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1400 chanoines réguliers de Notre-Sauveur (1623-1789) (5/6)
 

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Introduction
 
A -C D - F G - K L - O T - Z
Nom Naissance Décès Prise d’Habit Profession  
LA COUR Nicolas Rosières 1704
Pont-à-Mousson
  1704 
LA COUR ou CHARVET Christophe 1739
Etain
  1757
Pont-à-Mousson
1758
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Chaumousey (1761).
Régent de rhétorique à Toul (1768).
A Metz (1770).
Curé de Trieux (1782-1791).
Jure sous conditions durant la Révolution. Soutenu par ses paroissiens.
LA GIGUE François Sauls 1695
Toul
  1694 
LA VALLEE Claude Nancy 1685
Verdun
  1632 
LACRETELLE Louis 1751
Pont-à-Mousson
1827
Saulxures-sur-Moselotte, dont il était curé.
1767
Pont-à-Mousson
1768 A Metz (1775).
Prieur claustral d’Hérival (1788-1790).
Curé du Val d’Ajol (1790-1797).
Membre de l’église constitutionnelle sous la Révolution.
Curé de Saulxures-sur-Moselotte (...-1827).
LACROIX Blaise Roisan       Sous diacre le 4 mars 1719.
Présent à Verrès en 1719-1720 ; refuse alors le prévôt commendataire Paul François de Challant (16 octobre 1719) puis l’accepte (17 octobre).
LAFOURNIERE Alexis   1764
Chaumousey
    Etudie la philosophie à Domèvre (1708-1710).
Vicaire de Chanteheux (1714).
Vicaire de Bettainvillers (1738-...).
A Viviers (...-1762).
A Chaumousey (1762-1764).
LAGNIER François 1748
Lecy ou Scey sur le fleuve Arar
  1763 et 1766
Pont-à-Mousson
  
LAGUERRE Pierre Louis 1712
Mirecourt
  1730
Pont-à-Mousson
  
LALIRE Pierre 1732
Trieux
  1758
Pont-à-Mousson
1759
Pont-à-Mousson
Adjuteur à Domèvre en 1768.
Adjuteur à Autey en 1790.
A Sainte-Hélène (1791).
LALLEMAND André 1623
Marville, diocèse de Trêves
1673
Ruremonde.. Enterré à la cathédrale, devant l’autel du saint-sacrement.
  1643 « un homme de mérite et de probité » selon Massu, cité par d’Hangest, BM Nancy, ms 515(367), p.72.
Simple clerc en 1643. En Lorraine avant 1643.
Régent de 6e à Aoste (Noël 1643-1647).
Régent de 5e à Aoste (1648).
Régent de 4e à Aoste (1649).
Régent de 5e à Aoste (1650).
Régent de 4e à Aoste (1651).
Régent de 3e à Aoste (1652)A Chaumousey (1653-1655).
Prieur d’Autrey (1656-1673).
Décède à Ruremonde, alors qu’il accompagnait Philippe George dans les monastères de Notre-Dame pour préparer le procès de béatification.
LALLEMAND Jean Nicolas 1735
Lixheim, diocèse de Metz
1762
Lunéville
1755
Pont-à-Mousson
1756
Pont-à-Mousson
Vicaire de Chanteheux (1760-1762).
LALLEMAND Louis Nicolas 1707
Marchéville-en Woëvre, près de Fresnes-en-Woëvre
1795
Damelevières
1726
Pont-à-Mousson
1727
Pont-à-Mousson
Prieur de Belchamps (1746-1748).
A Belchamps (1790).
Etudie la théologie à Domèvre (1731).
Curé de Méhoncourt (1745-1779).
Résigne sa cure. Jureur sous la Révolution.
LALLEMAND Louis Robert 1742
Stenay
  1758
Pont-à-Mousson
1759
Pont-à-Mousson
 
LALLEMAND Sébastien 1741
Toul
[1815]
[Toul]
1759
Pont-à-Mousson
1760 Régent de 3e et de 4e à Toul (1768).
Curé de la paroisse St Aignan à Toul (1790).
[Aurait été curé de la cathédrale de Toul après la Révolution].
LALLEMANT Jean Nicolas 1752
Dieuze
  1774
Pont-à-Mousson
  
LALLIET ou LAILLET ou LALLEYETE ou LALLIETE Joseph 1756
Jesincourt, Franche Comté
1844.
Pont-à-Mousson
1776
Autrey
1777
Autrey
Prêtre à Saint-Dié en 1781.
Professeur de mathématiques à Pont-à-Mousson (1782-1790).
Selon Bony de la Vergne, enseigna avec talent à Pont-à-Mousson : « Ils étaient instruits par un chanoine régulier du nom de Lalliete, professeur célèbre qui existe encore. Il s’attachait si parfaitement à ses élèves qu’il n’y avait pas moyen de manquer le but. Quand il rencontrait de l’intelligence, il fallait réussir. Ce digne professeur, après 28 ans d’absence, sans aucune communication, me reconnut sur-le-champ, quoiqu’accompagné d’un ami et camarade de mon âge, en me disant : Si vous n’êtes pas M. de B., je ne sais qui vous êtes ».
Selon Eugène Ory, « Il était rare que le P. Lalliet ne parût pas à la dernière récréation et qu’il ne fit pas, en compagnie de ses meilleurs élèves, sa promenade du soir sous les acacias plantés au fond de la grande cour, près de la salle d’honneur ».
Duroc, qui fut son élève, le remercie dans une lettre des « soins que vous ne vous trouvez plus en état de continuer. Personne plus que moi n’est reconnaissant de tous ceux que vous m’avez prodigués et personne ne désire plus faire quelque chose qui vous soit utile » (Cité par Eugène Ory).
Accepte le serment civique sous la Révolution.
Demande à sortir de Pont-à-Mousson le 10 mai 1790.
En 1802, professeur à l’école secondaire de Pont-à-Mousson.
En 1808, professeur au collège communal de Pont-à-Mousson.
Prend sa retraite en 1817 ; s’était fait octroyer un logement et un petit jardin à l’entrée de l’ancienne université de Pont-à-Mousson où il termina ses jours en 1844.
En 1833 ses anciens élèves obtiennent pour lui la croix de chevalier de la légion d’honneur. [[Le dossier de la légion d’honneur indique le titre de chevalier du 27 avril 1833, écerné à Joseph LAILLIET, « ancien professeur de mathématiques au Collège de Pont-à-Mousson, y résidant ». Fils de laboureur, il est né le 15 octobre 1756 à Gésincourt et décédé le 14 avril 1844.]].
LALONGÉ Nicolas 1693
Nancy
1766
Domèvre
  1707 Etudie la philosophie à Chaumousey (1708-1709).
Etudie la théologie à Chaumousey (1710).
A Chaumousey (1713-1715).
A Autrey (avant 1721-1723).
A Domèvre (1723-1727 et 1729-1732).
Donne des cours de grammaire à des jeunes séculiers de Domèvre (1723-1726).
Depuis 1721 à Autrey, et de 1723 à 1726 à Domèvre, « avoit seu [...] se déguiser de manière qu’il paroissoit faire son devoir ».
En pénitence en 1727 à Domèvre, « qu’il avoit méritée pour les fautes commises de compagnie avec le M. Nicolas Lalongé [...] convaincus l’un et l’autre de sorties nocturnes pour aller dans les cabarets du village boire et passer une parties des nuits avec des filles, qu’ils étoient en commerce de lettres avec les mêmes, et fréquemment, et qu’ils auriont violez leur vœu de pauvreté, et étoient aux moins suspects de commerce d’impudicité ». Condamné par le général « comme incorrigible, à être enfermé en prison au pain et à l’eau durant six mois, et ensuite expulsé de la congrégation, mais aiant eu avis de cette sentence qui devoit lui être signifiée le lendemain, il prit le parti de s’évader de prison la nuit suivante, arracha les barres de la fenêtre de sa prison, et vers une heure après minuit en descendit par un liceuil, et s’enfuit. De quoi il se dressa un procès verbal le lendemain, détaillant les circonstances de son évasion, et lon ne laissa pas d’aller à sa prison pour lui signifier sa sentence dont on attacha copie à la porte » (AD MM, H 1386).
« Fort dérangé dès les premières années de son noviciat, et avoit été sentencié quatre fois en diverses maisons pour des sorties nocturne, des impuretez, ou familiarités et commerce de lettres avec des filles, par des propriétés, et des évasions de prisons ».
Obtient un bref de Rome (de la pénitencerie) le renvoyant à Domèvre où il fut enfermé en prison six mois (1729).
A Chaumousey (1746-1756).
LAMBERT Louis 1718
Briey
  1736
Pont-à-Mousson
1737
Pont-à-Mousson
Enseigne à Aoste la 6e (1744), la 5e (1745), la 3e (1746), les humanités (1747).
Prieur claustral d’Hérival (1762-1765).
Sous-prieur à Chaumousey (1766-1768 ; 1773).
A Belchamps (1790).
LAMBERT Nicolas 1720 ou 1731
Ligny
1802
Retiré à Bar-le-Duc, où il a été professeur de mathématiques au collège
1747
Pont-à-Mousson
1748
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1756.
Curé de Brillon (1759-1793).
En 1772, implore le chapitre général pour obtenir une aide financière en raison « des dépenses qu’il a été obligé de faire afin de se maintenir dans son bénéfice dont les revenus sont trop modiques pour pouvoir satisfaire aux susdittes dépenses » (AD M&M, H 1501).
Reste par accomodement après un procès.
Jureur en 1791.
« Connu pour son attachement aux dogmes philosophiques modernes tant politiques que religieux » (Chatrian, BDN, MC 8).
LAMBOTTE François         Adjuteur à Chaumousey (1711-1715).
Adjuteur à Domèvre (1726-1732).
Adjuteur à Chaumousey (1745).
LAMOTTE Nicolas François Etain, diocèse de Verdun   1741
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1741.
LAMOUREUX Charles 1755
Nancy
1822
Bicqueley
1781
Autrey
1782
Autrey
Régent de 5e et 6e à Lunéville (...-1787).
Préfet de salle à Metz (1787-...).
A Autrey (1790).
Se présente le 24 mars 1790 à la municipalité de Rambervillers pour déclarer qu’il « est prêt à quitter le cloître, et à profiter de la liberté qui lui est offerte par le décret de l’Assemblée Nationale ». (Chatrian, BDN, MC 21, p.166).
A Lupcourt.
A Létricourt (mai 1809).
A Lanfroicourt (novembre 1811).
Eply (juin 1812).
Bicqueley (avril 1821).
LAMY Jean Verdun Clairet   1649 En 1667, prétendant au prieuré de Fleurey. Condamné en 1668 et 1669. Les chanoines réguliers le soutiennent et saisissent le parlement de Metz qui leur donnent raison en 1672. Alors Jean Lamy vient périodiquement chercher des dîmes à Fleurey et rentre en Lorraine sans être inquiété. Décrit comme menaçant et brutal. Arrêté en juin 1673 par le baillage de Vesoul et détenu à la conciergerie de Besançon ; s’en évade le 30 septembre et rentre en Lorraine.
Administre la cure séculière de Clairet.
LAMY Jean Verdun 1665   1659 
LANCELOT Charles Epinal 1709
Saint-Marcel (Val d’Aoste)
  1697 Prêtre le 10 juin 1702.
LANDRY Jean ou Jacques 1750
Moyeuvre-Grande
1829 1767
Pont-à-Mousson
1768 A Metz (1775).
Franc-maçon à Epinal (Loge La parfaite union, 1786 ; 1789).
Professeur de philosophie à Epinal et à Metz.
Prêta le serment constitutionnel sous la Révolution.
Prieur claustral d’Hérival (1786-1788).
Curé de Fougerolles (1788-1791).
LANGIER ou LAUGIER Jean Baptiste 1761
Ligny
  1781
Autrey
  
LANTY J. F.   1760
Noyé dans l’Ornain
    Curé de Bicqueley (1721-1730).
Curé de Menaucourt (1730-1760).
LAPERRIER Antoine Gerbéviller   1719
Pont-à-Mousson
  
LAPIE Sébastien 1735
Sarrelouis
    1756
Pont-à-Mousson
A Hérival (1768).
Directeur des religieuses de Lunéville (1786-1787).
Curé de Chaumousey (1781).
Envoyé « en pénitence » à Autrey (1788-1790) selon Chatrian, BDN, MC 120, p.263.
A Saint-Dié (septembre 1791).
Vicaire de Sébille à Bruyères (1792-1793).
LAPREVOTE Isidore 1768
Briançon
    1789 Régent de 6e et 7e à Epinal (1790).
Au Tholy (1791).
Prêtre pensionné à Epinal (1792).
LARCHER Claude Cœur 1727
Saint-Pierremont
  1673 A Pont-à-Mousson (1673).
A Saint-Maurice (...-1675).
A Verdun (1676).
Procureur à Saint-Pierremont (1683-1684).
Gravement blessé par un boulet de canon en 1683. Resté sans emploi dans la congrégation depuis lors.
LARDENOIS Jean Maximilien Sedan   1719
Pont-à-Mousson
  
LAURENT Charles 1657
Verdun
1730
Domèvre, où il s’était retiré volontairement en raison de ses infirmités, « agé de 73 ans, après avoir reçu les sacrements avec édification » (AD MM, H 1386).
  1677 Vicaire de Moncel (1705-1730).
LAURENT Christophe 1721
Marsal
  1742
Pont-à-Mousson
  
