousson
Enseigne à Nancy la 5e (1778-1780), la 4e (1781), la 3e, la philosophie, les mathématiques (1782, 1784-1786).
Sous principal de Nancy (1784-1786).
« où il s’est acquis le célèbre surnom de Croque-Poulets [...] c’étoit un sujet tout au plus médiocre, il falloit le journaliste Terrin pour le tirer de la juste obscurité où il devoit rester enseveli » Chatrian, BDN, MC 118, p.66).
VINCENT Claude Toul 1714
Conflans
  1687 Passe l’hiver 1701 à Paris avec le P. Fournier. Va enusuite en Flandre avec Jean Legagneur pour tenter d’y fonder une maison de Notre-Dame.
Prieur de Belchamps (1702-1704).
Prieur de Verdun (1705).
Curé de Verdun (1705).
Prieur-curé de Conflans (1709-1714).
VINCENT François Didier 1716
Toul, paroisse Saint Aignan
  1733
Pont-à-Mousson
1734
Pont-à-Mousson
Vicaire de Simon Toussaint à Vouxey (1746-1773).
A Chaumousey (1773-...).
VINCENT Simon Saint-Mihiel 1728
Remicourt
  1680 Curé de Remicourt (169.-1728).
VIOLAND Henri François 1753
Ollerville, diocèse de Toul, ou Bouzey
  1774
Pont-à-Mousson
1775
Pont-à-Mousson
Conventuel à Domèvre (avant 1785).
Apostat en 1785.
Rentré dans la congrégation ; à Domèvre en 1788, enseigne le latin à trois enfants du village.
A Domèvre (1790).
VIOT François 1709
Sancy
  1727
Pont-à-Mousson
  
VIOT Nicolas 1711
Sancy
1783 1727
Pont-à-Mousson
1728
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1728).
Curé de Raon-lès-Leau (1747-1749).
Curé de Bénaménil (1749-1757).
Aurait dévié dans une cure ; dut la quitter vers 1757 pour s’y être « dérangé ». Continue ses scandales dans la maison où il est placé. « Le coupable profita de cette inaction pour se procurer l’entrée chez d’autres chanoines réguliers : il proposa l’abbaÿe de Langles près Poitiers ». Le général accepte, mais les chanoines de Langles refusent lorsqu’ils en savent plus sur Viot. « Depuis ce tems il vit à Paris, ou dans les environs sans apparence d’habit religieux », y dit la messe sans permission de la congrégation. (Mémoire de 1768, AN, G/9/6).
En 1762, se serait « sécularisé du fait de son apostasie & vivoit à Paris » ; il aurait été trouvé vivant avec une courtisane. (Chatrian, BDN, MC 21, p.102).
VIOT Nicolas Sancy, Lorraine 1766
Chaumousey
1720
Pont-à-Mousson
1721
Pont-à-Mousson
Prieur de Dommartin (1735-avant 1741.
A Chaumousey (1765-1766).
VIRION Claude ou Christophe Pierrefite 1636
Verdun
  1er octobre 1630 (Drouin p.234) A Belchamps, Petitjean propose de « les envoyer à Verdun pour étudier au collège et servir en la maison autant que leurs leçons le pourroient permettre. », avec Roussel (lettre à Guinet, 15 octobre 1627).
VIRION Joseph Monzey 1747
Dommartin
1718
Pont-à-Mousson
1719
Pont-à-Mousson
Vicaire du Tholy (1729).
Arrive à Chaumousey en 1744, mais renvoyé à Dommartin en raison de sa santé.
Prieur de Dommartin (1747).
VIRIOT Désiré ou Didier Badrecourt Après 1669 (Drouin). En 1690 (ms 759)   1er octobre 1630 (Drouin p.234) Passe de Belchamps à Saint-Pierremont pour se réfugier (1635).
Se réfugie à Thionville (1635).
En 1669, curé de Brémoncourt proche Belchamps (Drouin p.234).
VIRY Charles 1732
Sainte Hélène
    1753
Pont-à-Mousson
Renvoyé avant sa profession.
VITH François Antoine 1760
Sélestat
  1780
Autrey
  
VIVET Nicolas   1765
Alors supérieur de Dommartin-lès-Ville-sur-Illon
    Etudie la philosophie à Domèvre (1708-1710).
Enseigne à Aoste la rhétorique (1717), la philosophie (1718-1719), la théologie (1721-1722).
Directeur du séminaire d’Aoste (1721-1728).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1738-1744).
Supérieur de Saint-Mihiel (1750).
Sous prieur de Chaumousey (1751).
Professeur de théologie à Chaumousey (1751 et 1759-1760).
Prieur de Dommartin (1753-1765).
VOGIEN Nicolas 1744
Alors curé de Vaxoncourt
    1715 Vicaire de Joseph Richard pendant 17 ans à Vaxoncourt.
Curé de Vaxoncourt (1738-1744).
VOIAR ou VOIART Claude 1653
Tendon (Vosges)
1687 (25 mai)
A Aoste, d’une maladie de 3 semaines, « fort résigné à cette disposition de la Providence ». Annales de Saint-Bénin, p.60.
1684 ou 1685 1686 Adjuteur.
Arrive en décembre 1686 à Aoste.
VOINOT Jean Baptiste 1756
Blâmont
1818
Cirey-sur-Vezouze
1776 et 1777
Autrey
1778
Autrey
Enseigne à Nancy la 6e (1784).
Conventuel et croquemort à Lunéville (...-1787).
Vicaire à Thiébauménil (1787-1790).
Curé de Frémonville (germinal an XI).
Curé de Cirey-sur-Vezouze (1807-...).
VOIRIN Jean Nicolas 1734
Granges, diocèse de Toul
1784
Chaumousey
1755
Pont-à-Mousson
1756
Pont-à-Mousson
Vicaire du Tholy (1764 et 1774).
A Pont-à-Mousson (1768).
Curé de Lunéville (1778-1782).
Prieur de Dommartin (1779).
A Chaumousey (1783-1784).
VOISON Sébastien Barthélemy 1761
Bernecourt, diocèse de Toul
  1783
Autrey
  