LAURENT Claude         Curé de Pierrefitte (1696-1713).
LAURENT François Alexis La Rochotte 1740
Boulaincourt
  1703 A Saint-Pierremont (1707).
Enseigne à Aoste la 6e (1709).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1715-1717).
Prieur de Pont-à-Mousson (1716-1717).
Présent à Toul en 1720.
Curé de Boulaincourt (1720-1740).
Son ex-libris figure sur une Concordance biblique de 1726 : « Ex libris Alexii Francisci Laurent prioris curati Bullincuriens canoniae S. Leonis Tullensis an. 1734 ».
LAURENT Jean 1702
Hannonville-sous-les-Côtes
1773
Alors prieur de Dommartin-lès-Ville-sur-Illon
1721
Pont-à-Mousson
1722 Enseigne à Aoste les humanités (1730), la rhétorique (1731-1732), la philosophie (1733), la théologie (1734).
Directeur du séminaire d’Aoste (1734).
En Lorraine après 1734.
Sous-prieur de Chaumousey (1738).
Professeur de théologie à Chaumousey (1738-1739).
Prieur de Chaumousey (1739-1741).
Prieur de Lunéville (?).
Prieur d’Autrey (1752).
Dit « le Grand Prieur » à Autrey Assistant du général (1753-1756).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1754).
Prieur de Pont-à-Mousson (1755).
Assistant du général (1759-1762).
Prieur d’Autrey (1768-1769). Y soutient un long procès contre l’évêque de Metz.
Longtemps député des réguliers au bureau du clergé lorrain de Nancy.
Prieur de Dommartin (1769, 1773).
« Fort régulier, zélateur de la discipline et versé dans les affaires de la chicane du palais » (Chatrian, Journal Eccles. Toulois, 1773).
LAURENT Louis ou Charles Etienne Victor 1752
Toul
Après 1809 1767
Pont-à-Mousson
1768
Pont-à-Mousson
Enseigne à Nancy la 4e (1778-1780) et la 2e (1781-1782).
Sous principal à Epinal (1786).
Enseigne la rhétorique à Epinal (1786-1788).
A Strasbourg (1790).
Professeur après la Révolution à Toul.
Auteur d’une « Oraison funèbre de M.Pierre Marie, baron de Biqueley... prononcé le 11 juillet 1809, en l’église... de Toul », Toul, Joseph Carez, 1809.
LAVAL Charles 1746
Linay
Après 1785 1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Curé de Domèvre (1782-1786).
Conventuel à Hérival (1786-...).
A Toul (1790).
LAVAL Jean Nicolas 1752
Vic
1833 1774
Pont-à-Mousson
1775
Pont-à-Mousson
Fils de Nicolas Laval, maître boulanger.
Etudie à Saint-Pierremont puis à Chaumousey.
Prêtre en 1778, à Saint Dié.
Professeur à Epinal (1778-1784).
Réputé pour sa bonté.
Chargé de prêcher des missions (1784-1791).
Curé du Tholy (1789-1822).
Au Tholy, bien que dépendant de Chaumousey (1789-1790).
Constitutionnel sous la Révolution, puis démissionna de manière éphémère (juillet 1794).
En juin 1795, reprend le culte au Tholy. Remit en état l’église après la Révolution.
LAVIGNON Jean Verdun 1698
Moyenmoutier
  1679 Sous prieur et procureur de Domèvre (1692-1693).
Prieur de Domèvre (1695-1698).
Mort « estant allé à Moienmoutier pour consulter le sieur abbé fort expert en médecine, sur la maladie [du frère] Joseph Humbert [lequel mourut la même nuit], fut treuvé mort dans le lict où il s’estoit couché et son corps estant ramené à Domèvre fut inhumé dans l’église de l’abbaye le 19 février 1698 » (ADMM H 1386)
LAVIOLLE Jean Baptiste Nicolas 1733
Pont-à-Mousson
  1751
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1752.
LAZOWSKI François 1748
Lunéville
  1768 et 1769
Pont-à-Mousson
  
LE BEGUE Charles Antoine     1683   Fils d’un médecin d’Epinal. Clerc du diocèse de Toul, maitre ès arts, chanoine de la collégiale St Goeury d’Epinal, étudiant en théologie à la Sorbonne.
Prise d’habit ad effectum possidendi pour obtenir le prieuré de Fleurey. Y renonce contre une pension des jésuites de Vesoul (1685).
LE BEGUE François Saint-Mihiel 1678
Aoste, d’une maladie ayant duré neuf mois.
  1672 « Bon et véritable religieux » et « un bon talent pour la prédication » (Annales de Saint Bénin, p. 57).
A Pont-à-Mousson (1673).
Etudie la philosophie à Saint-Pierremont (Noël 1673-...).
Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1675-1676).
En Lorraine jusqu’en 1677.
Enseigne à Aoste les humanités (1677).
LE BEGUE François Ignace       Vers 1707 Etudie la philosophie à Chaumousey (1708-1709).
Etudie la théologie à Chaumousey (1710).
Prêtre le 10 juin 1713.
Enseigne à Aoste la 3e (1713), les humanités (1714), la rhétorique (1715), la philosophie (1716-1717), la théologie (1718)Prieur de Lunéville (1726).
Supérieur du collège d’Aoste (1726-1729).
Econome du collège d’Aoste (1727-1728).
Prieur de Domèvre (1729-1730).
Supérieur de Saint-Mihiel (1730).
Prieur d’Autrey (1735).
LE BEGUE Henri Charles Bruxelles 1688
Domèvre
  1657 Abbé de Domèvre (1667-1688). Fait reconstruire l’abbaye.
LE BEGUE Joseph Saint-Mihiel   1718
Pont-à-Mousson
  Serait sorti avant sa profession.
LE BEL ou LEBEL Léopold 1711
Nancy
1778
Nancy, chez son frère où il se soignait
1728
Pont-à-Mousson
1729
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1730).
Prieur de Metz (1750-1757).
Membre de l’Académie de Metz à sa fondation (1757-1760).
Curé de Sornéville (1758-1778).
LE BLANC Charles 1718
Varennes
1779
Alors curé de Boncourt
1736
Pont-à-Mousson
1737
Pont-à-Mousson
Enseigne à Aoste la théologie (1747).
Directeur du séminaire d’Aoste (1747-1748).
Enseigne à Chaumousey la théologie (1749-1750).
Prieur de Pont-à-Mousson (1756-1757).
Curé de Verdun (1758).
Prieur de Verdun (1757-1759).
Curé de Boncourt (1759-1779).
LE BRUN Gérard Saint-Mihiel 1726
Belchamps
  1691 Etudie la théologie à Domèvre (1693-1694).
Curé de Domèvre (1701-1705).
Professeur de philosophie à Domèvre (1702-1703).
Sous-prieur de Domèvre (1702-1705).
Supérieur du collège d’Aoste (1705-1707).
Prieur de Saint-Pierremont (1710-1714).
Prieur de Verdun (1714-1715).
Curé de Verdun (1715-1717).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1718-1720).
Prieur de Pont-à-Mousson (1718-1721).
Prieur de Domèvre (1722).
Sous-prieur de Domèvre (1723), l’abbé Piart étant devenu prieur.
Prieur de Belchamps (1724).
LE CLERC Damien Blâmont 1665
Saint-Pierremont
  1633 Etudie la philosophie à Pont-à-Mousson (1632-...).
Prieur de Domèvre (1656).
LE CLERC Dominique Himon 1703
Chaumousey, le 12 octobre
  1654 Curé de Chaumousey (1683).
Présent à Domèvre (1696-1697).
A Chaumousey (1700-1703).
LE CLERC Sébastien Châtillon-sur-Seine 1653
Toul
  1631 Prieur de Verdun (1637-1639).
Prieur de Toul (1648-1653).
LE CLERE ou LECLERC Joseph Sébastien 1749
Lunéville
Après 1792 1766
Pont-à-Mousson
1767
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1768-1769).
A Metz (1770, et 1775).
Préfet de salle à Metz (...-1787).
Curé de la paroisse Saint-Simon et Saint-Jude de Metz (1787-1790); reste dans le presbytère jusqu’en 1792.
LE COMTE Nicolas 1716
Ligny
1780
Plombières
  1737 Prieur commendataire d’Hérival (1761-1780) et prieur claustral (...-1780).
LE DUC Martin Liège 1710
Chaumousey
  1697 Prieur de Chaumousey (1708-1710).
LE GAY ou LE GUAY Sébastien Château-Salins 1738
Trieux
  1694 Enseigne à Chaumousey la philosophie (1701-1702).
Curé de Chaumousey (1702).
Enseigne à Saint-Pierremont la théologie (1702 et 1707).
Enseigne à Aoste la théologie (1708).
Prieur de Verdun (1708-1713).
Curé de Verdun (1708-1714).
Curé de Trieux (1714-1738).
LE GRAS Théodore Verdun     1696 Etudie la Philosophie à Domèvre (1698).
Enseigne à Aoste la 6e (1702), la 5e (1703).
Prêtre le 7 avril 1703.
Curé de Chaumousey (1706-1707).
LE GUAY ou LEGAY Nicolas 1767       A Saint-Pierremont (1790), en sort en février 1791.
Veut aller à Verdun, s'établit le 1er mars 1791 au collège de Pont-à-Mousson.
LE MAIRE François Pont-à-Mousson     1701 Etudie la philosophie à Chaumousey (1701-1702).
Etudie la théologie à Chaumousey (1704-1705).
Prêtre le 26 ou le 27 février 1706.
Sacriste de Verrès (16 août 1707-août 1710).
LE MASSON François         « Les Révérends Pères Lemulier et Antoine viennent tout à l’heure d’entendre l’histoire de la disgrâce de François le Masson, et de sa propre bouche, et jugé sur icelle qu’il ne doit être reçu en notre congrégation. [Le P. Guinet] se portoit déjà dernièrement de ce côté-là, et raisonnablement. C’est pourquoy nous luy avons tous trois ensemble conseillé de se retirer et nous tenir toujours en bons amis. Il va à Lunéville vous dire adieu et prier qu’il vous plaise luy donner un mot de témoignage par lequel il conste que durant tout le peu de tems qu’il a été audit Lunéville, il n’y a commis acte digne de reproche qui soit venu à votre connoissance » (lettre à Guinet, 1er mai 1627.
N’a pas persévéré dans la congrégation. Absent des listes du ms 759.
LE MERCIER François Dainviller 1746
Saint-Pierremont
  1694 
LE MOINE ou LEMOYNE Christophe 1700
Ville-sur-Cousance
  1725
Pont-à-Mousson
  Curé de Vittonville (1730-1787), cure obtenue contre Sébastien Cherrier.
LE MOINE ou LEMOYNE Jacques Ansi le Château en Picardie, ou Longwy (ms 759) 1766
Oncourt
1727
Pont-à-Mousson
1728
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1728).
Curé de Domèvre (1745-1746).
Curé d’Oncourt (1761-1766).
LE MOLEUR Nicolas Mozeville 1711
Feves
  1681 
LE NOIR François 1727
Pont-à-Mousson
1769
Strasbourg
1746
Pont-à-Mousson
1747
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1747-1748).
Etudie la théologie à Chaumousey (1749-1751).
Vicaire à Strasbourg (1768).
LEBARBIER Roch Sébastien Vic Domèvre   1652 Prieur de Domèvre (vers 1660).
LECLERC Jean François 1743
Moyenvic
  1762
Pont-à-Mousson
  
LECLERC Jean Jacques 1750
Metz
  1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Clerc.
LECOQ Nicolas Metz   1716
Pont-à-Mousson
  Fils de Jean Baptiste Lecoq, procureur.
Serait sorti avant sa profession.
LEFEBVRE Jean Joseph Marange-Silvange, près de Metz 1751
Alors curé de Dannevoux
1716
Pont-à-Mousson
1717
Pont-à-Mousson
Fils de Nicolas Lefebvre, admodiateur.
Etudie la philosophie à Domèvre (1718-1720).
Etudie la théologie à Domèvre (1722).
A Lunéville (1723-...).
Prieur de Verdun (1735-1736).
Curé de Verdun (1735-1738).
Curé de Dannevoux (1743-1751).
LEFEBVRE Nicolas 1768
Creux, près de Verdun
Après 1791   1788 A Saint-Pierremont (1790), en sort en février 1791.
Va à Saint-Mihiel après 1791.
LEGAGNEUR Jean Rouvrois-sur-Meuse 1714
Lunéville, en odeur de sainteté, au cours d’une visite
  1669 Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1674-1676).
Prieur d’Autrey (1680-1685).
Procureur général (1685-1691).
Prieur de Saint-Pierremont (1690).
Assistant (1691-1707).
Maître des novices à Pont-à-Mousson (1692-...).
Prieur de Toul (1697-1699).
Abbé de Chaumousey (1699-1714).
Prieur de Chaumousey (1701-1706).
Accompagne Massu à Paris pour voir le roi de France (1701), puis va en Flandres avec le P. Vincent pour tenter d’y fonder un couvent de Notre-Dame.
Général (1707-1714).
LEGENDRE Jean François 1752
Tucquenieux
  1776
Autrey
1777
Autrey
2e régent à Dommartin (1779).
Vicaire du P. Pierre à Saint Boingt à partir de 1785. Est toujours en place à la Révolution ; devient alors curé de Saint Boingt (avant 1790).
Critiqué par ses paroissiens et un confrère pour avoir pris l’habitude de manger chez une veuve à Saint Boingt (BDN, MC 120, p.336).
Jureur sous la Révolution.
LEJEUNE François   1747
Alors curé de Marainviller
  Vers 1705 Etudie la philosophie à Chaumousey (1706-1707).
Professeur de philosophie à Domèvre (1715-1717).
Sous prieur de Domèvre (1717).
Curé de Barbas (1717).
Curé de Marainviller-Thiébauménil (1735-1747).
LEMAIRE Jean François Mirecourt 1709
Dommartin
  1649 A Chaumousey (1654-...).
Prieur de Chaumousey (1661 et 1665-1671).
Prétend avoir les provisions nécessaires pour obtenir le prieuré de Fleurey (1671).
Curé de Salmagne (1701-1703).
Prieur de Dommartin (1709).
LEMANS Charles         Etudie la théologie à Chaumousey (1738-1739).
LEMARQUIS Jacques         Curé de Frémonville (1695-1715) ?
Prieur de Domèvre (1739) ?.
LEMARQUIS Jacques   1750 ?   1714 Etudie la philosophie à Domèvre (1715-1717).
En conflit avec le chapitre de Belchamps au sujet de ses revenus de Méhoncourt. Résigne sa cure.
A Pont-à-Mousson (1714).
A Chaumousey (1715).
A Autrey (1715).
A Domèvre (1715-...).
Curé de Méhoncourt (1731-1745) ?.
LEMARQUIS Nicolas Sancy proche Saint-Pierremont       Etudie la philosophie à Domèvre (1712-1713).
A Saint-Pierremont, sans doute pour poursuivre ses études (1714-...).
Enseigne à Aoste la 5e (1718), la 3e (1719), la rhétorique (1720-1721), la 5e (1722), la philosophie (1723-1724), la théologie (1727-1730).
Directeur de confrérie d’Aoste en 1730.
En Lorraine après 1730.
LEMULIER Guy Semur 1642
Pont-à-Mousson
  ?; puis 15 décembre 1624 (O.28 ; n10) Vient d’une grande famille ; profès dans sa ville ; diacre le 28 septembre 1621 par l’Evêque de Chalon-sur-Saône ; chanoine régulier de Sémur ; prêtre le 19 février 1622 à Paris. Etudie à la Sorbonne lorsqu’il rencontre M. de Maillane et se rallie à la réforme lorraine (1623 selon Drouin p.212).
Abbaye de Semur dépendante de St Maurice Agaunois ; puis Lunéville.
« Il prêche maintenant tous les dimanches en l’église d’icy et est continuellement occupé ès confessionnaux, où il fait un profit admirable ; vous (les sœurs de Metz) l’en pourrez congratuler (...) » (lettre de Fourier du 23 octobre 1624).
« nous respectons par deçà comme (saint) » « personnage très docte et de très bonne édification, et qui se dispose à faire profession dans peu de tems en ce monastère de Lunéville, où il s’est exercé en toute sorte d’œuvres de piété sortables à sa vocation par l’espace de dix ou onze mois. Il prêche maintenant tous les dimanches en l’église d’icy et est continuellement occupé ès confessionnaux, où il fait un profit admirable ; vous (les sœurs de Metz) l’en pourrez congratuler (...) (lettre de Fourier du 23 octobre 1624).
25 décembre 1624 obtient de l’official et vicaire général de Toul « permission d’absoudre des cas qui lui (l’official) sont réservés ». (lettre du 25 décembre 1624 à l’official de Toul.).
Plusieurs fois messager de Fourier. Prieur claustral, prend possession de Saint-Pierremont (3 février 1625 : Drouin p.207, 212, 213, 218) (lettre à Guinet du 20 novembre 1625).
« Grands et admirables » (lettre à Saint-Pierremont, 9 septembre 1625).
Pressenti pour la cure de Badonviller fin 1625, mais le projet avorte (Lettre à Saint-Pierremont, 9 octobre 1625 et lettre à Nicolas Guinet, 20 novembre 1625,).
« La douceur du P. Prieur de Saint-Pierremont estoit telle, qu’en partant pour aller à Verdun (en 1627) il ordonna à celuy qui devoit tenir sa place pendant son absence de ne laisser jeusner les novices pendant le quaresme, s’ils n’y estoient obligés par les loix de l’Eglise à cause de l’aage » (Drouin p.222).
A Verdun en novembre 1626, où il décide avec Fourier d’envoyer un représentant à Rome (lettre à Lunéville du 1er novembre 1626). Souhaité par Fourier pour remplacer Tacon au voyage de Rome (lettre à Lunéville, 1er novembre 1626). Manceau veut l’envoyer avec Guinet auprès de François de Vaudémont et de son fils Nicolas-François après la mise en commende de Saint-Pierremont (lettre à Lemulier, 29 novembre 1626). Va à Verdun remplacer le Prieur Terrel parti à Paris défendre les chanoines de Verdun accusés de ne pas soutenir la France (Drouin p.221 et 222).
Fut en 1627 chargé par les chanoines avec Guinet des négociations à Rome pour l’approbation de la congrégation (reçoit procuration en avril : lettre à St Mihiel du 25 avril 1627). Part le 15 mai 1627 et arrive le 13 juin 1627 (Drouin p.222), voit Fourier le 15 juin (lettre à Guinet, 16 juin 1628), puis au Pont, chez les sœurs de St Mihiel et Verdun.
Rentre en 1628 à Saint-Pierremont, « pour ne s’y pas bien porter et y laissa encore le RP Nicolas Guinet » (Drouin p.229).
Selon Guinet, il « demeurerait au séminaire de Pont-à-Mousson, et non à l’abbaye de Lunéville (...) Certes, il sera partout tès utile mais à Lunéville se trouvent un curé apprécié et stable, un maître des novices et un procureur également sûrs », puis il le propose comme général (lettre de Guinet à Fourier, 29 juillet 1628).
« Je remercie Votre Révérence de ce qu’elle a fait et fait faire pour les pauvres affligez de cette paroisse (Mattaincourt ?) qui sont en bien grand nombre, et sans apparence d’aucun amendement » (lettre de Fourier à Lemulier, 29 septembre 1628).
Devient fnalement prieur de Lunéville (1628-1629) : il « va à Lunéville l’un de ces jours pour rhabiller ce pauvre ménage si possible est » (lettre à Guinet, 4 août 1628) ; « dimanche prochain il tire de ce côté là avec deux ou trois de nos frères étudians qui prendront leurs vacances pour y prendre doucement à notre prière la charge (de prieur) jusques à la Saint Luc au moins » (lettre à Guinet, 18 août 1628). « Le bon père commence à rebâtir sur ces ruines, mais avec beaucoup de peines à raison de tant de désordres qui s’y étoient glissez. » (lettre à Guinet, 6 octobre 1628).
Y est en septembre avec Manceau, Philippe et Perpète pour régler la donation due de 40000 francs pour un séminaire (lettre à Guinet, 8 septembre 1628).
« Partit le Lunéville le samedi 14e de ce mois pour conduire nos étudians au Pont : nos six physiciens et quatre nouveaux logiciens avec lesquels il demeurera quelques semaines pour les mettre en train, et montrer comme un exemple ou modelle de retenue et douce gravité à celuy qui les doit gouverner, sçavoir le P. Tacon, lequel auparavant étoit un peu trop libre » (lettre à Guinet, 27 octobre 1628).
Confirmé prieur de Lunéville en 1629 (Drouin p.232).
Envoyé comme prieur à Saint-Pierremont (lettre du 3 janvier 1629).
Prieur de Saint-Pierremont pour la seconde fois (1633).
Abbé de Saint-Pierremont (1634-1642).
Quitte Saint-Pierremont pour se réfugier au Luxembourg (1635).
Choisi pour être vicaire général à la mort de Perpète Maretz (15 juin 1639). Ne semble pas avoir effectivement exercé cette fonction, étant alors à Bruxelles ou au Luxembourg. Remplaçé par Clément Philippe.
Longtemps Conseiller Général, puis troisième Supérieur Général à la mort de Pierre Fourier, deux ans (1641-1642).
A rassemblé un grand nombre d’autographes du P. Fourier dès sa mort (Drouin p.203, 205, 308) ; (D’Hangest, abrégé chronologique, p.3 et 6).
LEMULIER Guy Junior Sémur, duché de Bourgogne 1635
Envoyé par Chamois, prieur de Viviers à Saint-Pierremont, car était malade de la peste, fin novembre ou début décembre 1635.
  1631 (Drouin p.237) Neveu de Guy Lemulier.
Etudie la philosophie à Pont-à-Mousson (1632-...).
LENOIR Claude Nicolas 1731
Nancy
  1747
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1748.
LENOIR ou NOIR Jean-Pantaléon Pourrait être de Courmayeur ou de Châtillon (Val d’Aoste) 1734     Présent à Verrès en 1719-1720. Reconnaît immédiatement le prévôt commendataire Paul François de Challant (1719, puis 1720).
Etudie la théologie à Domèvre (1722).
A Autrey (1723-...).
Enseigne à Aoste la 5e (1728), la 3e (1729-1730), les humanités (1731-1732), la philosophie (1733-1734).
LENOIR Nicolas ou Casimir 1741
Saint-Avold
Après 1786 1758
Pont-à-Mousson
1759
Pont-à-Mousson
A Autrey en 1768.
Sécularisé, part en 177.
professeur de philosophie, chanoine à Chartres.
LEONARD François Saint-Pierremont 167.
Chaumousey
  1665 Adjuteur.
LEONARD François Benoît 1699
Verdun
  1715
Pont-à-Mousson
  Fils de Théobald Léonard et de Jeanne Jacquinet.
LEROY Jean Joseph 1712
Domèvre
1772
Metz, atteint d’une hémorragie au cours d’une de ses visites.
1729
Pont-à-Mousson
1730
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1730).
Prêtre à Toul (1737). « L’aménité de son caractère, son amour pour le travail, la sagesse de son zèle, ses talents pour l’instruction l’avaient rendu cher à ses confrères, estimable aux yeux de ses supérieurs et digne de confiance des gens en place dans cette ville [de Lunéville, en 1741]. La prière, l’étude des livres saints et des Pères de l’Eglise l’avaient préparé à remplir dignement les fonctions d’un zélé pasteur. Il s’en acquitta pendant 23 ans avec honneur et fit l’admiration de ses paroissiens et des gens attachés à la cour du roi de Pologne, par ses vertus, ses talents, son zèle et sa prudence. On se souviendra longtemps de ses instructions pleines d’onction et de force. [...] Sa piété était connue et faisait impression sur tous ceux qui le voyaient. Il y joignait une simplicité charmante, soit dans ses manières, soit dans ses entretiens. Sa charité le porta souvent à se dépouiller, à se priver même du nécessaire pour subvenir aux besoins des malheureux. Il dirigeait les consciences avec un grand succès ; il était très assidu au confessional. » (Chatrian).
Vicaire de Chanteheux (1738-1740).
Régent des humanités au collège de Lunéville (...-1741).
Vicaire de Lunéville (1741-1746).
Curé de Lunéville (1746-1769).Prieur de Lunéville (1762-1769). « Le roi Stanislas l’honora de son estime et de ses bontés, .. et le consultait dans les dix dernières années de sa vie pour nommer aux cures de son patronage, depuis que plusieurs curés nommés par lui n’avaient pas fait honneur à ses choix. Les courtisans allaient souvent l’entendre avec empressement, aussi était-il regardé par les évêques de Toul comme le premier prôneur de leur diocèse. » (Chatrian).
Selon Chatrian, franc-maçon à Lunéville vers 1768 (loge Saint-Joseph) ; aurait officié lors d’une messe maçonnique à la chapelle de l’hôpital de Lunéville.
Général et abbé de Domèvre (1769-1772).
LEROY Louis 1700
Nancy
  1717
Pont-à-Mousson
  Fils de Louis Leroy, notaire.
Serait sorti avant sa profession.
LESEURE Claude Antoine 1761
Nancy, paroisse Saint Sébastien
  1781
Autrey
  
LHABITANT Jean Toul   1719
Pont-à-Mousson
  
LHABITANT Laurent 1695
Trois-Evêchés, diocèse de Toul
1773
Toul
  1715 Etudie la philosophie à Domèvre (1715-1717).
Curé de Bicqueley (1736-1744).
Sous pieur à Toul (1768).
Retiré à Toul.
LHABITANT Philippe 1696
Trois-Evêchés, diocèse de Toul
1780
Villacourt
  1713 Enseigne à Aoste la philosophie (1724-1726).
Enseigne la théologie à Verrès (1726-1730).
Supérieur du collège d’Aoste (1729-1734).
Prononce l’éloge funèbre de Mgr. Grillet, évêque d’Aoste, le 28 septembre 1730.
Enseigne la théologie au collège d’Aoste (1730-1732).
Prêche la quadragésime à la cathédrale d’Aoste en 1735.
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1736-1737).
Prieur de Pont-à-Mousson (1738-1743).
Prieur de Domèvre (1745).
Prieur de Lunéville (1748-1750).
Curé de Villacourt (1750-1774).
Résigne sa cure de Villacourt en faveur du P. Hugo et reste avec lui jusqu’à son décès.
Son portrait a été conservé au presbytère de Villacourt, puis au Musée Historique Lorrain (où il est toujours).
LHOSPITAL ou LHOPITAL Matthias Metz (Drouin p.232) 1636
Belchamps (ms 759 de Nancy)
  25 mars 1629 Logicien.
« Il me dit, partant dernièrement de ce lieu (le Pont) pour aller dire adieu à ses parens, qu’il désiroit se rendre à Lunéville le jour de la Saint-Mathias, parce qu’il s’appelle Mathias » (lettre à Guinet et Lemulier, 18 février 1628).
« Tous ceux qui sont de sa connoissance donnent grand témoignage » (lettre à Petitjean, 23 février 1628).
« un petit éveillé qui a de bons témoignages de ses régens. » (lettre à Guinet et Lemulier, 18 février 1628).
A la Saint Remy 1629, entre à Pont-à-Mousson avec Pierre Pierre et Jean Tacon, pour commencer sa philosophie avec comme maître le jésuite Forest (Drouin p.233).Envoyé à Belchamps en 1632 en raison de la peste sévissant à Pont-à-Mousson.
LHUILLIER François 1733
Epinal
  1754
Pont-à-Mousson
  