VOLBERT Richard Antoine 1757
Kastenholter, diocèse de Strasbourg
  1779
Autrey
  
VOLBERT ou WOLBERT Xavier Balthazar 1762
Chatenois, diocèse de Strasbourg
  1683
Autrey
  
VOTELET ou VAUTELET Nicolas Vic août 1689
Fort-Louis-du-Rhin
  1676 A Pont-à-Mousson (1676).
Etudie la philosophie à Belchamps (1676-...).
Sous prieur à Chaumousey (1686).
Curé de Chaumousey (1686).
Envoyé à Strasbourg pour former la première communauté (décembre 1687).
A Fort-Louis (mai 1689). Responsable d’une implantation éphémère à Fort-Louis-du-Rhin, susceptible de se transformer en implantation définitive. Apprécié du gouverneur de la place.
VOYARD François Toul 1766
Avril, ayant résigné sa cure.
  1703 A Saint-Pierremont (1707).
Professeur de philosophie à Domèvre (1712).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1721).
Curé d’Avril (1747-1762).
VOYONS ou VOYON Jean Louis 1719
Burthecourt, diocèse de Metz
1748
Toul
1739
Pont-à-Mousson
1740
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Chaumousey (1742-1744).
Enseigne à Aoste la 5e (1746), la 4e (1747), les humanités (1748).
VRARIN ou WARIN ou WOIRIN Nicolas Pierrefitte 1667
Alors curé de Neuville
  28 février 1630 (Drouin p.234) Ancien novice de Toul, fait profession avec Hanus.
Prêtre en 1632.
Prieur-curé de Neuville-Saint Hilaire (1636-1667). Lié à Barbe d’Ernecourt, la dame de Saint-Baslemont.
VUITARD Antoine 1635 1697
Champagne
    Administre la cure séculière de Loisi.
WEISS Jean Henri 1761
Seven, diocèse de Bâle (ou Kirchberg, Alsace)
  1781
Autrey
1782
Autrey
Préfet de salle à Metz (1790) ; quitte la maison en août.
Devenu prêtre constitutionnel en Alsace fin 1790.
WEISS Jean Michel 1755
Stulzheim, diocèse de Strasbourg
  1776
Autrey
1777
Autrey
Régent de 2e à Bouquenom (1787).
A Bouquenom (Sarre-Union, 1790).
WENZO Jean Michel 1765
Kaisersberg, diocèse de Bâle, Alsace
  1785
Autrey
  
WILHEM ou WILHELMS Jean Baptiste 1733
Strasbourg
Après 1774   1751
Pont-à-Mousson
Vicaire pour les Allemands à Strasbourg (1768).
Sous prieur à Strasbourg (1768, 1774).
Directeur de la confrérie du Saint-Sacrement de Strasbourg (1774).
WILLEMIN ou WILLERMIN François 1749
Vic
  1772
Pont-à-Mousson
1773
Pont-à-Mousson
Enseigne la philosophie à Chaumousey (1785-...).
Missionnaire rattaché à Domèvre (...-1788).
Directeur des bénédictines de Vergaville (1788-1790). Les conseille au moment de la Révolution. Sauve les reliques de Saint Eustase appartenantes à ces religieuses au moment des inventaires. Histoire de l’abbaye bénédictine de Saint-Eustase (966-1924), Nancy, société d’impressions typographiques, 1924, p.73, p.76, et p.159. Les reliques sont ensuite confiées à Blampain.
Curé de Vergaville en 1790.
YVARIN Jean Nicolas Donseurin 1745
Saint-Mihiel
  1700 
YVON Claude 1728
Ligny
1812 1745
Pont-à-Mousson
1746
Pont-à-Mousson
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1764-1765).
Prieur de Toul (1768-1769).
Promoteur du tribunal de première instance (1772-après 1778).
Curé de Boulaincourt (1771-1791).
Jureur sous la Révolution.
ZIMERMAN Jean Baptiste 1759
Saint Avold
  1778
Autrey
1779
Autrey
Etudie la théologie à Chaumousey (1783).
Demande à sortir de Pont-à-Mousson le 10 mai 1790.
Préfet des cadets-gentilhommes à Pont-à-Mousson (1790) ; sert depuis 5 ans.
ZUIBEL ou ZWIBEL François Joseph 1738
Rouffac, Alsace, diocèse de Bâle
  1756
Pont-à-Mousson
1757
Pont-à-Mousson
Professeur de théologie à Belchamps (1768).
A Metz (1775).
Professeur surnuméraire à Pont-à-Mousson (1785-1788).
Curé d’Igney (1789-1791).
Evincé de sa cure d’Igney pour refus de serment ; émigré.


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