LIABE François Nicolas Suisse   1717
Pont-à-Mousson
1718
Pont-à-Mousson
Pharmacien. Fils de Claude Liabé, marchand drappier.
LIEGE ou LIEGEY Joseph Antoine 1738
Deuville ou Einville-au-Jard (ms 759)
  1756
Pont-à-Mousson
1757
Pont-à-Mousson
Régent à Dommartin (1768).
Sous prieur de Chaumousey (1783-1784, 1787).
A Chaumousey en 1789-1791. Se retire alors à Lunéville chez ses parents (14 janvier 1791).
LIEGEOIS Dieudonné 1762
Longuyon
  1784   Fils de charpentier.
LOPINET Nicolas Pont-à-Mousson 1713
Lunéville
  1682 Administre la cure séculière de Lindange.
LORAIN Nicolas Joseph Marville 1684
Saint-Mihiel
  1677 Enseigne à Aoste la 6e (1678-1682).
LORIN Pierre   1723
Belchamps
  1704 Adjuteur.
LORRAIN Charles Léopold 1737
Lamarche
  1756
Pont-à-Mousson
1757
Pont-à-Mousson
A Lunéville (1768).
Supérieur de Saint-Mihiel (1790).
LORRAIN Nicolas François 1727
Epinal
  1747
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1747.
LOTZ Joseph 1766
La Cense de Meromeix, paroisse de Mandray, diocèse de Saint Dié
  1785
Autrey
1787 
LOUIS Charles 1764
Lunéville
1829 1783
Autrey
1785
Autrey
A Autrey (1790).
« Maire de Parroy, fort honnête » après la Révolution.
Curé de Sainte-Pôle (janvier 1813).
Curé de Cirey-sur-Vezouze (avril 1818).
Interdit (1er juillet 1825).
LOUIS Jean Nicolas 1747
« Archiae »
  1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Au collège d’Epinal (1759-1766).
Sous diacre.
Etudie la théologie à Chaumousey (1773).
A Saint-Pierremont, détient une édition richement reliée de l’Encyclopédie dans sa cellule.
Enseigne la philosophie à Chaumousey (1784) ; doit être remplacé par Willemin l’année suivante pour des raisons de santé.
Professeur de philosophie à Metz (...-1786).
Prieur de Saint-Pierremont (1786-1790) ; quitte la maison en avril 1791.
Dans le district de Mirecourt (1792).
LOUIS Nicolas 1696
Hatrize vers Saint-Pierremont
1770
Mirecourt
  1714 Etudie la philosophie à Domèvre (1714) puis à Chaumousey (1715).
Directeur des religieuses de Mirecourt (1748-1770) ; le P. Durbuy lui succède.
LOUIS Nicolas Lunéville 1667
Pont-à-Mousson
  1654 En Lorraine jusque 1658.
Première messe en 1659.
Enseigne à Aoste la 5e (1658), la 3e (1659-1660), les humanités (1661-1662).
LOUIS Nicolas Toul     1703 A Saint-Pierremont (1707).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1726-1730).
LOUIS Pierre François 1752
Verdun
1829 1772
Pont-à-Mousson
1773
Pont-à-Mousson
Fils de Louis Louis, apothicaire.
Sous-principal à Metz (1790), quitte la maison en août.
Devient prêtre constitutionnel en Moselle.
LOUVIAT ou LOUVION Nicolas Clément Nancy 1707
Laneuveville-aux-Bois
  1669 Curé de Laneuveville-aux-Bois (1682-1707).
Curé de Vaxoncourt (1688).
LOUVIOT François Nancy 1727
Viviers
  1692 Enseigne à Aoste la 4e (1699), la 3e (1700), les humanités (1701), la rhétorique (1702).
LOUVRIER Jean Baptiste Remi 1743
Pont-à-Mousson
  1759
Pont-à-Mousson
1760
Pont-à-Mousson
Régent de 5ème et 4ème à Metz (1768).
Curé de Val-et-Châtillon (1783-1786). Résigne au profit de son frère.
Principal d’Epinal (1784-1786) ?.
LOUVRIER Nicolas Remi 1737
Pont-à-Mousson
  1754
Pont-à-Mousson
1755
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1755-1756).
Etudie la théologie à Chaumousey (1757-1760).
Professeur de rhétorique à Lunéville (1768).
Curé de Chaumousey (1770-1771).
A Toul (1772-...).
Principal d’Epinal (...-1786).
Curé de Val-et-Châtillon (1786-1791). Jureur.
LUCOT Pierre François 1757
Aboncourt, diocèse de Besançon
  1781
Autrey
1782
Autrey
Fils de laboureur.
Professeur de mathématiques à Metz (1790) ; quitte la maison en août 1790, part à Pont-à-Mousson (1791).
Intrus à Froville (1791-...).
MADINIER Jean François Antoine 1700
Turin
1761 (16 avril)
Arnad, Val d’Aoste
    Elu prieur de Chambave le 23 mai 1735 (sans effet).
Sacriste de Verrès (18 juillet 1736-1746).
Dernier prieur de Verrès ayant fait partie de la congrégation (août 1738-1746).
Curé d’Arnad (Val d’Aoste, 6 avril 1746-1761).
MAFOI Antoine Bruyères 1718
Autrey
  1666 A Verdun (1669).
Adjuteur à Autrey (1686).
Procureur à Autrey (1688).
A Autrey pendant les travaux de reconstruction (1704-1716), « économe très fidèle, octogénaire, remplissant vaillamment sa tâche de nourrir les serviteurs de Dieu et d’augmenter ou de conserver les biens du monastère ». DUMOULIN, titres..., p.75.
MAGE Jacques Ligny   1719
Pont-à-Mousson
  
MAGNIEN Blaise Dieppe 1634
Pont-à-Mousson
  1er avril 1625 « un jeune homme qui a servy Monsieur l’Official de Verdun, qui est tailleur d’habits, cuisinier, pâtissier, qui a un frère jacobin à Blainville, et une grande dévotion à servir Lunéville » (lettre de Mgr de Maillane à Fourier, 15 avril 1623).
Premier frère coadjuteur de la réforme à Saint-Pierremont en 1625 (Drouin p.212). Accompagne des religieux en déplacement « pour (...) servir d’aide et de compagnon par les chemins » (lettre à Saint-Pierremont du 3 mai 1625).
Très habile en toutes sortes de métiers, rendit de grands services à la congrégation. Désiré par Fourier pour organiser la construction du Séminaire de Pont-à-Mousson (lettre à Saint-Pierremont, 9 octobre 1625). Y travaille en 1626 et fait office de messager (lettre à St Mihiel, 28 juillet 1626). Prépare les meubles pour Belchamps avec une certaine liberté « si d’avanture vous trouviez quelque chose qui nous fût nécessaire à Belchamps et que nous n’eussions encore, vous pourrez y employer ce qui restera des cents francs, ou partie, après les façons payées. (lettre à Blaise, 22 aout 1626). « Le pauvre maître Blaise m’avoit hier extrêmement importuné et pressé de le recommander encore cette fois un peu à vos très saintes prières » (lettre aux supérieures de St Mihiel, Verdun, Châlons et du Pontamousson, du 14 septembre 1627).
Envoyé à Toul (lettre à Guinet et Lemulier, 15 octobre 1627).
« je n’oserois pas vous dire d’où Blaise espéroit faire les moissons et les vendanges de cette sainte colonie du Pont » (lettre à Saint-Pierremont, 22 octobre 1627).
Souvent utilisé comme messager ou porteur de lettres (accident dans la lettre à Nancy du 17 décembre 1627, raconté aussi dans la lettre à Guinet et Lemulier du 24 décembre 1627).
Employé par le P. Manceau qui « va au Pont en partie tout exprès pour le mener à Toul et l’employer durant quelques jours ou semaines à la levée de je ne sçais quelles sommes et grosses et menues qui leur restent dues et parsemées en divers endroits, même par devers Bar » (lettre à Petitjean, 18 mars 1628).
Fourier demande à Petitjean de se décharger des affaires du Temporel de Lunéville sur Maitre Blaise « à condition de l’avertir qu’il modère sa parole et sa voix, et de luy commander qu’il ne donne rien (nous avons besoin de ménager notre pain et de le garder pour nous), et ne fasse aucune chose d’importance sans l’avoir premièrement communiqué sérieusement et de près à Votre Révérence et au RP. Perrin, et sçu l’opinion et volonté de tous deux là-dessus, à ce d’y obéir » (lettre à Petitjean du 19 avril 1628).
Fourier estime qu’en sa présence, « si les novices ne sont grièvement tentez, ce sera merveille » (lettre à Guinet et Lemulier, 28 avril 1628).
Envoyé aider les sœurs de Nomeny, à leur demande, dans des affaires temporelles (lettre à Guinet, 1er août 1629).
MAGNIEN ou MAGNIERE Jean François Longray 1694
Blainville
  1661 A Verdun (1664).
Curé de Mattaincourt (1677 ou 1678-1678).
Révoqué de sa cure de Mattaincourt pour avoir pris des institutions de l’évêque.
Curé de Blainville-sur-l’eau (1681-1694).
MAGNIEN DE FERRIERES François Gérard 1710
Nancy
Après 1791
Nancy
1730
Pont-à-Mousson
1731
Pont-à-Mousson
Supérieur de Dommartin (1768-1769, 1779, 1786).
Est ensuite à Autrey (1786, 1790).
Ne prête pas le serment constitutionnel sous la Révolution.
Retiré chez son frère à Nancy pendant la Révolution (à partir du 15 février 1791)
MAGNIER François Longwy 1715
Frémonville
  1674 A Pont-à-Mousson (1675).
Sort du Pont le 27 janvier 1675 pour aller à Belchamps puis à Verdun. Renvient à Pont-à-Mousson fin juin 1675.
Enseigne à Aoste la rhétorique (1675-1676).
A Pont-à-Mousson (1678).
A Chaumousey (1690).
MAIEURE ou MAYEUR Nicolas Pont-à-Mousson 1731
Saint-Mihiel
  1672 A Pont-à-Mousson (1672).
A Domèvre (mai 1672-...).
Procureur à Saint-Pierremont (1674-1675).
A Verdun (1682, 1684).
Curé de Frémonville (1686-1694).
Supérieur de Saint-Mihiel (1710-1716).
MAILLARD Sébastien 1734 ou 1731
Einville-au-Jard
1802
Frizon
1751
Pont-à-Mousson
1752
Pont-à-Mousson
Etudie la philosophie à Chaumousey (1752-1753).
Prêtre en 1760.
A Chaumousey en 1762, envoyé cette même année à Lunéville.
« Mince professeur de philosophie » à Chaumousey (1765).
« Pauvre théologien », enseigne la théologie à Chaumousey (1766) (Chatrian, BDN, MC 8).
A Chaumousey (1783).
Curé de Boncourt (1783-1788).
Dernier Chanoine-curé de Bettegney-Saint-Brice (1788 ou 1786-1791).
Jureur en 1791.
Se retire à Frizon après 1791
MAILLEFER Charles Thimothée 1759
Longwy
  1776
Autrey
  
MAILLET Manoncourt       Formé par Guinet (lettre du 20 avril 1626).
Refusé par Fourier : « le garçon fera mieux de se tenir avec son père, et le bien obéir, que d’entrer en notre Ordre, et qu’au cas qu’il veuille absolument persévérer en ses dévotions, une autre religion luy sera plus propre que non pas cette-cy » (lettre à Blaise, 26 mai 1626).
Refusé, n’apparaît pas dans le ms 759.
MAILLOT Nicolas 1725
Billy, diocèse de Verdun
  1743
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1744.
MALDERME ou MALDERMETZ Dominique Bouzonville (ms 759) 1765
Belchamps
1726
Pont-à-Mousson
1727
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Domèvre (1729-1731).
Enseigne à Aoste la 3e (1735), les humanités (1736), la philosophie (1737-1738).
Prieur de Belchamps (1765).
MALHERBE Hubert ou Humbert 1650
Liège
1720
Domèvre, « en sa quarante-huitième année de religion, muni des sacrements et avec une grande tranquillité et d’une grande édification ». (AD MM H 1386)
  1673 A Pont-à-Mousson (1673).
A Saint-Maurice (...-1675).
A Domèvre (1695, 1704-1705).
A Lunéville (1705-...).
A Domèvre (1709-1710, 1712-1720).
MALHERBE Joseph 1713
Saint-Mihiel
1770
Domèvre
1728
Pont-à-Mousson
1729
Pont-à-Mousson
Nommé curé de Réchicourt-la Petite (1747) mais ne reste pas.
Supérieur de Saint-Mihiel (1751).
Curé de Verdun (1751-1757).
Prieur de Verdun (1751-1755).
Présent à Domèvre (1768).
MALHOMME François Metz 1722
Saint-Pierremont
  1665 Curé de Mance (1670-1714).
MALORTI ou MALARTY Antoine 1711
Bainville-aux-Miroirs
1740
Saint-Mihiel
1732
Pont-à-Mousson
1733
Pont-à-Mousson
 
MALRIAT Claude   1670     Curé de Val-et-Châtillon.
Membre de la confrérie de Saint Sébastien de Cirey.
MANCEAU Nicolas Domèvre ou Dompaire 1636
Bar le duc ; de la peste (Drouin, p. 201, p.205, p.287 ; lettre au P. Manceau, décembre 1628 ; lettre au P. Maretz, 29 octobre 1636)
2 ou 6 février 1623 ; puis 10 février (un des 6 premiers)
Pont-à-Mousson ; puis Lunéville
25 mars 1624 Elève de Pierre Fourier à Chaumousey pendant son enfance. A été clerc profès à Chaumousey avant la Réforme.
Charges importantes. Envoyé à Saint-Pierremont (Drouin p.212). Serait à Saint-Pierremont en mai 1625 (lettre à Saint-Pierremont, 3 mai 1625). Demandé à Saint-Pierremont pour renforcer Terrel lors de la réforme de Verdun (lettre du 13 septembre 1625). Envoyé à Lunéville (lettre « sur quelques affaires... » novembre ou début décembre 1625), où il est prieur en 1625 (lettre du 20 janvier 1626 à Saint-Pierremont). Va avec Terrel « à Domèvre, Dieu aidant, pour la séparation des menses de là-dedans » (Lettre à Saint-Pierremont ; 9 février 1626). Toujours « notre capitaine à Lunéville », il part à Viviers avec Jean de Romont le 16 mars 1626, personne d’autre ne pouvant y aller (lettre à Saint-Pierremont, 15 mars 1626). Envoyé à Nancy présenter des « griefs » à Mgr le Duc (M de Vaudémont) (lettre à Verdun du 18 juin 1626. Y est encore mi août 1626, avec Petitjean, pour traiter de l’entrée à Belchamps avec Mgr de Gorze. (lettre au prieur et à Petitjean 17 août 1626).
Parti « aux moissons à Viviers » « cette mission mérite bien d’être sérieusement recommandée à Dieu. Nous dismes hier tous la messe à cette intention. M. le Duc (de Vaudémont) se montre affectionné à tout cet ouvrage-là plus qu’on ne vous sçauroit dire. Il importe beaucoup pour le lustre et la réputation et l’avancement de notre congrégation que le voyage de notre dit bon pèr nous réussisse heureusement et aussy bien à Viviers, comme font les vôtres à Verdun (...) » (lettre à Verdun, 18 mars 1626).
Accompagne le Frère Oudin dans les ordres. Est tombé malade aux quatre temps de noël 1625 « ainsy que le pauvre bon homme se hâtait pour arriver de bonne heure à Lunéville le jour même qu’il partit du dit Toul, parmy des vents et des froidures très cuisantes et presque insupportables. Il n’attend que la guérison pour se remettre en chemin » (lettre du 20 janvier 1626 à Saint-Pierremont).
« l’avis de notre P. Manceau (...) porte que, pour toutes leçons aux novices, suffit de leur faire une lecture de quelque chapitre de dedans Rodriguez, qui ne traite que de matières ou très nécessaires ou du moins très utiles, et qu’à ce moyen il n’y aura pas grands frais de tems et de têtes en ce service-là et sera plus aisé de leur trouver un maître » (lettre à Saint-Pierremont, 15 mars 1626).
Y est encore avec Petitjean « tout exprès pour parler à M. Viardin » au sujet du rôle que doit jouer Mgr de Gorze pour Belchamps (lettre à Saint-Pierremont, 19 août 1626). A Belchamps lors de la prise de possession (lettre du 29 août 1626), en est prieur de 1626 à 1627 (Drouin p.216).
Donne encore l’habit et fait les cérémonies de profession après cela : « que nous pouvons encore tenir pour prieur de Lunéville » ; il est alors envoyé à Viviers (lettre à Lunéville, 6 septembre 1626). Désire l’envoi de Guinet de Lemulier à Rome (lettre à Lemulier, 5 novembre 1626). Estime que le supérieur de la congrégation ne doit être « moindre que vingt ans » (lettre à Guinet et Lemulier, 6 août 1627).
« travaillèrent longtemps pour la séparation des menses d’avec les abbatialles de Saint-Pierremont et de Belchamps » avec Cousson et Fourier en 1627 (Drouin p.222). Estime que la conquête de Toul est nécessaire (lettre à Guinet et Lemulier, 3 septembre 1627). Désigné pour etre sous-prieur à Toul (lettre à Guinet et Lemulier, 10 septembre 1627 ; lettre à Guinet et Lemulier, 1er octobre 1627 ; lettre à Guinet et Lemulier, 1er octobre 1627 ; Drouin p.224).
Participe aux premiers temps du Pont : y fait la 1ère « messe solemnelle » (lettre à Guinet et Lemulier, 10 décembre 1627).
Selon Guinet, ses qualités sont « la prudence avisée et pleine de circonspection, sagace, réservée, grave et discrète » (lettre de Guinet, 9 octobre 1627).
Estime « qu’il valloit mieux ne point donner l’habit jusques à ce qu’ils soient de la classe de rhétorique » (à propos de Roussel et Virion) (lettre à Guinet, 15 octobre 1627).
« C’est un digne homme. Il nous a acquis là-dedans (à Toul) une grande réputation (lettre à Saint-Pierremont du 20 janvier 1628).
« (il) nous a acquis une grande réputation, comme aussy ses compagnons dans la ville de Toul » (lettre à Guinet et Lemulier du 21 janvier 1628).
Estime que Guinet et Lemulier devraient revenir avant Pâques 1628, même sans avoir rien obtenu, leur présence étant « si très chère et si très nécessaire » (lettre à Guinet et Lemulier, 21 janvier 1628).
A Lunéville en septembre avec Lemulier, Philippe et Perpète pour régler la donation due de 40000 francs pour un séminaire (lettre à Guinet, 8 septembre 1628).
Curé de Toul en 1627 (Drouin p.225), confie le catéchisme à Jean Estienne.
Encore envoyé à Viviers en juillet 1628, comme prédicateur « pour y honorer la sainte Madeleine » avec Terrel, Tacon et les étudiants. (lettre à Guinet, 21 juillet 1628).
Confirmé à Toul en 1629 (Drouin p.232).
Prieur de Lunéville, Belchamps et Toul.
MANCHETTE Gabriel Ligny 1705
Villacourt
  1662 Enseigne à Aoste les humanités (1666-1667) et la rhétorique (1669).
Prieur de Domèvre (1676).
Curé de Vaxoncourt (1688).
Curé de Villacourt (1699-1705).
A voulu se faire élire abbé de Belchamps, en vain (1693).
MANGENOT Nicolas       12 août 1630 (Drouin p.234) « adjuteur »(Drouin p.234).
Absent des listes du ms 759.
MANGET Simon Verdun 1636
Verdun
  1630 Adjuteur.
MANGIN Christophe   1679
Saint-Pierremont, d’hydrophysie.
    « Bon sujet, fort attaché au travail, et propre à tous les emplois que l’on peut donner à un adjuteur, et à qui on les pouvoit confier à raison de sa fidélité, et de son attachement aux intérests de la maison. Il s’acquittoit d’ailleurs de tous les devoirs de piété avec une modestie et une exactitude qui édifioit tout le monde ». Massu, Mémoires, p.49.
Frère Adjuteur.
MANGIN Joseph 1750
Saint-Dié
  1770
Pont-à-Mousson
  
MANISSE Théodore 1713
Avril
  1733
Pont-à-Mousson
1734
Pont-à-Mousson
Présent à Chaumousey (1753-1754).
Présent à Domèvre (1768).
MANSUY Claude Nicey ou Pierrefitte     1716
Pont-à-Mousson
Commence son noviciat à Pont-à-Mousson (vers juin 1714) et le termine à Chaumousey (à partir de novembre 1714). Est toujours à Chaumousey en 1715.
Adjuteur.
MARAIN Lambert 1740
Lunéville
  1758
Pont-à-Mousson
  
MARC Claude Lunéville Inconnue ; avant le P. Fourier (d’Hangest, Abrégé chronologique...)
Lunéville
6 février 1623
Pont-à-Mousson
25 mars 1624 (un des sept)
Lunéville
A été à Lunéville St Rémy avant la Réforme. Profès et Prêtre à Lunéville. Avait des dettes au moment de la réforme, épongées pour moitié par M. de Maillane (lettre du 27 février 1623).
Selon Guinet, ses qualités sont « son courage léonin, constant, plein d’entrain, patient, simple, bon et déjà éprouvé » (lettre de Guinet, 9 octobre 1627).
Envoyé à Verdun en 1625 (Drouin p.214 ; lettre « sur quelques affaires... » novembre ou début décembre 1625). Toujours à Verdun en novembre 1626, où il décide avec Fourier d’envoyer un représentant à Rome (lettre à Lunéville du 1er novembre 1626).
Chargé longtemps de l’église de l’abbaye de Toul qui servait de paroisse, puis son procureur, y succède comme prieur au P. Manceau en 1627 ou 1635 et y reste procureur en 1639. Envoyé à Saint-Pierremont à Noël 1639 ; puis à Verdun en 1640 (Drouin p.299 et 301). Désigné pour l’assaut de Toul (lettre à Guinet et Lemulier, 10 septembre 1627 ; lettre à Guinet et Lemulier, 1er octobre 1627).
Estime « qu’il valloit mieux ne point donner l’habit jusques à ce qu’ils soient de la classe de rhétorique » (à propos de Roussel et Virion) (lettre à Guinet, 15 octobre 1627).
Prieur de Saint-Léon de Toul (1627).
« [triomphe à Toul] pour les confessions » (lettre à Saint-Pierremont du 20 janvier 1628).
MARCHAL Antoine René 1745
Le Rosne, près de Bar-le-Duc
1798
Neuville-St Hilaire, après avoir été emprisonné à Saint-Mihiel
1764
Pont-à-Mousson
1765
Pont-à-Mousson
Professeur à Epinal.
Etudie la théologie à Domèvre (1768).
Procureur à Dommartin (...-1786).
Prieur de Toul (1786-1787).
Prieur-curé de Neuville-St Hilaire (1789-...).
Jureur sous la Révolution.
MARCHAL Didier Lupcourt 1695
Retiré à Domèvre depuis un an, « après avoir receu tous les sacrements, et fut inhumé dans l’église de l’abbaye ».
  1636 Curé de Lunéville (1647-1652).
Prieur de Lunéville (1649-1653).
Visiteur des cures nommé par Clément Philippe (1659).
« Notaire apostolique immatriculé en cour de Rome » (ASV, cong. Riti, 3010, p.4819).
Greffier lors du procès de Blâmont pour la béatification de Pierre Fourier (1673).
Curé d’Harbouey (avant 1673-1690), « plusieurs années » (ADMM, H 1386).
A Domèvre (1695).
MARCHAL François 1688
Lorraine, diocèse de Toul
    1715 Adjuteur à Saint-Pierremont (1768).
MARCHAL François Plombières 1719
Vého, « fut enterré dans son église paroissiale, où les services funèbres furent faits [...] et dans l’abbaye » (AD MM H 1386)
  1691 A Chaumousey (1696).
Vicaire de Vého (1705-1719).
MARCHAL ou MARCHAND François Nicolas 1736
Metz
  1754
Pont-à-Mousson
1755 Etudie la philosophie à Chaumousey (1755-1756).
Etudie la théologie à Chaumousey (1757-1760).
A Viviers (1768).
Curé de Verdun (1771-1773).
Curé d’Herbeuville (17..-1790).
MARCHAL ou MARECHAL Hubert 1718
Rône
1790
Neuville, après avoir résigné son prieuré-cure.
1738
Pont-à-Mousson
1739
Pont-à-Mousson
A Saint-Pierremont (1744).
Curé de Brillon (1753-1759). Résigna en 1764.
Prieur-curé de Neuville-Saint Hilaire (1759-1789) après une lutte contre Sébastien Cherrier.
MARCHAL Jean 1729
Les Trois Vallois
  1747
Pont-à-Mousson
1748
Pont-à-Mousson
A Hérival (1768).
MARCHAL Jean Baptiste Hubert 1752
Rosne
1777
« Chez messieurs ses parens à Rhône d’ù il étoit natif » (AD M&M : H 1387)
1772
Pont-à-Mousson
1773
Pont-à-Mousson
A Domèvre (...-1777).
MARCHAL Nicolas 1714
Metz
    1732
Pont-à-Mousson
Etudie la théologie à Domèvre (1732).
Enseigne à Aoste la 4e (1739), la 3e (1740), les humanités (1741), la rhétorique (1742), la philosophie (1743-1744).
Curé de Domèvre (1750-1754).
Vicaire à Blemerey (1768, 1772, 1790). Jureur.
MARCHAL Pierre Plombières 1748
Dompierre
  1688 Enseigne à Aoste la 6e (1691), la 5e (1692), la 4e (1693-1694), la 3e (1695).
Curé de Chaumousey (1696-1699).
Prieur de Chaumousry (1699).
Curé du Tholy (1701-1724). Fait construire le presbytère.
Curé de Dompierre (1730-1747). En 1747, se démet « purement et simplement » de son bénéfice (ADV, XII H 4), puis reste avec son successeur Nicolas Compant « pour le soigner dans la vieillesse ».
MARCHAND Noël 1757
Pusy
  1777
Autrey
1778
Autrey
Enseigne à Nancy la 3e (1783-1786).
Selon G. de Pixérécourt, qui l’eut comme professeur en 1783, « homme aussi laid que méchant qui nous inspirait à tous une profonde aversion. Je m’amusais à lui lancer adroitement des boulettes de mie de pain ce qui égayait singulièrement la classe. Mais je fus vendu par un camarade et sévèrement puni ».
Enseigne la 3e à Epinal (1787-1788).
Enseigne la 2e à Pont-à-Mousson (1790).
Demande à sortir de Pont-à-Mousson le 10 mai 1790, car il refuse de « végéter comme régulier » (AN D XIX/13).
Dernier principal de Pont-à-Mousson (1793).
MARCHAND Simon Vers 1655
Tirol, ou Allemand (Massu, p.85)
1730
Domèvre, d’apoplexie
  1689 A donné des conseils pour l’édification des deux tours de Saint-Pierremont ; était alors postulant, en 1687 (MASSU, p.85).
Adjuteur à Autrey dans les années 1700-1710.
« masson de profession et un peu architecte qui avoit travaillé en diverses de nos maisons, et ce qu’il y avoit fait de meilleur étoit la neffe et les collatéraux de l’église d’Autrey » (c’est-à-dire un pastiche néo-renaissance. AD M&M, H 1386).
Adjuteur à Domèvre (1726-1729).
« il avoit édifié partout par ses vertus chrétiennes et religieuses, et sur tout par une obéissance à toutes épreuves » (AD M&M, H 1386).
MARCUS François Joseph 1768
Bouzonville près de Saint-Pierremont
    1789 A Saint-Pierremont (1790), sort en février 1791.
Va dans sa famille à Bouzonville ; puis, avec son frère, vicaire d'Abrechviller, à l'étranger.
Enseigne le français à l’école militaire de Munich (1825).
MARETZ Perpète « Liégeois de Nation, de la ville de Dinant » (Drouin)
« de Dinant au dessous de Maisières et Charleville, pais de Liège, qui produit de bonnes têtes. Encore qu’on les taxe d’être un peu opiniâtres» (Mgr de Maillane, lettre du 26 janvier 1623)
9 juin 1639 (ms 759)
Lunéville, d’une fièvre quarte
2 février 1623
Sainte Marie Majeure de Pont-à-Mousson, par Mgr de Maillane.
1624
Saint-Pierremont
« un honneste religieux » selon Mgr de Maillane qui l’envoie à Pierre Fourier alors à Ste Marie de Pont-à-Mousson (lettre du 22 janvier 1623).
Défend à Rome son abbé régulièrement élu (de Saint-Pierremont) contre Mgr de Maillane. Ensuite rallié à Mgr de Maillane (G. Drouin p.186). Un des premiers réformés. Grand rôle dans la Congrégation. Premier prieur de la réforme à Lunéville de 1623 à 1625 (Drouin p.201-202 et 205), à Domèvre (envoyé en avril 1625 ; lettre de Fourier à Saint-Pierremont, 27 avril 1625 ; Drouin p.214), à Belchamps pour remplacer Manceau de 1627 à 1633 (lettre à Guinet et Lemulier, 1er octobre 1627, Drouin p.224).
Retourne à Lunéville en septembre avec Lemulier, Philippe et Manceau pour régler la donation due de 40000 francs pour un séminaire (lettre à Guinet, 8 septembre 1628).
Appuie l’action politique de Pierre Fourier, bénit le mariage de Nicolas-François avec sa cousine Claude lors de l’invasion de la France (nuit du 17 au 18 février 1634). Conseiller Général aux chapitres de 1629 et 1632.
De nouveau prieur de Lunéville (1633-1638).
Choisi par Pierre Fourier, après son exil, pour gouverner la congrégation sous le titre de Vicaire ; le reste jusqu’à sa mort (1636-1639).
MAREUS   Après 1785   Après 1785 
MARIUS dit PIERRON Pierre         Ancien de Saint-Pierremont, s’était retiré avec l’ex-prieur dans un pavillon isolé dans l’enclos du monastère au moment de la réforme ; avait le désir d’entrer plus tard dans la réforme.
Les chanoines de Lunéville jugent « qu’il n’est nullement expédient de retenir Pierre de Verdun plus longtems entre nous et qu’il falloit le renvoyer (aux chanoines de Saint-Pierremont) avec lettres et prières bien humbles qu’il vous plaise le congédier incontinent, mais le plus honnêtement que faire se pourra et avec votre douceur et prudence accoutumée » (lettre à Saint-Pierremont, 19 août 1626).
Absent des listes du ms 759.
MARIUS Jean Baptiste Marville 1738
Saint-Pierremont
  1691 A Chaumousey (1693).
Enseigne à Aoste la 5e (1694) et la 6e (1695-1696).
Vicaire au Tholy (1717).
MARIZIEN Jean Ligny 1736
Toul
  1693 Curé de Domèvre (1699-1701 et 1712-1713).
Enseigne la philosophie à Domèvre (1699-1700).
Professeur de théologie à Saint-Pierremont (février 1702).
Envoyé à Hénnin (diocèse d’Arras) pour y enseigner la théologie (1702), avec Jean Demangeot. Mal préparée, l’union projetée de cette abbaye est un échec, et ils retournent en Lorraine deux mois plus tard.
Enseigne la théologie à Chaumousey (1704-1705).
Prieur de Saint-Pierremont (1707-1710).
Prieur de Domèvre (1710).
Enseigne la théologie à Domèvre (1710).
Sous prieur de Domèvre (1712-1713).
Directeur du séminaire de Verdun (1713-1726).
Assistant (1723-1736).
Prieur de Toul (1726-1732).
Présenté en vain par le général pour la fonction honorifique de prieur du Chesnoy en 1728. Effectivement prieur du Chesnoy (1732-1736).
MAROTEL Charles Gaspard 1727
Lunéville
  1744
Pont-à-Mousson
  Refusé en 1745.
MAROTEL François 1759
Framont
1828 1779
Autrey
1780
Autrey
Enseigne à Nancy la 6e (1785).
Conventuel à Domèvre (1786).
Vicaire de St Louis de Metz (1786-...).
Régent de 2e à Epinal (1790) ; sort du district d’Epinal le 6 mai 1791.
MARQUET Charles François Nancy 1765
Alors curé de Saint Boingt
  1709 Prêtre le 21 décembre 1715.
Enseigne à Aoste la 6e (1715), la 5e (1716), la 4e (1717).
Prieur de Belchamps (1726-1727).
Curé de Saint Boingt -Saint Rémi-aux-Bois (1727-1765).
MARTEL Jean Baptiste 1715
Noviant-aux-Prés
  1736
Pont-à-Mousson
  
MARTIN Charles Christophe 1713
Nancy, paroisse Saint Sébastien
  1733
Pont-à-Mousson
1734
Pont-à-Mousson
Enseigne à Aoste la 4e (1740), la 3e (1741), les humanités (1742), la rhétorique (1743).
Vicaire de Chanteheux (1760, 1768).
Sous-Prieur à Chaumousey (1771).
A Verdun (1790).
MARTIN François Verdun 1706
Strasbourg
  1698 
MARTIN François Antoine 1762
Chaumousey
      A Chaumousey (1711).
Curé du Tholy (1724-1727).
Curé de Darnieulles (1724-1760).
A Chaumousey (1762).
MARTIN Pierre 1707
Chamagne
  1732 et 1733
Pont-à-Mousson
  Frère adjuteur.
A Verdun (1750).
Etudie la théologie à Belchamps (1768).
MASSINOT Nicolas 1706
Pierrefite
1769
Autrey
  1725 Curé de Domèvre (1744-1745).
A Chaumousey (1762-1764).
A Autrey (1768-1769).
MASSON Claude Hubert 1744 ou 1748
Marsal
1824 1772
Pont-à-Mousson
1773
Pont-à-Mousson
Procureur à Lunéville (1790).
MASSON François Xavier 1756
Pont-à-Mousson
1824 1777
Autrey
1778
Autrey
Enseigne à Nancy la 5e (1784), la 4e (1785-1786), la 3e (1787-1788).
A Nancy (1790).
MASSON Jean Verdun 1748
Verdun
  1687 Curé de Verdun (1706-1708).
MASSON Jean Dominique Ramberviller 1721
Harbouey, « et fut enterré dans son église paroissiale » (AD MM, H 1386)
  1682 Vicaire du Tholy (1694).
Curé de Barbas (1695-1703).
Curé d’Harbouey (...-1721).
MASSON Quirin 1758
Fraize, diocèse de Saint Dié
  1782
Autrey
  
MASSOT Pierre   1686
Nicey
  1649 A Toul avant 1654.
Curé de Nicey (1654-1686).
Prieur-curé de Neuville-Saint Hilaire (1667).
MASSU DE FLEURY Achille François 1644
Blâmont
1707
Pont-à-Mousson
  1661 Fils du prévôt de Blâmont Charles Massu de Fleury, noble par sa mère, qui exerça cette charge de 1630 à 1680, et de Barbe Hilaire. Frère aîné de Charles Massu de Fleury. Parrain : le sieur Le Brun ; marraine : la princesse de Guise.
Ses qualités sont particulièrement appréciées par d’Hangest.
Enseigne à Aoste la 3e (1668), les humanités (1669), la rhétorique (1670).
Prieur de Saint-Pierremont (1672-1681).
Enseigne la philosphie (1673) et la théologie aux jeunes chanoines réguliers à Saint-Pierremont.
Abbé de Saint-Pierremont (1675-1707).
En 1675 rencontre Charles IV à Trêves.
Enseigne la théologie à Saint-Pierremont (1676-1681).
Procureur général (1679-1685 et 1691-1692).
Assistant (1685-1691).
A partir de décembre 1687, passe huit mois à Strasbourg pour mettre en train la maison de Saint-Louis.
Général (1692-1707).
Visite les établissements d’Aoste en 1697.
En 1701 va à Paris rencontrer le roi de France.
Auteur de Mémoires qui font suite aux Annales de Gilles Drouin avant de décrire l’activité de Massu durant son généralat. Ce manuscrit fut réalisé « sur la fin de sa vie » et s’achève en 1705. BM Nancy, ms 531 (25).
MASSU DE FLEURY Charles 1656 (25 avril)
Blâmont
1742
Belchamps
  1673 Fils du prévôt de Blâmont Charles Massu de Fleury, noble par sa mère, qui exerça cette charge de 1630 à 1680, et de Barbe Hilaire. Frère cadet d’Achille-François Massu de Fleury. Bachelier formé en théologie.
A Pont-à-Mousson (1673).
A Saint-Pierremont (1675).
Prieur de Verdun (1679).
Prêtre à Trêves en 1679.
« Il s’adonna à la prédication avec succès » (Dom Calmet, Hommes Illustres)
Enseigne la philosophie à Saint-Pierremont (1681 ou 1682-...).
Sous-prieur de Saint-Pierremont (1683).
A Verdun (1683-1684).
Curé de Verdun (1684).
Supérieur du collège d’Aoste (1687-1688).
Curé de Moyeuvre (1689-1693).
Abbé de Belchamps (1693-1742).
Accompagne Achille-François Massu à Paris pour voir le roi de France (1701).
Assistant (1717-1720).
Selon Dom Calmet, « il n’a fait imprimer qu’un livre intitulé « La modestie religieuse »; il est dédié à SAR Madame la duchesse de Lorraine ». (Dom Calmet, Hommes Illustres).
MATHIEU Antoine François 1747
Bavillier près de Belfort
  1764
Pont-à-Mousson
  
MATHIEU François Nicolas 1734
Preutin, diocèse de Trêves
1807 1753
Pont-à-Mousson
1754
Pont-à-Mousson
Fils d’un avocat en cour suprême.
Encore novice, étudie la philosophie à Chaumousey (1754).
Sous-prieur et professeur de théologie à Domèvre (1768).
Curé d’Anderny (1770-après 1790).
MATHIEU George Christophe 1755
Bouillon
  1777
Autrey
  
MATHIEU Jacques Didier 1734
Remiremont
  1754
Pont-à-Mousson
1755
Pont-à-Mousson
Sous procureur à Chaumousey (1764).
Procureur de Chaumousey (1766-1769).
Curé de Naix-aux-Forges (1775-1783).
Dernier Chanoine-curé de Laneuveville-aux-Bois (178.-après 1790).
MATHIEU Jean Antoine 1751
Metz
  1771
Pont-à-Mousson
1772
Pont-à-Mousson
Clerc.
A Autrey (1790).
Envoie une lettre le 13 juin 1790 dans laquelle il demande à sortir et à toucher sa pension pour rejoindre sa famille.
MATHIEU Jean François 1755
Preutin, diocèse de Trêves
  1775
Pont-à-Mousson
1776
Pont-à-Mousson
 
MATHIEU Jean ou Pierre 1708
Lorraine, diocèse de Toul
    1735 Adjuteur à Chaumousey (1742-1743).
Adjuteur à Saint-Mihiel (1768).
MATHIEU Joseph 1743
Vic
  1761
Pont-à-Mousson
1762 Régent de 6ème à Metz (1768).
A Metz (1770).
MATHIS Jérôme 1731
Gelvécourt
1797
Dans la misère (Chatrian, BDN, MC 8)
1747
Pont-à-Mousson
1748
Pont-à-Mousson
A Chaumousey (1754).
Prêtre en 1756.
Vicaire de Xermaménil (1761-1766).
Curé de Rehainviller (1766-1783), « non sans quelque simonie » (Chatrian, BDN, MC 8) « Joueur déterminé » (Chatrian, BDN, MC 8).
Détenu à Domèvre en vertu d’une lettre de cachet du 28 octobre 1783, obtenue par l’évêque de Nancy.
Est enfermé à Domèvre en 1790, en raison de « sa mauvaise tête incapable de réflexion, [...] un zèle outré, et une dissipation continuelle de son revenu, qui étoit telle que loin de pouvoir soulager ses pauvres, avec un revenu honnête, elle le réduisoit à la plus honteuse indigence ». A Domèvre, « il est très à charge ici par ses inquiétudes, ses tracasseries, et par une tête peu capable de réflexion », selon Joseph de Saintignon, dans une lettre du 8 avril 1790 (AN, D XIX/63).
Relâché pendant la Révolution, fait tous les serments.
MATIS François 1711
Obernai
1745
Saint-Hilaire
1730
Pont-à-Mousson
1731
Pont-à-Mousson
 
MATIS ou MATHIS Claude 1707
Obernai
1763
Lunéville
1724
Pont-à-Mousson
1725
Pont-à-Mousson
Enseigne à Aoste la 3e (1733), les humanités (1734), la rhétorique (1735).
Procureur à Saint-Pierremont (1744).
Procureur à Lunéville.
MAUBUCHE ou MAUBEUGE Pierre Verdun 1727 ou 1733 (ms 759)
Belchamps
  1664 En Lorraine jusqu’en 1671.
Enseigne à Aoste la 6e (1671), la 5e (1672), les humanités (1673), la rhétorique (1674).
Etudie la théologie à Pont-à-Mousson (1675).
Sous-prieur de Saint-Pierremont (1676).
Curé de Mattaincourt (1676-1677 ou 1678).
Curé de Verdun (1679 et 1685).
Curé de Nicey et de Pierrefitte (1686-1699).
Curé de Chaumousey (1701 et 1705).
Sous-prieur de Chaumousey (1701, 1703-1705).
Postule vainement pour le prieurey de Fleurey en 1703. Obtient des bulles mais perd son procès en 1704.
Curé d’Einvaux (1706-1720).
Retiré à Belchamps depuis 1720.
MAUPASSANT Paul Verdun 1727
Destry
  1680 A Chaumousey (1691).
Curé de Destry (1694-1727).
MAUVAIS Jean Nicolas 1763 (4 décembre)
Fillière, diocèse de Trêves
1820
Empoisonné par un acide qu’il aurait pris pour de l’eau de vie.
1784
Autrey
1785 (24 avril)
Autrey
Fils d’un commerçant de Sivry sur Meuse.
Enseigne à Nancy la 6e (1787-1788), la 4e (1788), la 2de (1789).
Prêtre en 1788 ou 1789.
A Nancy (1790). Prête le serment constitutionnel.
Opte pour la vie privée, avec pension de 900 livres (20 janvier 1791).
Elu curé constitutionnel de Villers-lès-Nancy (25 juillet 1791).
Prête le serment de liberté et d’égalité (16 septembre 1792).
Curé de Leyr (9 novembre 1792). Dépose ses lettres de prêtrise (20 novembre 1793). Toujours à Leyr, demande et obtient un certificat de civisme (15 janvier 1794).
Epouse Anne-Marie Lefèvre de Leyr, a un fils (Androphile) né le 16 novembre 1794.
Directeur d’hospice ; marchand de fer.
A une fille (Virginie) née le 2 août 1797 (AD M&M, L 1699-1701).
MAUVAIS Nicolas Joseph 1765
Fillière
Après 1792   1786 A Nancy (1790).
Curé constitutionnel d’Errouville.
Se fixe à Villers-lès-Nancy avec son frère (1er septembre 1792).
Prête le serment de liberté et d’égalité avec son frère (16 septembre 1792).
Professeur au collège de Nancy (Semaine Religieuse de Nancy, 1894, p. 276-277).
MAXEY François Pont-Saint-Vincent 1706
Verdun-sur-Saône
  1688 
MAYEUR Mathieu 1696
Pont-à-Mousson
Après 1775   1714 Etudie la philosophie à Domèvre (1714) puis à Chaumousey (1715).
Curé de Barbas (1726-1729).
Curé de Reillon (1732-1775).
MEFFET         Etudie la philosophie à Domèvre (1706-1707).
Etudie la théologie à Saint-Pierremont (1707).
Sous-diacre le 4 avril 1711.
Enseigne à Aoste la 5e (1711) et la 4e (1712).
MEHREMBERGER Thiébaut 1759
Thann
  1782
Autrey
 
MENGENOT ou MENGIN Guillaume Vierville-en-Haye 1690   20 Octobre 1630 « frère adjuteur » (Drouin p. 234).
MENGIN         Vicaire d’Hubert Marchal à Neuville-Saint Hilaire (1779-1789).
MENGIN Augustin Lunéville 1762
Tincry
  1702 Etudie la philosophie à Domèvre (1702).
Etudie la théologie à Domèvre (1703).
Curé de Tincry (1721-1762).
MENGIN Barthélémi Verdun 1721
Tincry
  1673 A Verdun (1675-1676, 1682).
Curé de Tincry (1711-1721).
MENGIN Charles Joseph ou Nicolas Nancy 1731
Bettegney Saint Brice
  1672 Frère de Dominique Mengin.
A Pont-à-Mousson (1673 et 1677).
Prieur d’Autrey (1699 et 1704-1706).
Curé de Bettegney-Saint-Brice (1712-1731).
MENGIN Dominique Nancy 1711
Bettegney Saint Brice
  1688 Frère de Nicolas Mengin.
Curé de Bettegney-Saint-Brice (1705-1711).
MENGIN George         Etudie la philosophie à Domèvre (1708-1710).
Curé de Boncourt (1724-1759). Résigne.
MENGIN Joseph Nancy 1703
Nicey
  1670 A Pont-à-Mousson (1671).
En Lorraine jusqu’en 1673.
Enseigne à Aoste la 6e (1673), la 5e (1674), la 3e (1675).
Accompagne Vercellin à Beaufays (1673).
Curé de Chaumousey (1678).
Prieur de Domèvre (1690).
Curé de Nicey (1699-1703).
MENGIN Pierre Nancy 1680
Saint-Mihiel
  1672 A Pont-à-Mousson (1672-1673).
Etudie la philosophie à Saint-Pierremont (1673).
MENOUX Dominique Barisey-au-Plain 1739
Belchamps
  1689 Enseigne à Aoste la 5e (1696), la 3e (1697), les humanités (1698).
Prieur de Belchamps (1707-1710, 1711 et 1714-1719).
Prêtre à Aoste le 21 décembre 1720.
Vice prieur de Belchamps (1719-1724).
MENOUX Marc Barisey-au-Plain     1715 Enseigne à Aoste la 6e (1721-1722), la 5e (1723-1724), la 4e (1725-1726), la 3e (1727).
Procureur à Domèvre (1728-1732).
MER Jean 1760
Thionville
  1780
Autrey
  
MERCIER François Blâmont 1720
Domjevin
  1662 Enseigne à Aoste la 5e (1664), la 4e (1665) et la rhétorique (1666-1668).
Sacriste de Verrès (1670-1671 et 1675-1682).
A Pont-à-Mousson (1672).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1673).
Envoyé avant 1675 à Saint-Maurice y faire office de prieur sans titre, afin de préparer l’union projetée de l’abbaye à la congrégation.
A Strasbourg pour former la première communauté (décembre 1687).
Curé de Lunéville (1687-1698).
Curé de Domjevin (1698-1720).
A Chaumousey (1711-1712).
MERCIER Georges Saint-Nicolas 1635
Pont-à-Mousson
  2 juin 1628 (Drouin p.234) ou 1630 A Saint-Pierremont en 1634.
Va à Pont-à-Mousson pour commencer sa philosophie en 1634.
MESSAGEOT Charles Antoine 1712
Gondrecourt-le-Château ou Nancy (ms 759)
1775
Alors curé d’Ibigny
1732
Pont-à-Mousson
1733
Pont-à-Mousson
A Chaumousey (1747-1749).
Curé de Pierrefitte (1750-1753 et 1755-1756).
Fait administrer sa paroisse par un autre chanoine régulier, David.
Curé de Val-et-Châtillon (1756-1766). Conflit au sujet de la reconstruction de l’église (1761). Destitué et envoyé à Igigny suite à cette affaire (Bulletin communal de Val-et-Châtillon, 2013, n° spécial, p. 11 et 41).
Curé d’Ibigny (1766-1775).
MESSAGEOT Pierre         A Toul avant 1673.
Vicaire de Pierrefitte (1673-1686).
MESSIG ou Missic Jean Michel 1704
Alsace, diocèse de Strasbourg
1778   1735 Adjuteur à Domèvre (1768 ; 1778).
MEYER J. J. 1755
Volmerange, diocèse de Strasbourg
  1780
Autrey
  
MEYNET Georges 1686 (18 février)
Valtournenche
      Prêtre le 4 avril 1711.
Vicaire à Challand (1719, 1734-1735 et 1743). Accepte immédiatement l’autorité du prévôt Paul-François de Challant le 16 octobre 1719.
MICHE       Octobre 1630 « adjuteur » (Drouin p.234).
Absent des listes du ms 759.
MICHEL Dominique 1756
Girecourt, diocèse de Saint-Dié
  1779
Autrey
1780
Autrey
Enseigne à Nancy la 7e (1785), la 6e (1786).
Enseigne la 5e à Pont-à-Mousson (1787-1788).
Professeur de mathématiques à Pont-à-Mousson (1790).
Demande à sortir de Pont-à-Mousson le 10 mai 1790.
MICHEL François 173.
Commercy
  1756
Pont-à-Mousson
  
MICHEL Henri 1742
Metz
  1771
Pont-à-Mousson
  
MICHEL Jacques 1618
Sombacourt, diocèse de Besançon
1669 1645 1646 Régent de 6e (1647-1648).
Régent de 5e (1649).
N’est pas prêtre en 1649.
MICHEL Jean Baptiste 1732
Saint Loup, diocèse de Besançon
  1754
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1755.
MICHELET Joseph Nicolas Abraham 1721
Metz
1764
Metz
1738
Pont-à-Mousson
1739
Pont-à-Mousson
A Saint-Pierremont (1744).
Prieur de Metz (1762-1763).
Membre de l’Académie messine et conservateur du cabinet d’histoire naturelle (1757-1764).
Vicaire d’Hubert Marchal à Neuville-Saint Hilaire en 1764.
MIDOT Dominique   1637
Belchamps
  1633 Adjuteur.
MIGNE Mengin   1676
Lunéville
  1630 Adjuteur.
MIKE Mengin         Envoyé à Saint-Pierremont à plusieurs reprises (1633).
MILLET Georges Saint-Oyen, Val d’Aoste Aoste   1666 Enseigne à Aoste la 6e (1668), la 5e (1669).
Econome d’Aoste (1671-1675, 1677-1678, 1683-1691).
MILLET J.   1779
Alors curé de Frémonville
    Curé de Frémonville (1763-1779).
MILLET Jean Baptiste 1739
Moulin Bruler ou Nixeville (ms 759)
1836 1761
Pont-à-Mousson
1762 Régent de 4ème et 3ème à Lunéville (1768).
Prieur de Domèvre (1784).
Prieur de Dommartin (1786 ?).
Curé de Réchicourt-la-Petite (1784-1791).
Jureur sous la Révolution.
Vicaire épiscopal et supérieur du séminaire constitutionnel de l’évêque Lalande sous la Révolution à Nancy (1791-...)... Ensuite, aurait rompu ses vœux de chasteté.
MILLION Georges       1648 
MILLY Nicolas Paul Colmar ou Vieux-Brisach     1714 Etudie la philosophie à Domèvre (1714) puis à Chaumousey (1715).
« organiste excellent » à Domèvre en 1731-1732 (AD MM, H 1386).
Apprend aux novices « à toucher de l’orgue » à Pont-à-Mousson (1733-...).
Sous-prieur à Saint-Pierremont (1744).
MILOT ou MILLOT Jean Jacques 1726
Pont-à-Mousson
  1744
Pont-à-Mousson
1745
Pont-à-Mousson
A Verdun (1752).
Vicaire de Jolivet (1755-1763).
MINIER Jean François 1733
Nouillonpont
  1755
Pont-à-Mousson
  Frère adjuteur à Pont-à-Mousson (1768).
Adjuteur à Domèvre (1770 ; 1790).
MINIER Nicolas 1740
Nouillonpont
1811
Alors curé de Bicqueley
1761
Pont-à-Mousson
1762 Régent de 6ème et 5ème à Toul (1768).
Curé de Bicqueley (1785-1811).
Jureur sous la Révolution.
Juge de paix sous la Révolution.
MINOT Frédéric 1739
Mezions sur Moselle ou Maizières, France, diocèse de Reims (ms 759)
Après 1804
Devenu succursalier
1762
Pont-à-Mousson
1763 Etudie la théologie à Saint-Pierremont (1768).
Régent à Metz (...-1786).
Professeur de logique à Epinal (1786-...).
Prieur d’Autrey (1788).
Curé de Marthemont (1788-après 1790).
Jureur sous la Révolution.
MION Sébastien Metz 1766
Alors curé de Moyeuvre
  1716
Pont-à-Mousson
Prieur de Pont-à-Mousson (1731-1732).
Maître des novices de Pont-à-Mousson (1731-1732).
Selon le général, ne convient pas à Pont-à-Mousson.
Prieur de Saint-Pierremont (1734-1737).
A Saint-Pierremont, se plaint « qu’il n’a aucune connoissance de ce qui se passe dans la maison touchant le temporel de la mense conventuelle, que tout se fait sans lui, et même une bonne partie du spirituel sans sa participation ». L’abbé Pillerel a également blâmé « ses fréquents voiages, mais mes remontrances ont été si mal reçues que j’ai bien résolu de me taire dorénavant » (AD Moselle, H 3329).
Prieur de Metz (1741-...).
Prieur de Viviers (1742 et 1747).
Curé de Moyeuvre (1748-1766).
MITTARD Nicolas ou Pierre Augustin ou Jean François 1731
Toul, faubourg Saint Mansuy
  1756
Pont-à-Mousson
1757
Pont-à-Mousson
Frère adjuteur à Hérival (1768).
Adjuteur à Autrey (1790).
A Autrey (1791).
MOHLER Edmond 1762
Sainte-Hyppolite
    1787 A Chaumousey (1790).
A Sainte Hyppolite (1791).
MOLERAT Charles 1745
Reuty
  1762
Pont-à-Mousson
  
MOLLIER Jean Louis Aoste 1697
Collège d’Aoste
  1675 A Pont-à-Mousson (1675-1676).
A Verrès avant 1687.
Enseigne à Aoste la 4e (1687-1688) et les humanités (1689).
Curé de Fénis (1693-1697).
MONOD François Val d’Aoste 1671
Saint-Pierremont, où il était parti étudier.
  1667 A Pont-à-Mousson (1671).
MONSHAUT ou MONCEAU Jean Baptiste 1760
Saint Julien, diocèse de Toul
  1780
Autrey
1781
Autrey
Prêtre en 1781.
Etudie la théologie à Chaumousey (1783).
Conventuel, choriste et croquemort à Lunéville (1787-...).
A Autrey (1790).
MONTAGU Pierre Augustin 1716
Metz
  1732
Pont-à-Mousson
1733
Pont-à-Mousson
Enseigne à Aoste la 5e (1744), la 4e (1745), les humanités (1746), la rhétorique (1747).
A Chaumousey (1754).
A Verdun (1768).
MONTHAIRON Pierre Pont-à-Mousson 1637
Vittonville
  1633 Etudie la philosophie à Pont-à-Mousson (1633-...).
Curé de Vittonville (1636-1637).
MONTHERRY ou MOMBERRY François Metz 1767     Etudie la philosophie à Domèvre (1712-1713).
A Saint-Pierremont, sans doute pour poursuivre ses études (1714-...).
Prieur de Belchamps (1728-1729).
Prieur de Viviers (1730-1732).
Prieur de Strasbourg (1741-...).
Curé de Marainviller-Thiébauménil (1747-1767).
MONTRAND Louis       Vers 1707 Etudie la philosophie à Chaumousey (1708-1709).
Etudie la philosophie à Chaumousey (1710).
A Chaumousey (1713-1715).
MORCEL Jean Baptiste 1722 ou 1724
Einville-au-Jard
1798 1746
Pont-à-Mousson
1747
Pont-à-Mousson
Prêtre en 1754.
Directeur des religieuses de Châtel-sur-Moselle (1754-1770) ; le P. Chevresson lui succède.
Curé d’Oncourt (1770-après 1772).
Curé du Tholy (1775-1790).
A Remiremont (1786).
Au Tholy en 1791.
Jureur en 1791.
« N’étoit proprement qu’un déiste » (Chatrian, BDN, MC 8).
A Epinal (1792).
MOREAU Etienne Nettancourt 1713
Lunéville, où il s’était retiré
  1673 A Verdun (1676).
Impliqué dans une rebellion contre le prieur de Verdun en 1680, dirigée par Oger.
Curé de Rehainviller (1687-1709).
MORIN Pierre Nancy 1740 1728
Pont-à-Mousson
1729
Pont-à-Mousson
Apostat. Parti en 17..
MORISOT ou MORIZOT François Aboncourt 1690
Saint-Mihiel
  1680 A Verdun (1684).
MORTAL Nicolas Badonviller     1688 A Chaumousey (1691).
MORY Alexandre Verdun 1671
Verdun
  1664 
MOUTARDE Claude ou Charles Toul 1690
Viviers
  1660 A Saint-Pierremont (1675).
A Verdun (1682).
Curé de Chaumousey (1685).
MULLER   1823   Après 1785 
MULOT Jean 1735       Frère donné à Chaumousey en 1765.
A Chaumousey (1790).
A Epinal (1791-1792).
MUTEL Jean François 1734
Bourmont
  1752
Pont-à-Mousson
  Renvoyé avant sa profession.
NASSE Claude Verdun   1728
Pont-à-Mousson
  
NICLOT Pierre Nancy 1646
Saint-Mihiel
  1645 
NICOLAS Jean Toul 1766
Alors curé d’Herbeuville
    Etudie la philosophie à Domèvre (1712-1713).
A Saint-Pierremont, sans doute pour poursuivre ses études (1714-...).
Curé d’Herbeuville (1730-1766) après un long procès.
NITSCH Jean Everard 1749
Fettiny, diocèse de Metz
  1778
Autrey
  
NOEL François Nicolas 1755
Lucey, diocèse de Toul
  1775
Pont-à-Mousson
  
NOEL Jean Baptiste 1722
Pont Saint Vincent
  1744
Pont-à-Mousson
  
NOEL Jean Louis 1726
Nancy
  1745
Pont-à-Mousson
  
NOËL Nicolas Verdun 1665 ou 1655 (ms 759)
Domèvre (G.Drouin p.201)
18 janvier 1623 puis 2 février 1623
Saint-Pierremont puis Pont-à-Mousson
25 mars 1624 A été clerc étudiant en théologie à Pont-à-Mousson et envoyé par M. de Maillane être novice à Saint-Pierremont avant la Réforme.
M. de Maillane lui trouve une petite chapelle « en vertu de laquelle il pourra prendre ses ordres » ; demande à Fourier « de le disposer aux saints ordres (s’il le trouve) bon » (lettre de M. de Maillane du 5 décembre 1623). Devient sous diacre après le 18 décembre 1623 (lettre de M. de Maillane à cette date).
Proposé par M. de Maillane pour être maître des études « c’est à dire des conférences qu’on feroit sur les évangiles et les epistres de l’année, et le catéchisme romain qui doibt estre l’étude principale des profès, pour cette année, ce qui adoucira toujours d’aultant et polira l’esprit de M. Noël. » (lettre de M. de Maillane du 29 mars 1624). Le fut jusqu’avril 1625.
En avril 1625, curé à Lunéville. Prieur à Lunéville fin 1625. Envoyé à Domèvre présenter à l’abbé un refus de postulant délicat. « Ne sert plus la cure » à ce moment (lettre à Verdun, 18 juin 1626). A « Le R.P. Noël (les dimanches à Lunéville) ne contente pas mal, parce, entre autres raisons, qu’il sait mieux jetter l’eau bénite le dimanche que le P. Perpète. » (lettre à Saint-Pierremont, 27 avril 1625).
Belchamps lors de la prise de possession (lettre du 29 août 1626, Drouin p.216). Envoyé à Verdun en 1627 (lettre à Guinet et Lemulier, 1er octobre 1627) remplacer le P. Marc (lettre à Guinet et Lemulier, 15 octobre 1627).
Dit ne pas avoir été consulté par Terrel pour la redaction des contrats (de mense ???) (lettre à Guinet et Lemulier, 21 avril 1628).
Envoyé de Belchamps à Lunéville (lettre à Belchamps, 27 août 1633).
Passe de Belchamps à Saint-Pierremont pour se réfugier (1635).
Se réfugie à Thionville puis à Luxembourg (1635).
Prieur de Saint-Pierremont (1644).
NOEL Pierre Guillaume 1742 (20 octobre)
Nancy
1816 (4 octobre)
Vandoeuvre
1759
Pont-à-Mousson
1760
Pont-à-Mousson
Régent de dernière classe à Saint-Mihiel (1768).
Curé de Brémoncourt-Haigneville (1785-1791).
Curé assermenté sous la Révolution, devient vicaire épiscopal de Nancy.
1er pluviôse an XI : curé à Vandoeuvre.
NOIROT Jean Arnould 1725
Lunéville
  1741
Pont-à-Mousson
  Renvoyé en 1741.
NOLLET Jean 1739
Marsal
  1763
Pont-à-Mousson
  
NOTRE Renauld Benoîte Vaux 1734
Vevey
  1702 Prêtre le 18 juin 1706 en Val d’Aoste.
Enseigne à Aoste la 3e (1708), les humanités (1709), la rhétorique (1710).
A Chaumousey (1714-1715).
OBRY ou OLRY Etienne Toul 1736
Bicqueley
  1697 Curé de Menaucourt (1711-1730).
Curé de Bicqueley (1730-1736).
OGER Claude Verdun 1697
Verdun
  1660 Enseigne à Aoste la 3e (1663-1665).
En Lorraine après 1665.
Curé de Verdun (1674 et 1680).
Accusé en 1680 d’avoir été le chef d’une rebellion contre le prieur de Verdun, avec François, Mordaux et F. Gille. Attaque le prieur devant les juges séculiers.
OLIVIER Jean Philippe Pont-à-Mousson 1692
Pont-à-Mousson
  1686 
OLIVIER Jean-Nicolas 1739
Saint Germain en Franche Comté
1792
Alors curé de Lupcourt
1761
Pont-à-Mousson
1762 Procureur à Belchamps (1768, 1770-1773).
Membre du bureau d’administration des biens des jésuites, chargé des visites des biens (1778-...).
Curé de Val-et-Châtillon (1780-1783).
Curé de Lupcourt (1783-1792).
OLRY Etienne         Etudie la philosophie à Domèvre (1706-1707).
Etudie la théologie à Saint-Pierremont (1707-...).
Enseigne à Aoste la 5e (1714), la 4e (1715-1716).
OUDIN Jean Dieppe 1669
Belchamps
  16 décembre 1624
Verdun
Ancien de Verdun.
A fait ses humanités.
« disent avoir bon courage pour bien faire » (M. de Maillane).
Serait à Saint-Pierremont en 1625, où P. Fourier propose à Manceau « d’envoyer notre frère Oudin aux prochains ordres » (lettre à Saint-Pierremont, 3 mai 1625).
« saints frères »(lettre à Saint-Pierremont, 9 septembre 1625).
Envoyé à Saint-Pierremont (Drouin p.212). A Saint-Pierremont en septembre 1625 (lettre à Saint-Pierremont, 9 septembre 1625). Y est sacristain en 1627 (Drouin p.218).
« s’est rendu totalement inutil depuis quelques trois semaines ença. Il ne veut plus obéir pour tout ; il a dicté un billet et signé, où il dit qu’en faisant profession, je mets ses mêmes mots, son intention n’étoit pas de demeurer toujours dans le corps de la congrégation mais que son intention étoit telle qu’avec le tems il obtiendroit un bénéfice ; mais il fut si mal avisé qu’il ne toucha aucun mot d’obtenir un bénéfice, et qu’il a peur de charger la congrégation. Et pour éviter ce danger, il demande d’être examiné pour avoir un bénéfice ou une pension, et que pour les constitutions il luy est impossible de les pouvoir observer si strictement que l’on veut luy faire observer, notamment en l’obédience que l’on luy veut faire observer d’éveiller le matin, et des mortifications du vivre desquelles on le menace s’il n’observe pas les constitutions, et veut qu’on envoye ce papier aux religieux de la congrégation. Voilà le texte, signé Jean Oudin. [...] Le P. Petitjean m’écrit qu’ils l’ont menacé de rudes punitions, même des galères, mais qu’il n’en fait que rire. » (lettre à Guinet et Lemulier, 31 décembre 1627).
Conduit à Domèvre par le prieur de Saint-Pierremont, Lemulier en 1627 « les festes de Pasques passées » (Drouin p.222).
« seul prêtre à Belchamps avec le P. Perpète » (lettre à Guinet et Lemulier, 31 décembre 1627). Envoyé à Domèvre aider pour la semaine sainte (lettre à Guinet et Lemulier, 28 avril 1628).
Petitjean demande « s’il sera bon et nécessaire de faire porter au P. Oudin un collet de chemise en prêtre séculier et un chapeau par la maison jusqu’à tant qu’il ait retrouvé son bon esprit » (lettre de Petitjean à Fourier, 9 mars 1628).
« commence un peu à revenir à soy le moins du monde » (lettre à Guinet et Lemulier, 28 avril 1628).
« Le P. Oudin étoit malade par l’esprit, si bien que le P. Perpète luy avoit déffendu de dire la messe ; maintenant il se porte mieux, et si bien qu’il est le grand prêtre de Domèvre durant la maladie des autres qui sont sages » (lettre à Guinet et Lemulier, 5 mai 1628).
OUDINOT Hyacinthe 1742
Bar-le-Duc
  1759
Pont-à-Mousson
  
OUDINOT Jean 1709
Saint-Mihiel
  1726
Pont-à-Mousson
  
OUOT D’ESTRICHE Nicolas Liège 1726
Bremoncourt
  1677 
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